A travers ce livret, vous découvrirez les avantages qu’offrent l’huile decoco extra vierge et l’huile de palme rouge extra vierge. Vouscomprendrez pourquoi les populations d’Asie et de Polynésie appellent lecocotier ‘The Tree of Life’, soit ‘L’arbre de la vie’. Vous apprendrezque l’huile de palme rouge contient le plus de substances protectrices(antioxydants) de toutes les huiles. Par extra vierge, on entend la graisseou l’huile obtenue exclusivement par pression/extraction mécanique àfroid. L’huile saine n’a subi aucun raffinage chimique (comme p. ex. ladésodorisation ou le blanchiment.) Si nous parlons d’huiles saines, ils’agit exclusivement d’huiles extra vierges.
‘L’avis généralement répandu que toutes les graisses sont mauvaises et qu’elles n’ont pour seul effet que denous faire grossir, ont précisément induit le caractère épidémique de l’obésité’, selon le Dr. W. Willet (91). ‘Nous nous sommes ensuite empiffrés d’hydrates de carbone et de sucre’.
Les organisations de santé qui sont toujours obnubilées par le fait de consommer moins de graisse et davantagede produits light, oublient que 30% de nos calories doivent provenir de graisses saines. En d’autres termes:nous devons retirer deux fois plus de calories des graisses saines ou de l’huile, que des protéines (tellesque les protéines végétales, la viande et le poisson).
L’époque où nous pensions que la graisse ne générait que des calories superflues et nous faisait grossir,devrait être définitivement révolue. Plutôt que d’être possédé par l’alimentation maigre, nous devrionspromouvoir la consommation en suffisance de graisses et/ou huiles saines. Sans excès bien sûr et surtout pasde graisses raffinées, mais suffisamment de graisses saines. Sans graisses saines, il n’y a pas de vie. Lesgraisses saines apportent la vie. Les grais ses saines protègent votre santé. Les graisses saines sont aussiimportantes que les fruits et légumes.
Les personnes qui voulaient vivre sainement, se sont mises à étuver les légumes. Au nom du bon goût et de l’absence de graisse. Mais aujourd’hui, nous savons que l’absence de graisse n’est pas saine. On peut toujours étuver les légumes jusqu’à mi-cuisson, mais le repas doit contenir suffisamment de graisses saines. La manière raisonnable consiste à ajouter un peu de graisse aux légumes après les avoir étuvés. Un peu de graisse permettra de mieux assimiler le lycopène des tomates, le carotène des carottes, la lutéine des épinards et les substances nu- tritives nécessaires d’au moins 600 autres nutriments. Pas sans graisse, mais avec des graisses saines. Les régimes maigres sont associés à des problèmes psychologiques, des dépressions, de la violence et au suicide dans une publication de ‘The Lancet’ (3/2/’92). En 1998, le scientifique D. Kritchevsky affirmait que les régimes maigres ne diminuaient pas les maladies cardio-vasculaires. Une étude universitaire a démontré, contre toute attente, qu’après avoir suivi un régime maigre (dont 19 % des calories à peine proviennent de graisses), le taux de ‘bon’ cholestérol HDL diminuait. Lorsque par la suite, on passait à un régime riche en graisse (50 % des calories), le ‘bon’ cholestérol HDL remontait. (State University New York, Journal of the American College of Nutrition 2004). Les Grecs et les Autrichiens suivent des régimes riches en graisse et font partie des populations vivant le plus longtemps au monde. (114)
50 % des calories fournies par le lait maternel sont apportées par des graisses. Différents experts en alimentation recommandent que les enfants jusqu’à 2 ans tirent au moins 50% de leurs calories de graisses. Différents pédiatres tels que S. Zlotkin et F. Lifshitz ou encore R. Olson, reconnaissent que les enfants qui adoptent une nutrition maigre, connaissent de nombreux problèmes de croissance et de santé (75). Au fur et à mesure que les enfants grandissent, la quantité recommandée de graisse peut cependant diminuer jusqu’à 30%. Une fois l’âge adulte atteint, le besoin en calories issues de graisses se situe entre 15% et 35%. A l’âge adulte, un taux de calories issu de graisses inférieur à 15% est malsain. Plus de 30% peut encore être sain, mais la composition du programme alimentaire global doit alors être surveillée.
Une étude effectuée auprès des enfants révèle que l’absorption de calcium, de magnésium et de protéines (acides aminés), est importante pour le développement d’os solides et qu’elle est accrue par l’ingestion d’huile de coco (22). D’après une autre étude datant de 1996 réalisée dans l’Université d’Iowa, des chercheurs ont découvert que la graisse et le calcium sont mieux assimilés par les bébés lorsqu’on ajoutait de l’huile de noix de coco ou de palme à leur alimentation. (2)
Les poêles anti-adhésives datent de l’époque où nous pensions que les graisses faisaient uniquement grossir. Aujourd’hui, nous sommes revenus de ce précepte. Les graisses saines sont un must pour notre santé, ainsi que pour un corps svelte. Nous nécessitons même 2 fois plus de graisses saines, que de protéines. Donc, une portion d’huile ou de graisse saine dans la poêle vous fera du bien.
Il faut éviter les poêles anti-adhésives à tout prix, car elles sont extrêmement nocives.
LA FIÈVRE DU TEFLON? |
Lorsque la couche anti-adhésive est échauffée, elle
change de structure. En deux à cinq minutes, une poêle anti-adhésive atteint une chaleur entraînant la
libération de substan ces toxiques et l’émanation de vapeurs toxiques... Plus longtemps vous les
utilisez, plus rapidement elles s’abîment.Lors de cet échauffement, des vapeurs se libèrent, tant dans la
nourriture, que dans l’air de la pièce. (Les poêles anti-adhésives deviennent très
rapidement toxiques lorsqu’elles sont
placées sur un feu sans contenir
d’aliments. L’odeur qui est alors dégagée affecte la respiration de tout un chacun). Du Pont reconnaît que les vapeurs de Téflon sont mortelles pour les oiseaux
mais, s’empressent-ils d’ajouter,
‘tant de choses sont mortelles’. Les
scientifiques chez Du Pont avouent que les gaz polymères du Téflon peuvent causer de la fièvre, de la fatigue, de
l’étouffement, des maux de tête, des refroidissements et un sentiment d’oppression sur la poitrine à des
températures à partir de 24 à 26°C. Mais les adversaires de lapoêle anti-adhésive vont beaucoup plus
loin.
Parmi les substances et
vapeurs nocives qui se libèrent lors de la cuisson dans une poêle anti-adhésive, il y a: TFE, cancérigène; HFP, elles affectent l’immunité et
causent des troubles du foie. Le TFA
favorise l’ostéoporose et les
problèmes articulaires, la stéatose du foie. En outre, il est stocké 2 à 6 fois plus rapidement chez les bébés, que chez la mère. Le DFA est surtout très toxique pour les reins, alors que
le MFA extrêmement toxique cause des troubles du rythme cardiaque et peut même être mortel entre 0,7 et 2,1mg/kg; le PFOA ne se décompose pas dans la nature et se retrouve chez 92% des
gens; il est même mortel pour les vaches, lorsqu’elles mangent ou boivent des aliments in- toxiqués. Le SIF4 est surtout nocif pour la fonction pulmonaire; tout comme le PFIB; le COF2 est
surtout utilisé en tant qu’arme de guerre chimique et irrite les yeux, le nez et les oreilles. Le HF provoque la fatigue et cause des troubles du rythme cardiaque, il réduit
l’assimilation de calcium et est mortel à fortes doses. Le CF3COF augmente le foie et le taux glycémie. L’OFCB cause des troubles du rythme cardiaque, l’inconscience et, à fortes doses,
la mort. Le CF4 accélère le réchauffement de la planète 6000 fois plus rapidement que le dioxyde de carbone et demeure pendant 50.000 dans l’environnement. Le C-8 est cancérigène on en
retrouve des teneurs élevées dans le sang chez les enfants.
En 1953, Ancel Keys a lancé l’hypothèse des lipides. Les
graisses saturées et le cholestérol présents dans l’alimentation étaient, selon lui, à l’origine d’un taux de cholestérol trop élevé dans le sang. Un taux de cholestérol élevé dans le
sang provohahaque l’artériosclérose, qui pourrait à son tour être la cause de maladies cardio-vasculaires. Bien que les spécialistes jugeaient son hypothèse truffée de lacunes, elle a
fait fureur et est rapidement tombée dans le domaine public. Nathan Pritikin a rencontré un succès énorme
avec son régime maigre et spartiate, mais il est mort de cancer beaucoup trop jeune. Ce n’est que
récemment que des études prouvant le contraire, trouvèrent un certain écho. Une étude britannique à grande échelle a révélé après 1 an déjà, que dans un groupe de sujets tests (à qui on a
demandé de réduire leur consommation de graisse saturée et de cholestérol, d’arrê ter de fumer et d’augmenter leur consommation de graisses insaturées et de margarines), on dénombrait
deux fois plus de décès que dans un groupe de contrôle maintenant les graisses saturées. (46)
Le Lancet a publié les résultats d’une étude, lors de laquelle 2000 hommes ont suivi un régime à faible teneur en graisse saturée, ayant pour but de déceler l’effet que cela aurait sur
leur santé cardio-vasculaire. Pendant deux ans, aucun signe laissant supposer un risque amoindri de crise cardiaque, n’est apparu. Donc si la diminution de graisse saturée dans un régime
ne réduit pas les risques de problèmes cardiaques, il est logique de supposer que d’autres facteurs peuvent jouer un rôle. Des scientifiques ont démontré, à travers des testssur des animaux, qu’un régime à base de graisses saturées réduit
le risque de maladies cardio-vasculaires.(20,21)
L’étude Framington, initialement prévue pour fonder l’hypothèse des lipides, semblait prouver le contraire. Le directeur, qui avait dirigé cet énorme projet pendant 40 ans, disait en
1988: ’les gens ayant mangé davantage de graisse et de cholestérol étaient plus actifs, plus maigres et
avaient un taux de cholestérol moins élevé dans le sang.’ (47) Cette étude a fi nalement démontré que
l’excédent de poids et un taux de cholestérol élevé dans le sang ne proviennent pas des graisses saturées ou du cholestérol dans l’alimentation. L’étude a également révélé qu’un taux de
cholestérol plus élevé dans le sang, ainsi qu’un excédent pondéral augmen- taient légèrement les risques de maladies cardio-vasculaires. Cela signifiait donc que d’autres facteurs alimentaires étaient à l’origine de notre taux de cholestérol trop élevé
!
Il est aujourd’hui communément admis que le scorbut est
une conséquence d’un manque total de vitamines C, entraînant un saignement de la gencive, la perte des dans et l’éclatement des veines. De nombreux marins sont morts de scorbut.
Aujourd’hui, on sait aussi que le cholestérol dans le sang est surtout produit par le foie et ne provient qu’en petite partie de l’alimentation.
Le double lauréat du Prix Nobel Linus Pauling et le Dr. Matthias Rath établissent le lien entre le scorbut et le cholestérol. Ils établissent clairement que le cholestérol est produit par le foie en tant que premier mécanisme immunitaire. Le Le foie produit du cholestérol pour réparer les
fissures dans les pour réparer les fissures dans les veines. Le cholestérol colmate véritablement les
vaisseaux sanguins pour les protéger. Ces fissures dans les vaisseaux sanguins apparaissent suite à des lacunes mineures ou majeures dans l’alimentation, selon ces messieurs. Parmi elles,
citons le manque de minéraux, de vitamines, de graisses saines, de protéines, de substances nutritives végétales, etc... Si on veut diminuer le cholestérol, il faut traiter la cause du mal. Il s’agit donc de s’alimenter de façon plus saine et d’être moins stressé.
Le Dr. Willett W., professeur à l’université de
Harvard: ‘à l’heure actuelle, les études de tous horizons n’ont pas encore pu établir le lien entre la
consommation de graisses saturées et les maladies cardio-vasculaires’. En 1995, il a publié une étude sur la relation entre la graisse et les maladies cardio-vasculaires, aboutissant à la
conclusion suivante: ‘ces données ne corro borent pas la forte relation entre la consommation de graisses saturées et le risque d’encourir des maladies cardio-vasculaires, qui
existeraient d’après une étude internationale’. (73)
Mary Enig, expert international en lipides et spécialiste nutritionniste: ‘L’idée que les graisses
saturées provoquent des maladies cardiaques est entièrement fausse. Mais l’hypothèse des lipides est à ce
point ancrée dans l’esprit des gens qu’il est difficile de les convaincre du contraire, hormis ceux qui sont souhaitent lire davantage sur le sujet’. (58)
Michael Gurr, professeur et biochimiste à
Oxford: ‘L’hypothèse des lipides recèle de nombreuses lacunes et l’affirmation disant qu’elle provoque
des maladies cardio-vasculaires, est trop simpliste’ (59); ‘quelle que soit la cause des maladies cardio- vasculaires, une consommation élevée de graisses saturées n’en est pas la cause
première.’ (73)
George Mann, professeur et biochimiste à l’université Vanderbilt: ‘Il apparaît d’études réa lisées parmi
les tribus Masai, que les graisses saturées ne sont pas à l’origine d’un taux de cholestérol élevé et de maladies cardio-vasculaires.’ ‘L’hypothèse des lipides représente le plus grand
mensonge de notre époque.’ (60)
Michael Oliver, professeur à l’institut Wynn pour l’étude métabolique (Londres): ‘Une forte diminution du
taux de cholestérol peut être dangereuse, surtout à long terme, pour la compo sition des membranes cellulaires. Heureusement, la plupart du temps le corps est en mesure de contrer la
diminution forcée de cholestérol dans sa recherche d’équilibre (homéostasie).’ (61)
Pinckney Edward, co-éditeur du ‘Journal of the American Medical Association’: ‘le niveau de cholestérol
d’une personne n’est rien de plus qu’une indication grossière d’un grand nombre de syndromes. Dans le pire des cas, cela peut être la cause de stress et de maladies découlant du stress.
La diminution du cholestérol peut faire plus de mal que de bien.’ (62)
Raymond Reiser, professeur et biochimiste à l’université du Texas: ‘Certaines graisses saturées n’ont
aucune influence sur le taux de cholestérol, alors que d’autres peuvent augmenter légèrement le taux de cholestérol, mais jamais de façon importante. (63) (note: l’huile de coco contribue
à le diminuer, l’huile de coco durcie l’augmente)
Paul Rosch, professeur au Collège Médical de New York: ‘Le public a subi un lavage de cerveau tel par
l’hypothèse des lipides, qu’il pense que plus son taux de cholestérol est bas, mieux il se porte et plus longtemps il vivra. Rien n’est moins vrai. Le cartel du cholestérol formé par les
entreprises pharmaceutiques (qui font une grande promotion des statines), l’in dustrie du soja et les fabricants de biscuits maigres, etc... marquent des points en synergie avec leurs
campagnes marketing.’ (64) Le cardiologue Ray Rosenman, le psychologue expérimental Russel Smith, le professeur William Stehbens de l’Ecole Médicale de Wellington, le professeur Lars
Werkö, etc... rejettent l’hypothèse des lipides.
Bien que le cholestérol ne soit pas synonyme de graisse,
on en parle malgré tout souvent comme s’il s’agissait de la même chose que la graisse. Cependant, le cholestérol est en fait une grande molécule d’alcool produite par les animaux (et les
êtres humains également). Le cholestérol fait partie du groupe des stérols. On ne retrouve le cholestérol que chez les êtres humains et chez les animaux. On ne retrouve jamais le cholestérol dans l’alimentation végétale. En effet, toutes les graisses végétales, y compris l’huile de palme En effet, toutes les graisses végétales, y
compris l’huile de palme et de coco,
contiennent 0% de cholestérol, mais plutôt des stérols végétaux.
Ils font partie de la même famille, sont tous liposolubles mais présentent d’autres fonctions.
Tout comme de nombreuses substances naturelles, le
cholestérol présente des caractéristiques positives. Il a même été prouvé que les personnes âgées ne produisent pas suffisamment de cholestérol et qu’elles auraient intérêt à ajouter le
cholestérol à leur régime alimentaire. Les personnes saines produisent même suffisamment de cholestérol pour permettre à leur organisme de fonctionner adéquatement. Le cholestérol est
essentiel pour maintenir les membranes cellulaires en grande forme. Les membranes cellulaires utilisent le cholestérol en fonction du type de graisse présent dans notre corps. Les
graisses insaturées maintiennent la souplesse de nos membranes cellulaires, alors que les graisses saturées les rendent plus solides. Le cholestérol opère un flux entrant et sortant de et
vers les membranes cellulaires, afin de trouver le bon équilibre entre une la souplesse et la rigidité adéquate des membranes cellulaires. Cet équi libre revêt une telle importance, que
même chaque cellule en soi peut produire son propre cholestérol. De cette manière, le cholestérol peut
protéger une cellule, voire la reconstituer. Le cholestérol est votre ami !!!.
Par ailleurs, le
cholestérol est important pour produire nos hormones, des vitamines D, ainsi que pour la production de bonne bile, la sécrétion du foie qui nous aide à assimiler les
graisses.
La véritable cause des maladies cardio-vasculaires se
situe surtout au niveau de l’excès de radicaux libres (molécules instables, agressifs) et un manque
d’antioxydants protecteurs. Cela permet aux radicaux de causer de graves dégâts aux membranes cellulaires
et aux parois vasculaires. Dans un premier temps, notre organisme se défendra en produisant du cholestérol afin de réparer les dommages causés aux parois vasculaires. Si les dommages
causés sont importants, une grande quantité de cholestérol sera envoyée aux ‘blessures’ des vaisseaux sanguins. Si trop de cholestérol est déposé à un endroit précis et qu’une ‘plaque’ se
forme, un blocage peut survenir.
Lors d’autres enquêtes, notamment dans le cadre d’une étude récente effectuée par la clinique de Cleveland lors de laquelle 120.000 cardiaques ont été examinés, on est parvenu à la conclusion que le fait de fumer, les graisses trans (les graisses de mauvaise qualité), la nourriture ayant été
raffinée, le stress, la pollution, l’inhalation de substances toxiques, le diabète et le manque de cholestérol peuvent provoquer des maladies
cardio-vasculaires. La tension élevée et le cholestérol élevé ne sont alors que des indicateurs de risque
de maladies cardio-vasculaires, mais jamais la cause.
La chercheuse américaine Mary Enig focalise même sur le
fait qu’il est de plus en plus évident que les maladies cardio-vasculaires peuvent notamment être causées par
l’inflammation des parois vasculaires.Certains virus, tels que le virus de l’herpès et le cytomégalovirus,
pourraient jouer un rôle dans ce contexte. L’huile de coco est efficace contre ces deux virus et pourrait par conséquent avoir un effet bénéfique sur les maladies cardio-vasculaires.
(33)
Tous les médicaments visant la réduction du cholestérol
minent notre santé. Ils empêchent notre corps de reconstituer nos vaisseaux sanguins et nos poumons avec suffisamment de cholestérol. Ils bloquent un enzyme nécessaire à la production de cholestérol, mais bloquent par la même occasion la production du
coenzyme Q10, une substance qui est précisément extrêmement importante... pour la fonction cardiaque et les muscles. Cela peut entraîner un affaiblissement du muscle cardiaque et cardiaque et les muscles. favoriser les maladies cardio-vasculaires. Les muscles peuvent faiblir, diminuer de volume et être
plus rapidement sujets à des inflammations. En outre, il en résulte une diminution de la production des précieux sels gastriques: la bonne digestion des graisses et notamment l’assimilation d’acides gras oméga 3/6,
diminue. Mais le manque de ces derniers favorisent justement les maladies cardio-vasculaires, outres les symptômes de rhumatisme et la dépression.
Un taux de cholestérol trop élevé est généralement dû à des lacunes ou erreurs dans l’alimentation et à un stress trop élevé. Il s’agit dès lors de s’attaquer aux causes, à savoir les
lacunes alimentaires ou le stress. Il n’est donc pas raisonnable de freiner la première défense de notre
organisme, à savoir le cholestérol. Le cholestérol n’est pas le malfaiteur, mais plutôt les lacunes
alimentaires et le stress.
Une étude récente datant de 2003 a d’ailleurs démontré
que les médicaments réduisant le cholestérol (entre autres?) diminuent effectivement le cholestérol. Mais qu’après 1 an la plaque dans les veines avait augmenté de 9,2% (American journal
of Cardiology). En d’autres termes: la maladie se répand, alors que le cholestérol diminue. Autrement dit: le
témoin lumineux de votre jauge ne fonctionne plus, mais vous filez tout droit à la panne sèche. Il est plus intelligent d’approvisionner en carburant, que de couper
l’alarme.
Les personnes au-delà de 70 ans présentant des taux
élevés en cholestérol souffraient moins de crises cardiaques, que ceux dont le taux de cholestérol était faible (116). Le Dr. S. Hulley, de l’université de Californie, a dit: ‘Je suis très inquiet à propos de toutes ces personnes âgées qui avalent des
médicaments pour réduire leur cholestérol’.
Le cholestérol, le calcium, le collagène et d’autres
substances sont véhiculés dans le corps pour guérir les blessures. Le cholestérol fournit le matériau réparateur le plus important pour le corps. (72)
Lorsque les hamsters sont exposés aux odeurs de pétrole, leur foie produit du cholestérol afin de réparer les dommages causés par les radicaux libres par le biais des gaz de pétrole. Ce
cholestérol est exclusivement envoyé vers les cellules endommagées. (Dr. R. Dowdell Heath freedom news, 1987).
Les faibles teneurs en cholestérol sont mis en relation avec des fonctions cognitives défaillantes. Pour pouvoir associer des idées, pour converser aisément, favoriser la concentration et l’attention, il est préférable d’avoir plus de cholestérol, que très peu. C’est ce que dit une étude universitaire publiée en 2005 (107). En effet, le cholestérol est un élément important des membranes des cellules nerveuses. Le cholestérol est en outre requis pour le bon fonctionnement des récepteurs de sérotonine, responsables pour le sentiment de bien-être. Un faible taux de cholestérol est mis en relation avec la violence, la dépression et les tendances au suicide.
Les personnes sujettes au stress présentent souvent un taux de cholestérol élevé. C’est dû au fait que le stress génère de l’adrénaline, l’hormone par lequel l’organise réagit au stress. Le cholestérol est nécessaire à la production d’adrénaline. Dans ce cas aussi, la diminution du cholestérol est néfaste. Apprendre à gérer le stress et les situations de stress, voilà le mot d’ordre.
Les nourrissons ont besoin de cholestérol
pour le développement du cerveau et des yeux. Le lait maternel
pourvoit le bébé de grandes quantités de cholestérol. La glande mammaire contient un enzyme spécial qui fait
en sorte que le lait maternel contienne suffisamment de cholestérol. L’Académie Américaine des Pédiatres
affirme que le cholestérol est vital
pour la croissance des enfants, notamment pour la production d’acides gastriques, d’hormones et de cellules nerveuses.
Le cholestérol est également essentiel pour des os
solides. Les vitamines D n’ont aucun effet sans cholestérol. Par ailleurs la croissance et la solidité des os ne sont pas assurées sans vitamines D.
Avant de vous soucier d’un taux de cholestérol trop
élevé, lisez le livre ‘The Cholesterol Myths’ du Dr. Uffe Ravnkov ou ‘The Cholesterol Controversy’ d’Edward et Cathy Pinckney.
Sans cholestérol, pas d’hormones sexuelles. Sans cholestérol, pas de sexe. Une personne saine de 70 kg nécessite environ 145g de cholestérol circulant dans son organisme.
Dr. Weston Price, dentiste, a publié le livre ‘La
nutrition et la dégénérescence physique’ en 1939, dans lequel il a notifié les constats de ses nombreuses études auprès de groupes de population traditionnels. Il a par exemple aussi
visité le groupe d’îles de Polynésie et a constaté que ceux qui respectaient un régime traditionnel, dans lequel la noix de coco – regorgeant pourtant de graisses saturées – jouait un
rôle important, étaient en pleine santé et ne présentaient en fait presque aucune maladie de dégénérescence, ni de civilisation.Ceux qui consommaient une alimentation plus “raffinée”, ont souffert de maladies occidentales, y compris de caries dentaires. Pour
Weston Price c’était clair: la cause d’une dentition irrégulière, ainsi que de caries dentaires, se situait dans l’alimentation (raffinée).
Une étude indienne a démontré que lorsqu’on remplace des
graisses saturées par de l’huile de tournesol ou de l’huile de carthame raffinée, le risque de diabète de vieillesse augmente (40). Des études réalisées dans des pays où la noix de coco
(l’huile, source riche en graisse saturée) constitue une part importante du régime traditionnel démontrent, contrairement à ce que l’on pouvait croire, qu’il n’existe pas de lien avec les
maladies cardio-vasculaires. Certains chiffres démontrent même, que des régions dans lesquelles la noix de coco (l’huile) est utilisée davantage que dans d’autres régions au sein d’un
même pays, l’espérance de vie est supérieure. (44) La population tradi- tionnelle du Sri Lanka avait, selon les Na- tions Unies, un des taux de mortalité, due à la formation de caillots
entraînant des maladies cardio-vasculaires, les plus faibles au monde. Depuis que la consommation de noix de coco y a diminué de 35%, le nombre de morts s’est fortement accru.
(45)
En 1988 déjà, le Dr. G. Blackburn de Havard déclarait:
‘l’huile de noix de coco n’a pas d’effet négatif sur le taux de cholestérol, pas même lorsque l’huile de noix de coco constitue la seule source de graisse.’ (107) D’autre part, on
constate que la consommation d’huile végétale industrielle raffinée durcie augmente proportionnellement les
maladies cardio-vasculaires (USDA-HNI). Lorsqu’on a donné aux rats des
graisses végétales raffi nées au lieu de la graisse de porc naturelle, leur espérance de vie diminuait de 17%. Chez les êtres humains, cela cor- respondrait environ à 12 années de vie en
moins. (Dr. W. Douglass, the Milk Book)
Le Dr. R. McCarrison a démontré par des études cliniques que les animaux qui mangeaient des graisses
raffinées, sont devenus stériles. Le Dr. C. McCay, de l’université Cornell, a confirmé ces résultats et dit que les animaux qui ne reçoivent pas de nourriture naturelle, deviennent stériles. La stérilité connaît une
importante croissance chez l’être humain. 1 couple sur 6 ne peut plus avoir d’enfants de manière naturelle. (The Great American Tragedy, D. Conrad). Nous devons bannir les aliments raffinés de notre vie.
Une huile d’olive extra vierge est saine parce que
l’huile a été traitée avec respect et qu’elle a conservé ses nombreuses substances nutritives. Le processus de traitement est très simple. Après la récolte, les olives sont lavées sans
solvants, ces olives sont dénoyautées mécanique- ment, pressées mécaniquement, l’huile est fi ltrée mécaniquement et stockée dans des cuves en inox, pour ensuite être mise dans des
bouteilles foncées. Une huile d’olive extra vierge est pressée en visant le maintien d’un maximum de valeur
nutritive et de goût.
Les huiles industrielles de
supermarché ont souvent subi un processus destructeur pour notre santé. L’objectif est de les rendre les
moins chères et les plus inodores possibles, avec une grande durée de conservation. Les noix ou noyaux sont souvent lavés avec des solvants, pressées à l’aide d’un dissolvant chimique (extraction) pour un plus
grand rendement. Ensuite intervient le dégommage, le raffinage avec des substances alcalines puissantes, la décoloration, la désodorisation à des températures jusqu’à 270 °C, avant d’y
ajouter des conservateurs chimiques, d’effectuer un écumage et éventuellement le durcissement. Il ne reste
plus alors qu’un produit sans valeur et en outre extrêmement nocif...
Les margarines minent différents processus de
l’organisme et diminuent notre vitalité. Pour pouvoir être assimilées, elles dérobent, tout comme le sucre blanc, le pain blanc et le riz blanc, les minéraux et les enzymes dans notre
corps. Aucun spécialiste en graisses ne croit que la margarine telle que nous la connaissons maintenant,
est plus saine que le beurre ou que les graisses traditionnelles telles que l’huile de coco, de palme et d’olive. Toute personne défendant un autre point de vue, serait
subjective. Comment au nom du ciel, est-il possible de juger la margarine faite de graisses raffinées
chimiquement, désodorisées, dégommées, écumées, éventuellement durcies par la suite, plus saine que les huiles traditionnelles, traitées avec tant de respect
? Le principe de base lors de la fabrication est complètement différent: un fabricant d’huile extra
vierge ou traditionnelle recherchent la santé, le goût et le respect de ce que la nature nous offre. Les fabricants de margarine visent une longue conservation, un produit facilement
tartinable, une copie bon marché de la nature. N’en doutez pas un seul instant: les graisses traditionnelles et l’huile d’olive extra vierge sont beaucoup plus saines que les margarines.
Un article paru dans Nutrition Week (22/3/91) disait que les maladies cardio-vasculaires sont 2 fois plus
fréquentes chez les consommateurs de margarine, qu’auprès des consommateurs de beurre. Les graisses et
huiles extra vierges sont meilleures que la margarine (bio). Le Dr. D. White, un des cardiologues les plus réputés, démontrait déjà en 1950 que le remplacement du beurre, de la graisse de
porc et des œufs par des huiles végétales allait de pair avec l’augmentation de maladies cardio-vasculaires. (112)
Les graisses naturelles telles que l’huile de coco extra vierge, l’huile de palme et le beurre étaient bannies au dépotoir, alors que les graisses synthétiques telles que les margarines,
les graisses raffinées de supermarché et les huiles, ainsi que les graisses de cuisson partiellement ou entièrement durcies étaient louées. Le contraire serait beaucoup plus
indiqué. Car les graisses, dans leur état naturel, possèdent des composants uniques bénéfiques à notre
vitalité et à notre santé, alors que les graisses raffinées sont coresponsables des maladies.
Vitelma, Becel, Effi et presque toutes les margarines de supermarché, même la plupart des margarines bio, sont faites de graisses raffinées!!!
Les études passées sous silence Le Dr. S. Malhotra de
Mumbay, en Inde, a réalisé de nombreuses recherches sur le lien entre le régime alimentaire et les maladies cardio-vasculaires. Il a examiné plus d’1 millions d’In diens travaillant aux
chemins de fer. Il est arrivé à la conclusion que les personnes venant de Madras, où l’on utilise une grande
quantité d’huile végétale raffinée, mouraient 7 fois plus de maladies cardio-vasculaires que ceux qui venaient de Punjab, où les graisses étaient plutôt d’origine animale (48).
A Puerto Rico et à Honolulu, contrairement aux attentes, on dénombrait davantage d’infarctus auprès des personnes qui consommaient davantage d’huiles végétales raffinées. (49)
Le Dr. K. Carroll, biochimiste, démontrait en 1975 déjà qu’une surconsommation d’AGPI (acides gras poly-insaturés) augmente le risque de cancer du sein. Il a constaté que l’huile de coco est la graisse présentant les meilleures propriétés de lutte contre le cancer du
sein. (73) Une étude a démontré que lorsqu’on donne 14% d’huile de coco ou 14% d’huile de carthame des
teinturiers aux animaux, le stockage de cholestérol est 6 fois plus important avec l’huile de carthame des teinturiers, qu’avec l’huile de coco (100). En 2001, B. Henning a publié qu’un
excès d’acides gras raffinés oméga 6 (p. ex. l’huile de tournesol ou de carthame des teinturiers raffinée) contribue à la modification dans les parois cellulaires et les vaisseaux
sanguins, ce qui peut favoriser les maladies cardio-vasculaires. (Journal of the American Col lege of Nutrition 2001). Une étude a démontré que si 10 % des calories fournies aux rats
proviennent d’huile de tournesol raffinée, on note une différence significative dans le taux de cholestérol. L’huile de tournesol raffinée a augmenté le (‘mauvais’) cholestérol LDL et diminué le (‘bon’)
cholestérol HDL, ce qui n’était pas le cas de l’huile de coco extra vierge (99).
Depuis qu’en Amérique, on a commencé à consommer davantage d’AGPI tel que l’huile de soja, de maïs et d’arachide et moins de graisses saturées, le nombre de maladies cardio-vasculaires a
augmenté. Ce sont les acides gras insaturés raffinés qui ont fait de l’Amérique la nation la plus grasse au monde.
Tous les aliments raffinés, tels que le sucre blanc, le
pain blanc, le riz blanc, les pâtes blan- ches, les huiles raffinées et la margarine, ainsi que 97% des plats préparés, du junkfood, des biscuits et des snacks sont, de par leur
transformation, exempts de vitamines, de minéraux et de nombreuses substances nutritives importantes.
Nombreux sont les gens, qui pensent que seules ces bonnes choses ont disparu, mais que les aliments raffinés ne sont pas malsains
pour autant. C’est faux.
Pour pouvoir transformer ces substances alimentaires raffinées vides dans
le corps, vous devez faire appel à des enzymes, des minéraux, des vitamines, des protéines, etc... dans les réserves de votre propre organisme. En d’autres termes, plus vous mangez
d’aliments raffinés, plus votre corps, votre cerveau, votre peau et chaque organe de votre organisme est privé de son stock essentiel en substances saines. Vous êtes littéralement vidé de
votre vitalité, de votre résistance, de votre santé. La fatigue, les maladies, les petits maux font leur apparition et les maladies de civilisation en seront la conséquence tôt ou tard.
Par ailleurs, suite la leur transformation les aliments raffinés contiennent souvent des graisses trans nocives, des protéines oxydées et toutes sortes d’adjuvants tels que le MSG
(glutamate de sodium), les colorants, conservateurs et aromatisants chimiques, ce qui affecte encore plus notre métabolisme! D’autres causes des maladies de civilisation sont l’exposition
toxique aux pesticides (donc, mangez bio), aux produits chimiques dans le ménage (tels que les peintures, les produits de vaisselle, le shampooing, le parfum, le déodorant), un manque d’exercice,
une vie trop pressée, etc... Le mot d’ordre est: mangez beaucoup de légumes et de fruits, beaucoup de produits à base de céréales complètes, suffisamment de graisses saines non raffinées,
de légumes secs, d’épices, de noix et de graines. Ne mangez que peu ou pas de produits laitiers. Ne mangez pas ou uniquement du poisson, de la viande et de la volaille exclusivement de
bonne qualité. Ne pensez pas que le poulet est plus sain que le bœuf, le porc ou
l’agneau. Ne mangez que du gibier ou de la viande bio d’animaux élevés en stabulation libre. C’est
meilleur pour l’animal, pour votre santé et pour l’environnement. Variez votre consommation de légumes, de fruits, de céréales, d’épices, de noix et de graisses saines et mangez
suffisamment de crudités. Maigrir, bouger, manger sainement et gérer le stress sont les mots clés.
L’huile de tournesol doit dégager un parfum de graines de
tournesol, l’huile de sésame celui de graines de sésame, l’huile de coco doit embaumer la noix de coco, l’huile d’olive les olives, l’huile de palme les fruits de palme rouge,
etc....
Une huile désodorisée (et donc raffinée) est
non seulement dénué de son
odeur et de son goût, mais également de substances nutritives primordiales. Sans ces substances nutritives, ces huiles perdent de leur valeur et ne favorisent pas une bonne santé, ni
vitalité. L’huile de coco ou de palme désodorisée, c’est comme le sucre blanc, la farine blanche, le riz
blanc et le spaghetti blanc, l’huile de poisson raffinée (épurée) et comme toute huile raffinée de supermarché. Elles ont été vidées de leurssubstances nutritives essentielles
et sont donc malsaines. Les produits raffinés sont la principale cause de la plupart des maladies de civilisation. C’est pourquoi il faut opter exclusivement pour des huiles ou graisses
extra vierges ou pressées à froid et obtenues exclusivement par voie mécanique et évitez toutes les autres. Evitez toute huile ou graisse dont le parfum ne révèle pas son origine, comme
du sucre blanc.
‘Plus c’est proche de la nature, Bart Maes, l’homme bio-veggie |
||
Que sont les graisses malsaines? |
Quelles graisses devons nous éviter à tout
prix?
‘Ne jamais économiser sur la nourriture saine’ Bart Maes, l’homme bio-veggie |
||
Vers 1900, les éminences alimentaires françaises et allemandes ont développé une méthode permettant de prolonger de quelques mois (au frais), voire quelques années (a température
ambiante) les acides gras poly-insaturés (AGPI) tels qu’on peut les trouver dans l’huile de soja, de poisson, de tournesol, de maïs, de manière à pouvoir les utiliser dans le traitement
de bis- cuits, etc... Ces personnes voulaient également faire en sorte que l’huile vé- gétale ressemble au beurre plus cher. Elles voulaient transformer une huile végétale liquide en une graisse plus ferme et donc plus facile à étaler. Un
opposant de l’époque parlait déjà de ‘beurre plastique’. (La graisse Crisco de Procter & Gamble). Ils voulaient augmenter la température de fusion des huiles végétales, de manière à
ce que ces dernières puissent être davantage utilisées dans l’industrie de la transformation, par exemple pour les biscuits et la crème glacée. Comment obtient-on ces produits
?
La plupart du temps, on part tout d’abord d’une huile raffinée, donc une huile vidée de ses principales substances nutritives. Ensuite, cette huile raffi née est chauffée à l’excès
jusqu’à 150 voire 200 °C, on y ajoute du nickel (platine, aluminium ou cuivre) comme catalyseur, suite à quoi l’huile est entièrement ou partiel- lement hydrogénée (durcie). Ce dernier
point signifi e que sous pression, les atomes d’hydrogène manquants sont ajoutés et liés avec le carbone de l’huile. Cette opération génère des ‘acides gras trans’ dotés d’une structure
inexistante dans la nature et qui n’est pas faite pour notre organisme. Dans la nature, les liens doubles apparaissent dans la ‘structure dièse’, qui veut que de part et d’autre d’un
double lien, les atomes d’hydrogène sont situés du même côté (comme un ‘V). Malheureusement, sous la pression et lors du durcisse ment partiel des AGPI, ces structures dièse se
transforment en ‘structures trans’. Les atomes d’hydrogène se situent dorénavant au côté opposé.
Si nous utilisons ces margarines et d’autres
graisses partiellement durcies, ces avortons feront partie de nos cellules et troubleront drastiquement nos fonctions cellulaires. (52) Dans notre organisme, elles minent l’intégrité de nos membranes cellulaires. Elles s’accaparent de la place dans les membranes
cellulaires normalement occupée par des graisses saines. Elles ne sont pas reconnues par notre organisme et troublent tant l’assimilation de substances nutritives, que l’évacuation de
déchets par une membrane cellu- laire irritée. En outre, elles dérangent le métabolisme normal des acides gras essentiels tels que l’acide linoléique et l’acide alpha-linolénique. Par
ailleurs, elles affectent la viscosité sanguine, le taux de cholestérol et les parois des vaisseaux. En 1958 déjà, Ancel Keys prétendait que le durcissement partiel de graisses provoque
des maladies cardiaques, à cause des graisses trans que ces graisses contiennent.
J. Aron, de l’université de San Francisco compare les
graisses trans dans notre corps au sable dans l’horlogerie suisse. L’horlogerie commence à fonctionner plus lentement jusqu’à ce que l’excès de sable enraye la mécanique. (65) En d’autres
termes, les graisses trans nous rendent malades, lentement mais sûrement. Udo Erasmus affi rme sans détour: ‘60 g de margarine ou de graisses de cuisson sont deux fois plus toxiques que tous les autres aliments que nous consommons en une
seule journée’ (181).
Presque tous les biscuits, les produits de boulangerie
tels que les croissants, gaufres, glaces, crackers, vinaigrettes, burgers végétariens, saucisses de Francfort, chips, frites, muffins, donuts, chips au chocolat, biscuits, pop-corn, les
sucreries et les margarines regorgent de graisses trans. Les graisses trans sont particulièrement présentes dans les plats des restaurants et dans la restauration collective (pour
hôpitaux, écoles et compagnies aériennes). A titre d’exemple, 1 portion de nuggets de poulet contient de 8 à 18 g de graisses trans et 1 portion de frites contient de 5 à 12g. Les
graisses dans les pommes frites françaises et belges peuvent contenir jusqu’à 46 % de graisses trans.
Les enfants en âge scolaire consomment des masses de graisses trans par le biais des en-cas (tels que les chips, les biscuits et les
barres). Ceux-ci auront notamment pour effet de miner leurs performances sexuelles et de procréation et réduire les chances de mettre
au monde des bébés en bonne santé. En outre, souvent 80% de ce que les enfants consomment est composé de graisses raffinées (choco), d’hydrates de carbone raffinés (pain
blanc) et de sucres raffinés (biscuits). Les graisses trans sont toujours présentes lorsque l’emballage mentionne: ‘graisses
entièrement ou partiellement durcies/hydrogénées”. A ce jour, il n’y a aucune obligation de mentionner les graisses trans sur les emballages dans la plupart des pays du monde. Mais il y a
du changement. Les autorités canadiennes les jugent nocives, alors que les Pays-Bas impose des restrictions sur le taux présent dans la margarine depuis les années ‘90 et depuis 2004,
elles sont partiellement interdites au Danemark. Ce n’est qu’après qu’un comité de scientifiques a affirmé qu’il
n’existe pas de niveau
sécurisant de graisses trans, c’est-à-dire après 100 ans, que l’Amérique a pris des mesures frileuses
pour la mention obligatoire sur les étiquettes à partir du 1.1.2006. Israël appliquera l’étiquetageobligatoire, probablement à partir de 2007. L’Europe étudie actuellement la question.
Les animaux ruminants tels que la vache, le mouton et la chèvre présentent un taux de graisses trans naturelles très limité (2 à 5%). Lorsque les animaux consomment des graisses trans par le biais de leur alimentation, leur graisse peut contenir davantage de graisses transformées chimiquement. Les graisses trans naturelles diffèrent souvent des graisses transformées chimiquement par leur comportement et la place que les liaisons trans doubles occupent dans la chaîne des acides gras. Chez les ruminants, celles-ci occupent la plupart du temps la 11ième position (acide vaccénique trans). Pour les graisses partiellement durcies, elles occupent souvent la 9ième, la 10ième ou la 12ième position. Mary Enig, spécialiste en graisses trans, définit ces dernières à juste titre comme étant des ‘avortons moléculaires’. Tout comme pour les légumes, les fruits, les céréales, les épices et les noix, l’alternance de graisses saines et d’huile extra vierge est raisonnable.
Il n’y a pas de différence entre les deux. La graisse est
la forme solide de l’huile et l’huile la forme liquide de la graisse. Tout est fonction de la température de fusion de l’huile ou de la graisse.
A titre d’exemple, l’huile d’olive est liquide à
température ambiante, alors que le beurre de cacao est solide à température ambiante. Par contre, l’huile d’olive se solidifie dans le réfri- gérateur, alors que le beurre de cacao se
liquéfie au-delà de 36°C. La température de fusion de l’huile de coco, par exemple, se situe aux alentours de 25°C. L’huile de coco et l’huile de palme rouge se liquéfient à la température corporelle.
Les médecins utilisent souvent le terme ‘lipides lorsqu’on parle de graisses. Le terme lipide englobe tous les composants graisseux. Toute graisse naturelle non traitée présente une composition unique et des propriétés uniques. On peut répertorier les graisses suivant de nombreux critères. Les trois critères utilisés le plus fréquemment par les scientifiques pour classer les graisses les plus courantes – à savoir les triglycérides – sont la mesure de saturation, la longueur des chaînes et la famille des omégas. Il est important de savoir qu’aucune graisse ou huile naturelle ne peut être classée à 100 % dans un seul groupe. Dans la nature, les graisses telles que l’huile d’olive ou l’huile de coco contiennent toujours une composition de différentes sortes de graisse, tel que la nature l’a voulu. Lorsqu’on raffine et fractionne fortement l’huile, comme c’est parfois le cas pour l’huile de poisson, il est possible d’extraire 1 sorte d’acide gras de l’huile, par exemple l’EPA. Mais le lecteur aura compris que la nature et l’évolution n’avaient pas prévu les choses de la sorte. Ce processus entraîne la perte de nombreuses bonnes choses (cf. ci-dessus). L’ensemble est meilleur que les éléments fractionnés. Quelqu’un qui a beaucoup de force, par exemple, a beaucoup de muscles. Mais les muscles ne sont rien sans os solides. L’ensemble prime donc sur la particule.
Cette répartition est basée sur le nombre d’atomes
d’hydrogène qui manquent dans les acides gras et le nombre de liaisons doubles qu’ils vont présenter en conséquence. Il s’agit des endroits les plus sensibles aux réactions dans une
molécule d’acide gras. Les graisses insaturées peuvent facilement provoquer des réactions positives ou négatives à ces endroits. Elles assurent par exemple la conduction électrique des
cellules, ce qui est positif. Mais à ces endroits, elles sont aussi très exposées aux attaques des radicaux libres et entraîner une réaction en chaîne de vieillissement (oxydation). Les
acides gras mono-insaturés manquent d’atomes d’hydrogène à un seul endroit et présentent une seule liaison double, alors que les acides gras poly-insaturés (AGPI) manquent d’atomes
d’hydrogènes à plusieurs endroits et présentent plusieurs liaisons doubles. Plus l’acide gras est insaturé,
plus il est instable et réactif. En d’autres termes, plus il peut provoquer des réactions et subir des
attaques et être endommagé...
Un avantage majeur des graisses saturées réside dans le
fait qu’elles ne présentent pas de lacune au niveau des atomes d’hydrogène et ne souffrent donc pas de doubles liaisons. Etant donné que les graisses saturées ne présentent pas de liaisons doubles, il s’agit de graisses beaucoup plus stables et peu
sujettes à l’oxydation.
Néanmoins, les trois types de graisse sont nécessaires. On pourrait dire que les
graisses satu- rées sont des partenaires fi dèles. Mais pour une relation passionnante et variée, les acides gras poly-insaturés sont également nécessaires. En d’autres termes, les
graisses saines sont synony mes de stabilité, assurent l’homéostasie (équilibre) dans votre organisme. Et on peut dire que les graisses insaturées, les graisses poly-insaturées en
particulier (AGPI) apportent la vitalité. Les graisses saturées constituent le toit et les murs de la maison. Les graisses mono-insaturées sont les fenêtres et les AGPI sont les portes.
L’intérieur de la maison respire la sécurité. Lors qu’on ouvre la fenêtre, l’air frais pénètre, mais les insectes peuvent également entrer et vous piquer. Lorsque vous sortez par la
porte, vous pouvez prendre du bon temps. Vous pouvez faire un jogging, mais également être renversé sur la route. La morale, c’est qu’on a besoin tant des graisses saturées,
mono-insaturées, que des graisses poly-insaturées.
Cette classification des acides gras insaturés est déterminée par le (les) emplacement(s) de la (des) liaison(s) double(s). Le chiffre après l’oméga indique l’endroit où se situe la première liaison double dans l’acide gras, à compter du côté méthylique de la graisse. Oméga-3, oméga-6, oméga-7 ou oméga-9... signifie qu’on trouve la première liaison double après le 3ième, le 6ième, le 7ième ou le 9ième atome d’hydrogène. Les acides gras oméga-3 et 6 sont dans tous les cas des acides gras poly-insaturés (AGPI), alors que les omégas 7 et 9 sont toujours des acides gras monoinsaturés. Leur fonction est différente. Vous trouverez davantage d’informations sur les acides gras dans le livret ‘La raison d’être des omégas 3 et 6?’
Les aliments sont mâchés par petits morceaux dans notre bouche et mélangés à des enzymes de digestion. Un signal part déjà de la bouche vers le cerveau pour préparer la digestion de la graisse. Dans l’estomac, les acides gras sont séparés des protéines et des hydrates de car- bone. La digestion proprement dite intervient dans la partie supérieure de l’intestin. Il existe une différence essentielle entre les chaînes d’acides gras courtes et moyennes d’une part et les longues chaînes d’acides gras d’autre part en ce qui concerne la durée la manière dont elles sont digérées.
Ces acides gras sont d’ores et déjà assimilés dans la partie supérieure de l’intestin et sont acheminés vers le foie par le biais de la veine porte. Le transport se fait via les protéines dans le sang (certaines albumines). La digestion est aussi rapide que celle des hydrates de carbones, étant donné qu’il s’agit de très petites molécules. Dans un premier temps, ils sont utilisés comme de l’énergie et n’ont presque pas l’occasion d’être stocké en tant que graisse. Vous les retrouvez dans l’huile de coco et de graine de palmiste.
La digestion des longues chaînes d’acides gras est
beaucoup plus complexe. Les graisses (triglycérides) présentant de longues chaînes d’acides gras ne sont pas hydrosolubles. Des acides biliaires doivent tout d’abord être produits par le
foie (la vésicule biliaire et le lieu de stockage des acides biliaires) pour pouvoir émulsionner les graisses, c’est à dire les diviser en petites particules. Ensuite, le pancréas sépare
les enzymes de digestion de la graisse (appelés lipases), qui décomposent les longues chaînes d’acides gras en plus petites unités: les glycé- rols et les acides gras libres. Ceux-ci sont
ensuite assimilés par le canal lymphatique et puis regroupés en triglycérides. Ces derniers doivent alors être reliés à une lipoprotéine (par la formation de ‘chylomicrons’) et sont fi
nalement transportés vers le foie ou d’autres fibres.
Les longues chaînes d’acides gras nécessitent 6 à 8
heures avant de pouvoir être utilisés par l’organisme. Ces acides gras servent tout d’abord de graisses corporelles et ensuite seule- ment d’énergie.
Les chaînes courtes d’acides gras (CCT): elles
contiennent de 2 à 4 atomes d’hydrogène et sont assez rares dans la nature. On les retrouve un peu dans le vinaigre, le beurre et le lait.
Les chaînes moyennes d’acides gras (MCT): elles
contiennent 6 à 12 atomes d’hydrogène. On les retrouve dans certaines plantes tropicales. L’huile de coco et de graine de palmiste sont les sources les plus riches, et dans une moindre
mesure également le lait et le beurre.
Les longues chaînes d’acides gras (LCT): elles contiennent plus de 12 carbones et sont les plus fréquentes dans la nature, notamment dans les graisses végétales, de poisson et
animales.
Mary Enig, spécialiste en graisses, auteur de ‘faits sur les graisses’ et travaillant à l’université de Maryland aux Etats-Unis, écrit que nous sommes tous induits en erreur par les dires de l’industrie du soja américaine, préconisant une diminution de la consommation de graisses saturées. Persuadée de sa raison, cette spécialiste conseille à tout un chacun de consommer des graisses saturées telles que l’huile de palme et de coco pour le bien-être. La graisse saturée est une composante essentielle de chaque cellule. Elle revêt une importance telle, que même la nature a pourvu toute alimentation végétale ou animale de graisse saturée. Tout s’explique.
Conclusion |
||
L’huile de coco courante est raffinée et est faite du
copra de noix de coco. Le copra est obtenu en séchant la pulpe de la noix de coco à température très élevée. C’est de ce copra que l’on extrait (à ce stade, à l’aide de solvants) l’huile
de coco. Ensuite, elle est blanchie, désodorisée et raffinée. Il en résulte un produit bon marché qui nuit à la santé! Lorsque les animaux sont nourris à la graisse de coco raffinée
contenant des graisses trans et non des graisses essentielles, cette graisse de coco traitée augmente le niveau de cholestérol auprès des animaux, selon une conférence donnée par Mary
Enig en 1996 au Vietnam.
Les stérols, la lécithine, les polyphénols, les
caroténoïdes, les minéraux, les vitamines E et les autres substances végétales sont éliminées par un processus de raffinage. Pourtant, toutes ces substances ont leur raison d’être. Les
Vitamines E préviennent le rancissement, les caroténoïdes protègent contre le soleil, les minéraux assurent la croissance et la conduction électrique, etc... L’huile de coco raffinée et durcie ne fond qu’entre 30 et 37°C et l’huile extra vierge pressée à froid aux alentours de
25°C. Cela signifi e que l’huile de coco raffinée est plutôt solide à température du corps, ce qui n’est pas
favorable à la santé.
L’huile de coco extra vierge est obtenue par la fermentation naturelle de la pulpe ou par la pression mécanique.L’huile extra vierge dégage un parfum de coco et
goûte comme tel, tout comme l’huile d’olive extra vierge a le goût d’olives. L’huile extra vierge est
parfaitement liquide à 25°C et présente une structure moléculaire toute petite. Elle est particulièrement saine et assimilable, tant par le biais des intestins, que via la
peau.
MCT sont des Medium Chain Tryglicérides, soit des chaînes
moyennes d’acides gras. Ces graisses sont surtout présentes dans l’huile de coco et l’huile de graine de palmiste. Les molécules des MCT sont plus petites, sont rapidement décomposées et
ne nécessitent que peu d’énergie et d’enzymes pour être assimilées et utilisées par notre organisme. Elles n’ont pas besoin d’enzymes du pancréas, (22) ni davantage l’intervention du foie
ou de la vésicule biliaire. C’est pourquoi les MCT d’huile de coco sont bénéfiques aux personnes souffrant de
problèmes de foie, étant donné qu’elles sont plus faciles à digérer. Contrairement aux autres graisses,
les MCT sont plutôt utilisées comme un carburant, que comme une graisse. (23) C’est pourquoi les MCT d’huile de coco sont très appréciées par les sportifs et qu’elles s’intègrent parfaitement au régime de vitalité.
Grâce aux propriétés curatives de MCT, celle-ci est
souvent utilisée dans les hôpitaux pour les patients ayant subi des brûlures et souffrant de maladies graves. (17) Les longues chaînes d’acides gras telles qu’elles apparaissent souvent
dans l’huile de poisson et dans les huiles végétales, sont plutôt stockées comme des graisses et ne sont utilisées que dans un deuxième temps comme de l’énergie.
L’huile de coco contient beaucoup de MCT, de petites
molécules pouvant être rapidement et aisément digérées. Le fait de remplacer des chaînes d’acides gras telles que l’huile de maïs, de tournesol, d’olive et de soja par de l’huile de coco chez les personnes
souffrant de problèmes de digestion, constitue un bon choix. Surtout en ce qui concerne les personnes plus âgées, les petits enfants et les personnes de nature plutôt
nerveuse, (3) les petits
enfants et les personnes de nature plutôt nerveuse, ou encore dans le cas d’un intestin spasmodique, de colitis ulcerosa, de
gastrite, de diverticulite, d’inflammation chronique de l’intestin, de maladie de Crohn et de constipation. l’intestin, de maladie de Crohn et de
constipation.Les
substances nutritives sont alors moins bien assimilées et le corps est encombré de substances toxiques émanant de l’intestin malade exerçant une pression
constante sur notre vitalité. Jeûner, désintoxiquer et l’huile de coco peuvent alors aider.
Les pharmaciens J. Graedon et le Dr. T. Graedon disent ceci:’ les macarons à la noix de coco (biscuits) sont meilleurs que n’importe quel médicament pour les personnes souffrant de la maladie de
Crohn’. (86)
Les MCT permettent une assimilation meilleure et plus
aisée des substances nutritives dans les intestins, que les LCT. (87). Plus la chaîne (p. ex. EPA et DHA de l’huile de poisson) est longue, plus elle est diffi cile à traiter pour les
intestins. Plus il y a d’acides gras AA (viande), plus l’intestin souffre d’infl ammation. Un régime riche en acides gras poly-insaturés (p. ex. le poisson gras, l’huile de tournesol,
l’huile de graines de lin) affectent le plus les intestins. (87) Les MCT issus de l’huile de coco permettent aux personnes dont le gros intestin a été partiellement ou totalement enlevé,
de mieux assimiler les substances nutritives (88). Cela s’explique par le fait que les MCT sont constitués de toutes petites molécules de graisse. Ainsi une étude belge a-t-elle confi rmé
que les vitamines E dans les formules de graisse comprenant des MCT sont assimilées deux fois mieux que dans les formules de graisse comprenant exclusivement des LCT. (89)
La construction d’une bonne flore intestinale peut être obtenue grâce à une alimentation non raffinée, riche en fi bres, avec des fruits et des légumes non traités. L’alimentation fermentée telle que la choucroute, d’autres légumes fermentés tels que certains pickles, des légumes riches en inuline comme les salsifi s noirs, les topinambours et les oignons, le Kombucha, le képhir, les chutneys, les fromages crus, le yaourt aux bactéries d’acide lactiques vivantes, le pudding fermenté aux céréales, certains vins, bières et vinaigrettes. Il va de soi que ceux-ci ne peuvent pas être pasteurisés ou chauffés, sans quoi les bactéries bienfaisantes mourraient.
L’huile de coco peut fournir une importante
contribution à la prévention et au soulagement d’inflammations dans le canal digestif. Ces infl ammations
apparaissent souvent en partie en réaction du corps aux organismes contaminés. Une étude britannique basée sur les
tests sur des souris est parvenue à la conclusion que l’huile de coco peut réduire de manière drastique le risque d’infl ammations et que cette huile convient en tant que thérapie pour
les maladies infl ammatoires aiguës et chroniques. L’huile de coco est particulièrement utile pour les personnes qui souffrent de la maladie de Crohn, c’est-à-dire l’infection des
intestins ou lors de colitis ulcerosa, une maladie similaire affectant le gros intestin.
Des recherches ont révélé que les composantes
anti-inflammatoires de l’huile de coco réduit l’irritation des intestins. En outre, les composantes anti-microbiennes de l’huile luttent contre les virus, les bactéries et les éventuels
champignons qui affectent les intestins lors de cette maladie ou sont à son origine.
Les personnes affectées d’une allergie au gluten (maladie cœliaque), souffrent souvent d’inflammations chroniques et de détérioration de la muqueuse de la paroi intestinale. Cela entraîne une diminution de la capacité d’assimilation de l’intestin et peut causer des diarrhées et s’avérer très douloureux. L’huile de coco et les produits à base de noix de coco peuvent, de par leur chaîne moyenne d’acides gras, protéger la paroi intestinale et contrer les réactions inflammatoires. La fonction anti-inflammatoire et partiellement aussi anti-bactérienne, antivirale et antifongique de cette chaîne moyenne d’acides gras, est particulièrement salutaire pour les personnes allergiques au gluten.
L’évolution a pourvu les plantes, les animaux et les hommes d’un certain nombre de mécanismes de protection, pour la défense contre toutes sortes de virus, de bactéries, de champignons, etc. Les noix de coco poussent dans un climat tropical, qui pullule d’organismes nous agressant sans cesse. Les noix de coco s’y sont adaptées par le biais de leur chaîne moyenne de graisses et ont développé naturellement un système anti-microbien. Le lait maternel et le lait d’autres mammifères comprennent également des acides gras lauriques MTC (acides gras moyens) pour protéger leurs nouveau-nés. (C’est pourquoi on retrouve également un peu de MCT dans le beurre). Une des caractéristiques uniques de l’huile de coco réside dans le fait qu’il s’agit d’alimentation antibactérienne, antivirale, antifongique et anti-protozoaire. (29,30)
Là où l’huile de coco est consommée depuis des générations, on sait qu’il s’agit d’un remède efficace pour guérir les blessures et qu’elle possède des propriétés anti-inflammatoires et anti-microbiennes. Certains experts en huile de coco mettent out en œuvre pour qu’elle soit re prise officiellement en tant que neutraceutique, un supplément alimentaire présentant une valeur nutritive élevée, qui prévient ou guérit les maladies chroniques. En effet, l’huile de coco peut renforcer notre système immunitaire. L’acide laurique, caprique, capronique, caprylique et myristique, qui représentent plus de 70% des acides gras de l’huile de coco, nous protègent contre les bactéries, les virus, les champignons, la fermentation et les protozoaires. En mangeant de l’alimentation préparée à l’huile de coco, nous nous protégeons mieux.
Les différents puissants acides gras anti-microbiens de l’huile de coco sont:
45% d’acide laurique (un MCT à 12 atomes
d’hydrogène)
10 % d’acide caprique (un MCT à 10 atomes
d’hydrogène)
8% d’acide caprylique (un MCT à 8 atomes
d’hydrogène)
0,5% d’acide capronique (un MCT à 6 atomes
d’hydrogène)
8 à 12% d’acide myristique (un LCT à 16 atomes
d’hydrogène)
L’acide laurique est libéré dans la peau pour protéger notre corps contre les microbes. L’acide laurique est présent dans le lait maternel pour aider à protéger le bébé contre les infections. L’acide laurique dans l’huile de coco protège également les personnes dans les tropiques contre les infections. L’huile de noix de coco contient le plus d’acide laurique parmi toutes les graisses ou huiles. La graisse de coco est composée à non moins de 45% d’acide laurique. Dans l’organisme, l’acide laurique est transformé en acide monolaurique. Cet acide monolaurique tue de nombreuses bactéries et virus grâce à une couche de graisse protectrice. Cependant, certaines études ont démontré que l’acide laurique proprement dit possède également des propriétés anti-microbiennes. (81) L’école de Berkeley a confirmé dans un bulletin d’information, que l’acide laurique protège même le foie et contribue à contrer l’inflammation.
Le lait maternel contient entre 45 et 50% de graisse
saturée, 35% de graisse mono-insaturée et entre 15 et 20% d’AGPI (oméga 3 et 6). Normalement, 18% du lait
maternel est composé d’acides gras lauriques et capriques, qui protègent le fœtus et le bébé contre les infections de champignons, de bactéries, de virus et de protozoaires
(35). C’est pourquoi les bébés qui ne reçoivent pas de lait maternel courent plus rapidement le risque de
tomber malade que ceux qui reçoivent du lait maternel de mamans en bonne santé. Ce niveau d’acides gras protecteurs peut tomber jusqu’à 3% à peine auprès des mères qui mangent des
aliments mai gres, beaucoup de junkfood comprenant des graisses trans. (1998, Am. J. of Clin.
Nutrition). L’ajout d’huile de coco et de produits de coco au repas des mères peut faire grimper ces niveaux
d’acides gras protecteurs de 27%. (119) Ainsi la mère, le fœtus ou le bébé sont-ils mieux protégés contre les infections.
De nombreux spécialistes
alimentaires considèrent l’huile de coco comme étant une très bonne alimentation pour les bébés de par sa teneur très élevée en acide laurique que l’on retrouve dans l’huile de coco. En outre, on retrouve dans l’huile de
coco des acides capriques, caprylique, capronique et mystirique, présentant les mêmes fonctions protectrices (ensemble, elles composent plus de 70% de la graisse de
coco).
Par ailleurs, l’huile de coco extra vierge est très
facilement digérable et affecte à peine le pancréas, le foie et la vésicule biliaire, ces organes sont d’ailleurs encore en plein développement chez les bébés.
Outre l’huile de coco extra vierge, les mères allaitantes
auraient en outre intérêt à absorber 1⁄2 à 1 cuiller à soupe d’omégas 3/6/9
végétaux et bio pour la formation saine des yeux et du cerveau du fœtus de leur bébé. Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la masse cérébrale du fœtus est triplée, alors que
le cerveau passe de 350 g à 1 kg entre la naissance à l’âge d’1 an.
Des graisses MCT issues de la noix de coco, le cholestérol et les acides gras oméga 3 et 6, voilà ce dont le cerveau a besoin. La masse sèche du cerveau est d’ailleurs composée de 60 à
80% de graisses.
Recommandation aux mères enceintes et aux mères
allaitantes: consommez 1 à 3 cuillers à soupe d’huile de coco extra vierge à l’huile de palme rouge par
jour, ainsi qu’1 cuiller à soupe d’oméga 3/6/9 végétaux, assortis de suffisamment de vitamines E naturelles et de caroténoïdes. 100% bio et pressé à froid, cela va de
soi.
Recommandé pour les bébés jusqu’à 2 ans qui ne sont
plus allaités: 1 à 3 petites cuillers à café d’huile de coco et de palme par jour, à répartir sur les
repas et 1 à 2 cuillers à café d’oméga 3/6/9 végétaux. 100% bio et pressé à froid, cela va de soi.
Lorsque le système immunitaire fonctionne bien, notre
organisme peut généralement se défendre lui-même et les antibiotiques ou les vaccins ne sont pas nécessaires. D’ailleurs, bon nombre des bactéries et des virus qui nous entourent sont
‘amicaux’. Sans eux, la vie n’est pas possible pour l’être humain. Seuls nos intestins déjà comptent près de 2 kg de ces petits organismes.
Grâce à une hygiène accrue, d’importants progrès ont été
réalisés au cours de ces 150 derniè res années dans la lutte contre les maladies infectieuses. Malheureusement malgré tout notre savoir, nous ne pouvons pas empêcher des épidémies de se
déclarer. Même les nouvelles bactéries ou les variantes d’un type plus ancien demeurent une plaie pour la médecine. Les statistiques nous révèlent que depuis 1980 la mortalité consécutive à des maladies infectieuses a fortement
augmenté. (38) Deux grands
facteurs résident dans les habitudes alimentaires malsaines et l’utilisation exagérée et erronée d’antibiotiques.
L’huile de coco peut représenter une alternative naturelle aux antibiotiques. L’huile de coco nous protège non seulement contre les bactéries, mais également contre les virus et les protozoaires. L’huile de coco contribue également à l’enrayement d’infections fongiques. Si vous utilisez malgré tout des antibiotiques, faites vous du bien avec l’huile de coco pour prévenir des infections fongiques.
Jadis, on partait du principe que les ulcères à l’estomac
étaient dus au stress. Bien que le stress puisse intervenir dans de nombreuses maladies, nous savons aujourd’hui que l’Helicobacter pylori (H. pylori) est une des grandes causes de
l’inflammation chronique de l’estomac et à l’origine de 90 % des cas d’ulcère à l’estomac. Les traitements aux antibiotiques sont souvent positifs, mais malheureusement, les rechutes sont
nombreuses et les effets secondaires désagréables.
Il y a trois avantages majeurs à combattre ces ulcères par
des acides gras contenus dans l’huile de coco.1. Les bactéries et virus ne deviennent pas résistantes à
l’huile de coco, étant donné que cette dernière s’adapte sans cesse à son environnement. 2. L’huile de coco ne cause pas d’infection fongique, elle l’empêche plutôt. 3. L’huile de coco
n’affaiblit pas le système immunitaire, mais le renforce plutôt.
Les chercheurs ont encore découvert autre chose
d’intéressant dans le succès de l’huile de coco. Lorsqu’une forme insaturée d’acide laurique a été testée pour la destruction de bacté ries face à la version saturée de l’huile de coco,
ils sont parvenus à la conclusion que la forme saturée de l’huile de coco était mille fois plus efficace que sont partenaire insaturé. (10) Même si les monoglycérides de la plupart des
graisses à chaîne moyenne étaient efficaces dans la destruction de bactéries, l’acide laurique était le seul acide gras qui détruisait également de façon efficace le H.
pylori.
‘Jamais auparavant dans l’histoire, il n’a été plus important de souligner la valeur de l’acide laurique. Les chaînes moyennes d’acides gras de l’huile de coco sont les mêmes que celles présentes dans le lait maternes et présentent les mêmes avantages pour la santé’, d’après le spécialiste en lipides Dr. Jon Kabara. | ||
L’huile de coco peut non seulement réduire notre
dépendance aux antibiotiques, elle con tribue également à un équilibre sain de notre flore intestinale. Un des effets secondaires décourageants des médicaments et des antibiotiques réside
dans le fait qu’ils éliminent non seulement les mauvaises bactéries, mais également les bonnes et peuvent ainsi causer des infections fongiques.
Les pays où la population consomme beaucoup de noix de
coco sont souvent des pays ou apparaissent beaucoup de champignons. L’Inde, le Sri Lanka, l’Indonésie, la Polynésie et les Philippines sont de tels pays et il est frappant de constater
que si peu de gens y souffrent d’infections fongiques. (111) Les femmes polynésiennes par exemple, ne
souffrent que très rarement d’infections fongiques.
Le remède naturel le plus connu contre les champignons
est l’acide caprylique, un acide gras de la chaîne moyenne également présent dans l’huile de coco. L’université d’Islande a réalisé une étude à grande échelle sur l’efficacité de
concentrations élevées en acide laurique et en acide caprique. (9) Ils ont découvert que l’acide caprique est
l’acide gras le plus rapide et le plus efficace dans la lutte contre le champignon Candida albicans. Mais en présence de faibles concentrations, c’est l’acide laurique qui était le plus
actif et ce même après un temps d’incubation prolongé. L’acide caprylique venait en troisième position. (98) Ces trois acides gras sont abondamment présents dans l’huile de
coco. D’autre recherches ont démontré que les MCT présents dans l’huile de coco tuent les champignons
tels que le Candida albicans (106)
Trois cuillers chaque jour, à chaque fois pendant ou avant le repas, fait disparaître la colonie de champignons dans les intestins. Le dépérissement en masse des champignons tels que le Candida albicans peut provoquer temporairement des maux de tête, de l’éruption cutanée et de la diarrhée. C’est ce qu’on appelle l’effet de dépérissement ou la réaction de Herxheimer. L’élimination rapide des micro-organismes libère des substance toxiques des champignons. Néanmoins, cette réaction désagréable est un signe indiquant que vous êtes sur la bonne voie dans la destruction des champignons.
Une fois qu’elles ont été développées, les substances des antibiotiques chimiques demeurent les mêmes. Les antibiotiques ne tuent plus que les bactéries non résistantes. Etant donné que l’instinct de survie des bactéries les pousse à s’adapter sans cesse, les antibiotiques actuels deviennent tôt ou tard inutiles. Plus la pression sur les bactéries est élevée, plus rapidement elles s’adaptent. Plus nous utilisons d’antibiotiques, plus nous rendons les bactéries ‘intelligentes’. C’est pourquoi les hôpitaux sont des foyers de nouvelles variantes: les ‘bactéries d’hôpital’. Avant et après presque chaque opération, on utilise des antibiotiques. Un antibiotique développé aujourd’hui aura en grande partie perdu sa valeur dans le futur. Il en va autrement de l’huile de noix de coco. L’huile de coco est un produit naturel qui évolue avec son environnement et s’adapte dans son souci de survie. La morale, c’est qu’à long terme, l’utilisation abondante d’antibiotiques donnera une longueur d’avance aux bactéries sur l’être humain. Améliorez votre santé, consommez de l’huile de coco et votre corps fera le reste.
L’acide mono-laurique démantèle les membranes de graisse
des virus et rend les champignons passifs. Elle dissout véritablement la couche de graisse protectrice,
l’enveloppe de certains virus et certaines bactéries, ce qui laisse l’occasion au système immunitaire humain d’achever le travail.
De toutes les graisses saturées, l’acide laurique possède le plus grand effet antiviral, plus même que l’acide caprylique ou l’acide
mystirique. (82) L’huile de coco a un effet positif sur les tumeurs, les maladies sexuellement
transmissibles, la méningite et peut même réduire de 80% les caries dentaires.
A travers le monde entier, on dénombre près de 50 millions de nouveaux cas de personne contaminées de Chlamydia trachomatis (la maladie sexuellement transmissible la plus contagieuse), pouvant être éradiquée par l’acide mono-laurique. | ||
Si les mauvaises bactéries, les virus et les champignons dans notre corps sont tués par l’huile de coco, notre état de santé général s’améliorera. En effet, un excès de mauvaises bactéries, de virus et de champignons peut nous épuiser, causer une fatigue chronique et nous rendre malades, affecter notre résistance et causer de nombreux petits maux et des maladies. En ajoutant l’huile de noix de coco à votre régime alimentaire, vous profiterez d’une énergie accrue. D’après le Dr. Mary Enig, une personne adulte devrait consommer quotidiennement 24 grammes d’acide laurique à des fins thérapeutiques. Cela correspond à 3,5 cuillers à soupe d’huile de coco par jour.
Des millions de personnes à travers le monde entier sont
infectées du virus HIV ou souffrent du SIDA. Un cocktail de médicaments exotiques peut-il fournir la solution ? C’est peu probable. Les propriétés méconnues du virus, font qu’il est très
difficile de lutter contre le HIV. Une alimentation saine et l’huile de coco extra vierge possèdent peut-être non seulement le potentiel de contribuer à lutter contre le HIV, mais peuvent
certainement aussi adoucir les symptômes et les effets secondaires du SIDA.
Le HIV peut notamment être combattu par l’huile de coco
de la même manière que cette huile se montre efficace contre les autres bactéries ou virus. Récemment, il y a eu beaucoup d’agitation et de recherches sur la manière dont le virus 6A de
l’herpès humain (HHV-6A) peut coopérer de façon synergique avec le virus HIV dans les attaques contre le système immunitaire. Cela se fait surtout par la réduction d’une sorte spécifique
de lymphocytes (CD4) et la destruction des ganglions lymphatiques. Une étude menée par Knox et Carrigan dans le Wisconsin a démontré que la principale forme de ce virus apparaît dans les
ganglions lymphatiques de tous les patients testés et contaminés du
virus HIV. (12)Heureusement, le HHV-6A est un des virus qui peut être détruit par les graisses à chaîne moyenne
(MCT’s), que l’on
retrouve dans l’huile de
coco. ‘Les études révèlent que l’huile de coco exerce un effet antiviral et peut
réduire le niveau d’infection virale des patients souffrant du virus HIV. L’action antivirale positive n’est pas seulement obtenue par les monoglycérides de l’acide laurique, mais également par l’huile de
coco proprement dite. Grâce à l’huile de coco, il existe un produit pas cher dans la lutte contre le virus HIV. (13) La quantité thérapeutique recommandée d’huile de coco est de 3,5
cuillers à soupe par jour, ce qui correspond à une demi noix de coco. Outre sa contribution à la lutte contre
les infections auprès des patients du SIDA, elle les aide également à conserver plus facilement leur poids. L’huile de coco aide les patients sous-alimentés à retrouver leur poids adéquat sans risque d’excédent pondéral. L’huile de coco
peut donc constituer un supplément nutritif important pendant la thérapie. Elle est facile à digérer, apporte une énergie directe, améliore la fonction intestinale et peut être aisément
intégrée à une multitude de recettes.
‘Le véritable problème du diabète se situe dans le
déréglage du métabolisme graisseux et non pas dans la transformation du sucre. Le problème du sucre est un problème connexe au trouble du métabolisme
graisseux, dit le Dr. Johanna Budwig. Les acides gras trans et les graisses raffinées jouent un rôle
extrêmement négatif auprès des diabétiques en matière de développement de maladies cardio-vasculaires. Les
diabétiques doivent éviter les graisses raffinées et oxydées plus encore que les autres personnes, étant
donné que les graisses trans et les graisses raffinées entravent le bon fonctionnement des membranes cellulaires. Le sucre sanguin (glucose) éprouve par conséquent beaucoup plus de
difficultés à pénétrer les cellules. En d’autres termes: une trop grande quantité de graisses trans et de graisses raffinées ont, par leur impact négatif sur les parois cellulaires, rendu
les cellules moins sensibles à l’insuline. En remplaçant les graisses malsaines par les graisses saines, les
cellules seront à nouveau plus sensibles à l’insuline.
Dans les populations où l’on mange les graisses saturées
de la noix de coco, le diabète est rare. Une étude effectuée en Inde en 1998 a démontré que les indiens ayant abandonné leur alimentation traditionnelle à base de ghee et l’huile de coco
au profit des acides gras raffinés poly-insaturés (AGPI) de l’huile de tournesol et de carthame (MOV’s), présentent des signes alarmants de diabète.
Des études réalises en Polynésie ont également révélé
qu’au sein des groupes de populations qui migrent de l’alimentation traditionnelle riche en huile de noix de coco, vers une alimentation moderne riche en AGPI raffinés, la relation avec
l’augmentation de diabète, est clairement établie. Les indiens souffrent de diabète depuis qu’ils consomment
une alimentation raffinée. Nulle part au monde le diabète n’est plus fréquent, que parmi les indiens ‘américanisés’.
Une autre affectation potentielle de l’huile de coco réside dans le traitement d’agrandissements bénins de la prostate chez les hommes (BPH of hypertrophie bénigne de la prostate). Actuellement, il existe un traitement très populaire aux herbes, à savoir aux baies de palme (Sabal serrulata ou Serenoa repens). Ces baies contiennent des composants graisseux qui entravent la transformation de la testostérone en DHT favorisant fortement la croissance de la prostate et contribuent ainsi à contrer la croissance de la prostate. La composante active de ces baies réside dans la part de graisse, qui contient surtout des acides gras avec une chaîne de longueur moyenne. C’est pourquoi l’huile de coco, riche en MCT, peut avoir un effet positif sur la prostate. (4)
Les soins de la peau:
Ce n’est pas un hasard si les personnes vivant dans les contrées où la noix de coco fait partie de l’alimentation quotidienne et des coutumes, ont une peau douce et des cheveux
éclatants.
L’huile de coco est importante, tant pour l’intérieur,
que pour l’extérieur de votre corps.
1. À l’intérieur: en vous protégeant contre les radicaux libres, tant à en vous protégeant contre les radicaux libres, tant à l’intérieur, qu’à
l’extérieur, vous pouvez accroître votre aspect jeune, prévenir en grande partie les tâches de pigmentation brune et limiter les rides. Les radicaux libres sont des molécules instables et
agressives qui endommagent les cellules, les protéines, les graisses, le DNA et accélèrent dès lors le vieillissement. Les rides, les tâches de pigmentation brunes sont souvent la
conséquence de dommages causés par de tels processus d’oxydation. Etant donné que l’huile de coco contient des graisses saturées et stables, celle-ci n’est pas attaquée par les radicaux
libres. Les acides gras insaturés partiellement remplacés par des acides gras saturés, réduit le risque de
formation de radicaux libres.
2. À l’extérieur: l’huile de coco contient des substances protectrices telles que l’acide lau rique, nécessaires à la peau pour se prémunir de la
déshydratation et des effets nuisibles de l’extérieur. Le lubrifiant (sébum) que la peau produit
naturellement est principalement composée de MCT, tels qu’ils apparaissent abondamment dans l’huile de coco. L’huile de coco est en outre légèrement génératrice d’acide, tout juste ce qui
est nécessaire à la peau. L’huile de coco peut constituer une excellente alternative aux produits
cosmétiques coûteux. (39) Nombreux sont les produits commerciaux qui contiennent des produits chimiques (irritants) indésirables, débordent d’adjuvants malveillants, d’émulsifi ants, de
toutes sortes de conservateurs et d’aromatisants chimiques et souvent de graisses raffinées insaturées (qui rancissent une fois appliqués sur la peau et défaits de leurs substances
curatives, telles que les vitamines E et le carotène). En d’autres termes, ils contiennent beaucoup de substances néfastes et peu de substances curatives.
La plupart des produits de soins de la peau sont fabriqués à base de dérivés de pétrole ou à base d’eau. Ce n’est pas cher, mais c’est précisément ce dont notre peau n’a pas besoin. Les
lotions à base d’eau laissentsouvent la
peau dans le même état de déshydratation qu’avant son utilisation. L’eau adoucit la peau à court terme, mais une fois évaporée, la peau est plus sèche qu’avant. En effet, le lavage fréquent déshydrate la peau. Jeremy, un professeur de yoga que je connais, dit ceci:: ‘1 fois par semaine, après
la douche, je m’enduis complètement d’huile de coco pour protéger ma peau. Avant de m’habiller, je laisse l’huile de coco pénétrer pendant 15 minutes’. En vous enduisant d’huile de coco
après la douche, vous rétablissez en outre la couche protectrice de la peau.
Les taches rouges sur la peau (en cas de psoriasis ou d’eczéma) peuvent diminuer
par la consommation régulière d’huile de coco et par son usage externe. L’huile de coco contient 3 acides gras qui protègent la peau contre les attaques microbiennes et les substances
nuisibles de notre environnement: l’acide capronique, l’acide caprylique et l’acide laurique. En d’autres termes, ils contrent les réactions infl ammatoires. La peau produit l’acide
laurique pour protéger notre corps contre les microbes. La source la plus riche en acide laurique, c’est l’huile de coco. Mélangez par exemple l’huile de coco à quelques gouttes d’huile
essentielle de lavande.
L’important, c’est d’utiliser de l’huile de coco
biologique extra vierge non durci, désodorisée, ni raffinée. En enduisant (sans imprégner jusqu’à sécher) votre corps d’huile de coco après votre bain ou votre douche, vous constaterez
qu’après un certain temps, que votre peau est beaucoup moins sèche qu’auparavant. Dans les groupes de
populations qui consomment beaucoup de noix de coco, on utilise cette huile pour soigner les blessures dues à des coupures, les infections cutanées ou les écorchures. L’huile de coco peut également être utilisée en combinaison avec les huiles essentielles de tea tree, de cannelle ou de sarriette
pour enlever les verrues. Succès garanti dans les 3 mois, à condition d’imbiber plusieurs fois par jour.
L’huile de noix de coco n’est évidemment pas la seule mesure pour obtenir une belle peau. Les habitudes alimentaires saines incluant beaucoup de légumes et suffisamment de céréales, d’épices et de noix, sont également
essentielles. Une attention suffi sante pour les vitamines E, C, le silicium, les omégas 3 et tout particulièrement les omégas 6, sans excès, est essentielle pour une peau saine. En
ajoutant de l’huile essentielle de lime, de citron, de mandarine et d’orange à l’huile de coco, vous obtenez un effet miraculeux pour une peau jeune et douce. (cf. crème pour les
mains).
Dans l’ayurveda, on utilise le ghee (beurre
clarifié) et surtout l’huile de coco en tant que support pour les médicaments et les mélanges d’épices. Cela s’explique surtout par le fait que l’huile de coco est une graisse très stable possédant une fonction anti-microbienne. A
température ambiante, elle peut être conservée pendant 2 ans au moins.
La crème idéale pour les
mains: observez la liste des ingrédients d’une crème pour les mains normale. Elle regorge souvent de
saletés, d’eau et de mots abracadabrants. Des mots chinois dont on préfère ne pas connaître la signification. En outre, on utilise souvent du parabène sous différentes formes pour la
sacro-sainte conservation, produit dont on sait qu’il est cancérigène. Il vaut mieux de moins se laver les mains, que d’utiliser ces crèmes bidon chères ou pas
chères. L’huile de coco extra vierge est curative pour les mains sèches. Les très petites molécules de graisse riches en MCT pénètrent rapidement dans la peau. C’est encore mieux si vous ajoutez à l’huile de
coco un peu d’huile essentielle de lime, de citron et d’orange. Cela confère à votre crème pour les mains à base d’huile de coco un parfum délicieusement frais. En outre, les huiles
essentielles de la lime, du citron, de la mandarine et de l’orange confèrent également à vos mains une douceur soyeuse. Pourquoi ?
L’huile essentielle contenue dans la pelure de ces fruits fait en sorte que l’épluchure conserve son équilibre d’humidité. Faites le test vous-même. Râpez légèrement la pelure d’une lime,
d’un citron ou d’une orange. Mettez le fruit avec sa pelure légèrement râpée de côté et vous constaterez après un jour déjà qu’elle est devenu toute dure. La pelure a perdu son huile
essentielle après avoir été râpée. Ce que l’huile essentielle peut faire pour la pelure, à savoir réguler l’équilibre d’humidité, elle peut également le faire pour
vous. Convient aussi idéa lement pour les crevasses aux pieds (et aux mains): frottez vote talon avec l’huile de coco chaque soir avant de vous coucher, enfi lez des chaussettes propres et vous constaterez
après quelques nuits déjà que vos pieds vont mieux! Combinez ce traitement avec la prise d’une cuiller d’omégas 3/6/9 végétaux par jour.
L’huile de coco est beaucoup plus sûre que les pro- duits à base de dérivés de pétrole et constitue donc un choix idéal en tant que lubrifiant naturel. Elle est beaucoup meilleure que la vaseline, qui est en outre un dérivé du pétrole. D’ailleurs, qui aurait l’idée laisser pénétrer dans son corps ou d’appli- quer sur son corps des dérivés de pétrole ? L’huile de coco est une alimentation vivante et stimule en outre les pulsions sexuelles. Sa teneur élevée en acides lauriques, capryliques et caproniques fait que l’huile de coco combat les infections fongiques et agit de façon curative. Lors d’infections fongiques, consommez beaucoup d’huile de coco (2 à 3 cuillers par jour) et appliquez-la sur le peau et sur le vagin.
L’huile de coco pure ou mélangée à l’huile de noix de cajou, l’huile d’olive, l’huile d’amande ou l’huile d’avocat, forme un excellente huile de massage. Si vous utilisez de l’huile de coco pure, est se solidifie à moins de 25 °C et fond lors du massage. Vous la préférez toujours liquide ? Alors mélangez-la avec les huiles susmentionnées et avec quelques gouttes d’huile essentielle de lavande, de camomille, de romarin, de rose, de bergamote ou de santal: ces mélanges vous permettez de profiter pleinement de votre massage. Certaines d’entre elles sont même délicieuses à manger ou à lécher. Attention: certaines huiles essentielles peuvent causer des réactions allergiques chez certaines personnes.
L’huile de coco a une fonction fortement anti-bactérienne, antivirale et antifongique. Par con- séquent, il n’y a rien de meilleur, ni de plus naturel pour vous brosser les dents. D’après le Dr. J. Kabara, l’huile de coco pour prévenir les caries dentaires à 80%. En ajoutant un peu d’hui- le essentielle de votre goût et dont vous aimez le parfum, vos dents et votre partenaire vous seront très reconnaissants. De nombreux dentifrices sont bourrés de produits bidons, qu’il est préférable de ne pas mettre en bouche. Même beaucoup de dentifrices ‘naturels’ contiennent une masse de sorbitol pour camoufler les produits médiocres qu’ils entourent. Evidemment, l’huile de coco convient également parfaitement en tant que baume pour les lèvres.
En Inde et aux Philippines, on sait depuis longtemps
déjà que l’huile de coco a un effet fantastique sur les cheveux. Il s’agit du conditionneur parfait pour les cheveux et leur confère un éclat naturel. Une étude a comparé les effets de l’huile de coco, de tournesol et minérale (dérivés de pétrole) lors du traitement de cheveux
abîmés ou non endommagés. L’huile de coco était en mesure de mieux limiter la perte de protéines des cheveux
abîmés et sains, que
l’huile de tournesol ou l’huile minérale. Les chercheurs disent que les molécules de taille particulièrement
petite de l’huile de coco est en mesure de pénétrer plus facilement et plus profondément dans le cuir chevelu. (97)
Joke, une herboriste, frotte hebdomadaire les poin- tes mouillées des cheveux de sa petite fille avec de l’huile de coco extra vierge, pour leur donner un éclat naturel et les protéger contre le dessèchement et la
souillure extrême. Dans un premier temps, un régime alimentaire équilibré enrichi d’huile de coco et d’un peu d’omégas 3/6/9 constitue bien sûr la meilleure manière d’améliorer la
condition de votre peau et de vos cheveux. La beauté vient avant tout de l’intérieur ! Les germes de blé sont
particulièrement bénéfiques aux cheveux. Les germes de blé contiennent beaucoup de silicium et presque toutes les vitamines B nécessaires à des cheveux solides. En utilisant également l’huile de
coco extérieurement, vous renforcez l’ensemble d’une manière naturelle. Dans les pays tropicaux, ils s’en servent généralement avant de se laver les cheveux.
L’huile de coco semble également bien fonctionner chez certaines personnes pour les problèmes de pellicules, de squames et de
poux. A utiliser avant ou après le lavage. L’huile de coco peut également être utilisée pour
faire disparaître les verrues ou les champignons des ongles. Ajoutez l’huile de coco dans une solution d’un peu d’ail pressé et d’un soupçon d’huile tea tree pour renforcer l’ensemble. Appliquer
quotidiennement 3 à 4 fois avec la noix de coco lors des repas et ce pendant 2 à 4 mois... et les verrues et champignons disparaîtront. Le pelage des animaux voit également son éclat
augmenter avec l’huile de coco, surtout en ce qui concerne les chevaux.
L’huile de coco constitue un déodorant idéal. Les bactéries qui font sentir la transpiration sont tuées par les acides caproniques, capryliques et lauriques de l’huile de coco extra vierge. En ajoutant encore un peu d’huile essentielle de thym, de romarin, de tea tree ou de sauge, vous renforcez encore le fonctionnement anti-bactérien qui empêche les odeurs désagréables.
Etant donné qu’elle contient principalement des graisses
saturées, l’huile de coco ne se ran cira pas de si tôt à température ambiante, ni ne changera de structure à des températures élevées. Elle convient idéalement à la cuisson, même au wok,
pour rôtir et frire. Pourquoi ? L’huile de coco contient 92% de graisse saturée saine et maximum 2% d’acides gras polyinsaturés (AGPI). Par conséquent, l’huile de coco est 3000 fois moins
sujette à l’oxydation que par exemple l’huile de graines de lin et 5 fois moins que l’huile d’olive. L’huile de coco peut se conserver aisément à température ambiante pendant deux ans
sans rancir. Elle peut être chauffée à des températures élevées à plusieurs reprises, sans risque de
formation de graisses tans ou de radicaux libres. (31)
Cherie et John Calblom, ainsi que Michael Mahaffey, auteurs du livre ‘The complete cancer cleanse’, recommandent vivement dans leur livre de cuire avec de l’huile de coco extra vierge
car, disent-ils, l’huile de coco est l’huile la plus stable de toutes les huiles végétales’. (34) Udo Erasmus
considère également l’huile de coco vierge comme la meilleure graisse à chauffer. L’huile de coco extra vierge contient 0% de graisses trans. Il s’agit d’une solution parfaite pour éviter les graisses trans très malsaines dans votre propre cuisine. Si de nombreux fabri
cants de produits traités remplaçaient leur huile végétale raffi née et hydrogénée par de l’huile de coco extra vierge, les gens auraient un aspect plus beau et plus sain.
N’utilisez que de l’huile de coco extra vierge de qualité biologique. Il est important d’opter pour de l’huile de coco biologique, non raffinée, non désodorisée et non durcie. La plupart des huiles de coco sont malheureusement raffi nées, désodorisées et décolorées. Ne choisis- sez que de l’huile de coco extra vierge de qualité biologique, qui dégage encore un parfum de noix de coco.
Toutes les grandes marques vendent des huiles de friture
bon marché, mais malheureusement extrêmement malsaines: l’huile végétale raffinée, l’huile désodorisée,
l’huile végétale durcie ou des graisses animales durcies. La plupart des gens, mais aussi des fabricants
de biscuits utilisent ces graisses bon marché et raffinées. Ces huiles troublent les fonctions corporelles, sont néfastes pour les membranes cellulaires et pour notre vitalité dès que vous avalez la moindre frite. Après 7 ou 11 fois, ces graisses sont devenues excessivement nuisibles et même les fabricants confi rment qu’elles ne conviennent plus à
la friture.
Heureusement, il y a une manière de manger des frites saines, qui seront en outre
probablement les meilleures frites que vous n’ayez jamais mangées. Les frites issues de la friture dans
l’huile de coco extra vierge sont ultra saines et douces au goût. L’huile de coco extra vierge est une huile super saine qui conserve ces propriétés saines et ne devient
pas nocive lorsqu’elle est chauffée! En théorie, cette huile peut
être utilisée
indéfiniment à
condition de la filtrer régulièrement.
Néanmoins, je conseillerais de la remplacer
après 2 ans. Veillez à bien fermer la friteuse après l’utilisation. Attention, donc: n’utilisera pas de graisse de coco désodorisée, durcie, partiellement durcie ou raffi née, mais
uniquement de l’huile extra vierge!! L’arôme de coco se perd en grande partie et les frites ont
ungoût
particulièrement doux,
qui ne peut être ob tenu qu’avec de l’huile de coco extra vierge.
% saturé | % mono | % AGPI | ||||||||
Le summum! Les seules huiles stables pour la friture, ne doivent être remplacées qu’après 2 ans, à condition de filtrer régulièrement. Excellentes pour la friture, la cuisson et la cuisine au wok | ||||||||||
Huile de coco extra vierge | 92 | 6 | 2 | |||||||
Huile de graine de palmiste extra vierge | 85 | 13 | 2 | |||||||
Très bonnes alternatives: pour 7 à 10 fritures, Très bon pour la cuisson traditionnelle et au wok à une seule reprise |
||||||||||
Beurre de cacao extra vierge | 59 | 39 | 2 | |||||||
Graisse de bœuf non durcie | 59 | 38 | 3 | |||||||
Graisse de mouton non durcie | 52 | 45 | 3 | |||||||
Beurre clarifié (ghee) | 63 | 31 | 6 | |||||||
Babassu, Capu Assu et beurre Shea | ||||||||||
Bonnes alternatives: conviennent moins pour la friture répétée, mais conviennent pour la cuisson traditionnelle ou au wok à une seule reprise | ||||||||||
Huile de palme rouge extra vierge | 50 | 40 | 10 | |||||||
Graisse de porc non durcie | 55 | 34 | 11 | |||||||
Graisse de canard non durcie | 33 | 56 | 11 | |||||||
Huile de noix de cajou extra vierge | 20 | 73 | 7 | |||||||
Huile d’olive extra vierge | 16 | 76 | 8 | |||||||
Huile de noix de macadam extra vierge | 12 | 71 | 7 | |||||||
Huile d’avocat extra vierge | 20 | 70 | 10 | |||||||
Huile de sésame extra vierge ** | 13 | 42 | 45 | |||||||
Huile de tournesol spéciale* | 10 | 81 | 9 | |||||||
Huile de carthame spéciale* | 8 | 80 | 12 | |||||||
* Les sortes hybrides ne contenant que peu d’AGPI et de nombreux acides gras mono-insaturés, doivent être extra vierges. ** Contiennent de la sésamine qui protège relativement bien les AGPI. |
||||||||||
Graisse saturée saine: convient très bien pour être chauffée, même à plusieurs reprises. Les propriétés sont maintenues, même lorsqu’elle est
chauffée. Mono-insaturé: convient pour être chauffée, de préférence pas de façon répétée. Poly-insaturé: ne convient pas pour être chauffée,
surtout pas à plusieurs reprises. Ces huiles s’oxydent et sont nuisibles lorsqu’elles sont chauffées, exposées à la lumière et à l’oxygène.
Le point de fumée de l’huile de cuisson est
également important. Dès que l’huile commence à fumer, elle est extrêmement nocive. L’huile qui fume est
malsaine. L’odeur âcre de graisse brûlée qui fume s’appelle l’acroléine. L’acroléine cause l’irritation par une pression accrue sur les voies respiratoires et diminue également le rythme
respiratoire. Mais étant donné que je conseille à tous de ne pas chauffer au-delà de 180°C, cela ne devrait
pas jouer un rôle pré- pondérant. Les températures plus élevées sont non seulement nuisibles pour la
graisse, mais aussi pour l’alimentation proprement dite. Les températures élevées génèrent par exemple des amines hétéroclites (des protéines nuisibles) dans
l’alimentation. De la même manière, cuisiner au wok à température élevée est également malsain pour la
graisse, mais aussi pour l’alimentation.
Le point de fumée varie selon la qualité et le type
d’huile. Plus le taux d’acidité est bas, plus le point de fumée est élevé. Plus la qualité de l’huile est bonne, plus le point de fumée sera élevé. Le point de fumée de l’huile d’olive
extra vierge peut par exemple se situer entre 139 et 207°C.
Evidemment, les huiles ne sont valables que si elles
sont extra vierges (cf. les inconvénients des huiles raffinées): non durcies, non raffinées, non désodorisées, non blanchies, non mani pulées. En outre, il ne faut opter que pour des
produits bio car les pesticides, les herbicides, les antibiotiques et les PCB sont surtout stockés... dans les graisses.
LES MAUVAISES GRAISSES DE CUISSON/HUILES SONT: | ||||||||
saturé | mono | AGPI | ||||||
Ne conviennent pas pour être chauffées | ||||||||
L’huile d’arachide | 19 | 51 | 30 | |||||
L’huile de colza | 9 | 61 | 30 | |||||
Conviennent encore mois pour être chauffées | ||||||||
L’huile de maïs | 17 | 24 | 59 | |||||
L’huile de soja | 14 | 28 | 58 | |||||
Conviennent le moins pour être chauffées | ||||||||
L’huile de tournesol (normale) | 11 | 21 | 67 | |||||
L’huile de carthame (normale) | 12 | 13 | 75 | |||||
Ces huiles contiennent trop d’AGPI et deviennent nocives dès le moment où on les réchauffe. Non raffinées, ces huiles sont parfaites pour l’utilisation froide et froide exclusivement! |
||||||||
Presque toutes les huiles de friture vendues spécialement à cet effet sont même nocives froides pour notre santé (car elles sont raffinées), contiennent souvent des graisses trans et devien nent encore plus nocives à chaud (oxydation),quelle que soit la mention sur l’emballage! La plupart des fabricants le savent d’ailleurs eux-mêmes (ou non).
Les radicaux libres sont des substances agressives qui
nous font vieillir et qui sont corespon- sables pour la plupart des maladies de civilisation. La raison pour laquelle les radicaux libres sont si dangereux, c’est qu’ils contiennent un
électron impair. D’un point de vue scientifique, il s’agit d’une situation très instable: c’est pourquoi ils essayent de ‘dérober’ un électron auprès d’un autre molécule afin
‘d’accoupler’ cet électron impair et ainsi créer une situation beaucoup plus stable. Malheureusement, le molécule auquel cet électron est dérobé devient à son tour un radical libre
instable. Les radicaux libres engendrent de cette manière une réaction en chaîne dans notre corps et provoquent des dommages à des protéines, DNA et RNA précieux, favorisant l’apparition
d’affections telles que le cancer, l’Alzheimer, Parkinson, l’arthrite, les maladies cardio-vasculaires. Etant donné qu’ils deviennent ultra actifs et ultra agressifs lorsqu’ils sont
chauffés, l’échauffement d’aliments constitue parfois une importante cause de formation et d’absorption de radicaux libres. Comment prévenir ce mal?
Les radicaux libres attaquent très rapidement les AGPI (raffinés), mais n’ont presque pas ou pas d’emprise sur les graisses saturées stables. C’est pourquoi il est nécessaire de chauffer les aliments dans des graisses stables, de préférence
saturées (huile de coco et de graine de pal miste) ou dans un deuxième temps dans les graisses ou huiles
mono-insaturées (p. ex. l’huile d’olive). Ne jamais chauffer dans des AGPI (p. ex. l’huile de soja, d’arachide ou de tournesol). La lumière, l’oxygène et surtout la chaleur, sont néfastes
pour les AGPI (acides gras poly-insaturés), surtout lorsqu’elles sont chauffées à des températures de cuisson, de cuisine au wok et de friture.Lorsqu’on chauffe les AGPI, cela génère de nombreuses réactions thermolytiques et oxydantes, qui donnent naissance à des produits
nocifs tels que les stérols oxydés, les acides gras oxydés, les péroxydes, les substances d’hydrogène nuisibles et les liens aroma tiques (par exemple les pak).
Intervient alors une réaction en chaîne de radicaux libres. Les radicaux libres réactifs induits par l’ozone peuvent réagir avec des groupes sulfhydryliques de protéines, ainsi qu’avec
des acides gras insaturés et sont dans ce cas très destructifs pour les parois cellulaires.
Chauffer cause des modifi cations chimiques tant dans l’huile ou dans la graisse dans laquelle nous effectuons la cuisson, que dans l’alimentation. S. Schaeffer a stipulé dans son livre ‘Instinctive nutrition’, que lors de la cuisson d’une pomme de terre, 400 substances connues et inconnues sont générées. Les changements sont aisément visibles lorsque nous chauffons des graines de maïs et que nous obtenons du pop-corn. Sans oublier qu’en chauffant, de nombreuses substances végétales se perdent, ce qui affaiblit davantage l’alimentation pour lutter contre les radicaux libres. C’estpourquoi d’un point de vue alimentaire, il est absolument proscrit de manger de la nourriture réchauffée. Ces restes vous fournis- sent des calories mais ne confèrent aucune vitalité. Au contraire. Les substances nutritives sont partiellement perdues et la nourriture pul- lule probablement de radicaux libres, sans parler des bactéries qui s’en donnent à cœur joie dans les restes.
L’alimentation riche en amidon et en sucre réagit avec
les protéines à haute température. Cette réaction appelée ‘Maillard’ génère des liens entre les molécules de sucre et les protéines baptisés acrylamides. Ces derniers favorisent le
processus de vieillissement, sont cancérigè- nes à forte dose, affectent les nerfs et rendent les hommes stériles. Comment créer moins d’acrylamides?
1. Des
tests en Suède, en Angleterre et en Amérique ont démontré que la réaction Maillard apparaît plus souvent à des températures élevées, par exemple lorsqu’on grille, cuit, rôtit, toaste,
barbecue ou frit. Plus la température est élevée, plus il y a d’acrylamides.
2. Où apparaissent ces substances dérangeantes ? Une grossière échelle des valeurs a été établie consécutivement à une étude: les chips et les tortillas (500 et plus), le spéculoos, le
pain d’épice, le pop-corn, les corn fl akes, les céréales de déjeuner, les
muesli, les gâteaux etle
café (entre 200 et 400), les frites et le
chocolat fondant (150, ce qui est relativement peu).
3. Les frites maison causent moins d’acrylamides que les frites commerciales, étant donné que ces dernières ont souvent fait l’objet d’ajout de sucre, ce qui favorise la formation
d’acrylamides. Des tests ont révélé que le taux d’acrylami- des d’une frite n’est pas celui d’une autre. Aux Pays-Bas, on recommande une moins grande quantité d’acrylami- des dans les
frites, en les cuisant dorées et non brunes et de cuire à des températures inférieures à 180°C, de ne pas les cuire préalablement au micro-ondes et de ne pas utiliser des pommes de terre
germées.
4. Dans l’industrie, les acrylamides naissent lors de la production de plastiques (donc, utilisez moins de plastiques). Ils sont utilisés lors du traitement de l’eau pota ble (donc, buvez
de l’eau de source conditionnée en bouteilles de verre) et enfi n, ils sont présents dans les pesticides, dans certains mélanges jusqu’à 25 voire 30%. Ils empêchent les pesticides d’être
volatils et favorisent l’adhérence ra- pide aux légumes, céréales ou fruits vaporisés (bah, Monsanto). Je suis convaincu du fait que les frites bio et la version bio des produits
susmentionnés contiendront moins d’acrylamides, ne fut-ce que pour cette raison.
5. Les levures telles que le bicarbonate d’ammonium, utilisé dans les pains d’épice, augmentent la formation d’acrylamides lorsqu’ils sont chauffés.
Morale: faites vos frites bio vous-même, cuisez-les
dans de l’huile de coco biologique extra vierge et ne la chauffez jamais au-delà de 180°C.
Trop d’acides gras poly-insaturés (AGPI) répriment l’émission d’hormones thyroïdiens. On sait depuis 1950 qu’un excès d’AGPI (acides gras poly-insaturés) ralentit le métabolisme et peut causer un ralentissement de la glande thyroïde. Le taux d’œstrogènes peut également augmenter et les taux de progestérones et de pregnénolones. (94) Trop d’AGPI pourraient réduire le fonctionnement de nos centrales d’énergie dans les cellules (les mitochondries), en réprimant le fonctionnement de certains enzymes et par un manque d’antioxydants, par suite d’une oxydation exagérée des AGPI sensibles. Sans oublier que plus nous utilisons d’AGPI, moins bien les cellules réagissent aux hormones thyroïdiennes. (132)
Une thyroïde lente peut devenir la raison d’un excès d’homocystéine dans le sang. Car une thyroïde fonctionnant au ralenti réduit l’absorption de vitamines B. Un manque de vitamines B cause des niveaux d’homocystéine plus élevés. Un niveau d’homocystéine élevé constitue un facteur de risque pouvant entraîner des maladies cardio-vasculaires. Depuis 1930 on sait aussi qu’une thyroïde lente fait également grimper le taux de cholestérol et que l’activation de la glande thyroïde diminue le taux de cholestérol. Cela est dû au fait que la glande thyroïde pousse le cholestérol à former des acides gastriques. (132)
Les acides gras de lon- gueur moyenne (MCT) dans la noix de coco confè- rent davantage d’énergie que les acides gras à longue chaîne (LCT). En outre, les MCT sont décomposés beaucoup plus rapidement que les graisses LCT (83, 84) ce qui offre un avantage double: plus d’énergie et moins de stockage de graisse. C’est la formule idéale pour perdre du poids ou obtenir un meilleur rapport lipido-musculaire. Une étude parmi les hommes révèle que les MCT peuvent augmenter le métabolisme de 12%, pour 4% avec les LCT. C’est une nouvelle fantastique pour les personnes au régime et les celles souffrant d’une thyroïde fonctionnement lentement (108). Les LCT, tels que l’huile d’arachide ou de sésame, sont stockés plus rapidement en tant que graisses et rancissent plus rapidement suite à l’oxydation. Les graisses rances causent des dommages aux membranes cellulaires. C’est pourquoi elles répriment la transformation des hormones thyroïdiennes T4 en hormone thyroïdiennes T4 plus actives, ce qui s’exprime par un fonctionnement plus lent de la thyroïde (94). Les MCT de la noix de coco n’agissent pas de la sorte. Le Dr. R. Peat, spécialiste en hormones, recommande l’utilisation d’huile de coco, d’huile d’olive extra vierge et de beurre lors de problèmes de glande thyroïde. La glande thyroïde nécessite également suffisamment de vitamines A, que l’organisme peut produire en toute sécurité grâce à une quantité suffisante de caroténoïdes et d’huile de palme rouge.
Nous savons de l’industrie animalière qu’il est diffi
cile d’engraisser du bétail avec des MCT (huile de coco). Cela sera plus facile avec des LCT, comme les AGPI (provenant par exemple d’huile de carthame ou d’huile de
poisson). En effet, les MCT’s sont difficile à stocker en tant que graisses. Ils sont décomposés avant et
utilisés comme énergie. Si l’industrie animalière souhaite de la viande de porc maigre, elle alimentera
les porcs de graisses saturées dans la dernière phase. La noix de coco est la source la plus riche en acides gras saturés. (90) Si par contre on veut engraisser les animaux, on y parvient
plus facilement par le biais de LCT’ (longues chaînes d’acides gras) comme l’huile de poisson et les graisses animales.
Les animaux suivant un régime alimentaire riche en MCT stockent 60% de graisse en moins que les animaux qui suivent un régime alimentaire faible en graisse mais contenant les mêmes
calories. (92) En d’autres termes, un régime alimentaire pauvre en graisse vous fera maigrir en moindre
mesure qu’un régime contenant suffisamment de MCT, les MCT étant stockés en quantité beaucoup moins significative que les LCT. L’huile de coco est la source la plus riche en
MCT. Les Américains ne le savent pas encore. Depuis qu’ils ont migré en masse vers les AGPI, ils sont
devenus la nation la plus obèse au monde. Les AGPI ont des longues chaînes d’acides gras, qui sont stockées en tant que graisse et utilisés seulement en dernier recours comme énergie,
étant qu’ils sont plus difficiles à décomposer.
Les huiles riches en AGPI (acides gras poly-insaturés)
sont:
L’huile de poisson, l’huile de graines de lin, l’huile
d’onagre, l’huile de carthame, l’huile de tournesol, l’huile de soja, l’huile de chanvre, l’huile de maïs, l’huile de pépin de courge, l’huile de sésame,
etc...
Sont riches en LCT (longues chaînes d’acides gras):
Les graisses provenant d’animaux, du beurre (contiennent
surtout des graisses saturées), l’huile d’olive, l’huile de colza (comprennent beaucoup de graisses mono-insaturées) et évidemment tous les AGPI susmentionnés: l’huile de poisson, l’huile
d’onagre, l’huile de graines de lin, l’huile de soja, l’huile de carthame, l’huile de maïs, l’huile d’arachide, etc...
L’énergie électro- magnétique d’1 goutte d’huile de coco extra vierge |
Une étude a révélé que chez les hommes, les MCT ont un
effet d’accroissement du métabolisme de 12%, pour 4% à peine avec les LCT. Cela signifie que les MCT
provenant de l’huile de coco permettent de produire davantage d’énergie et de brûler plus de calories. C’est bon pour votre poids et pour votre vitalité. D’après les chercheurs, lorsque les graisses LCT (p. ex. l’huile de tournesol et l’huile d’olive) sont remplacées par des graisses
MCT dans un régime alimentaire, cela entraînera la perte de poids à long terme. (93)
Nous pouvons dire de l’huile de coco qu’elle contribue à
perdre de poids et à en reprendre moins rapidement.
1. Les MCT contiennent 10% de calories en moins que
les autres graisses.
Il est généralement admis que toutes les graisses
contiennent 9,2 calories par gramme (p. ex. l’huile d’olive ou le beurre). Néanmoins, cela n’est pas tout à fait correct. Les MCT dans l’huile de coco ne contiennent que 8,3 calories par gramme, ce qui équivaut à
10% de moins. Qu’est-ce que cela peut signifi er en théorie ? Dans un régime de 2000 calories comprenant 30% de graisse, 600 calories proviennent donc de la graisse. Si celle-ci provenait
entièrement des MCT, cela signifi erait qu’on absorbe que 540 calories (60 calories/jour). Si nous multiplions cela par les 365 jours, il s’agit d’un gain de
calories de 21.900 unités. Cela
correspond à près de 3 kg de graisse, soit 8 à 10 kg de poids corporel. Dans la pratique, cela pourrait signifi er que si nous remplaçons 30% de nosgraisses par l’huile de coco, cela équivaudrait à un gain de 2 à
3 kg de poids corporel par année. Pour
beaucoup de personnes, il s’agit des
kilos contre lesquels ils luttent chaque année.
2. Les MCT sont stockés moins rapidement et brûlés
plus tôt.
Ce que nous mangeons en trop, est stocké. Tout le
monde est d’accord à ce sujet, mais
toutes les substances nutritives ne sont
pas stockées si facilement. En effet, les MCT provenant de l’huile de coco est utilisée plus rapidement en tant qu’énergie. L’effet d’amaigrissement a été démontré par plusieurs chercheurs. (25,26,27)
Cela signifie-t-il que si nous remplaçons certaines graisses par l’huile de coco, nous perdrons plus facilement du poids ? Oui, et il y a d’autres nouvelles
réjouissantes:
Un rapport détaillé réalisé en 2002 par Marie-Pierre
St-Onge et Peter Jones de l’université McGill du Québec, au Canada traitait de la manière de contrer l’obésité avec les MCT. (5) Les auteurs ont examiné une trentaine d’études et sont parvenus à la
conclusion que les MCT avaient un effet positif sur le métabolisme, sur le sentiment de satiété, sur le poids du corps et sur la graisse corporelle. La plupart des études révélaient que
le métabolisme augmentait (plus d’énergie et une combustion plus élevée) suite à l’absorption de 30 à 40 % de graisses issues des MCT de la noix de coco. En Espagne, on a abouti à la conclusion en 1998 que l’huile de coco diminuait les réserves de graisse auprès des
rats.
L’huile de coco extra vierge et votre
poids: 1) Proportionnellement, l’huile de coco contient moins de calories que d’autres graisses; 2) L’huile de coco est principalement utilisée en tant qu’énergie; 3) L’huile de coco n’est presque pas stockée comme graisse; 4) L’huile de coco assure une meilleure production de chaleur (thermogenèse); 5) L’huile de coco assure une meilleure combustion des calories (par un métabolisme accru); 6) L’huile de coco accélère également la combustion d’autres graisses (28) |
||
Un champion néerlandais du sport de combat et de yoga vit
d’aliments crus. Il est particulièrement énergique, en bonne santé et en équilibre sain. Chaque année, il fait une cure de jeun de 2 semaines et boit de l’eau de source de montagne de
Pineo, ainsi que de l’huile de coco. Cela purifie son corps et son esprit, maintient son corps svelte et lui apporte un richesse spirituelle. De quoi se compose cette cure?
1 à 2 litres d’eau de source par jour – au début 2 litres et ensuite un peu moins, ainsi que 3 cuillers à soupe d’huile de coco par jour en guise de repas de jeun, qu’il fait bien tourner
dans la bouche. Et c’est tout. C’est aussi simple que de manger peu. En outre, cela permet à votre corps de s’auto-purifier et de lui apporter l’équilibre. Le règne animal nous offre les
plus beaux exemples de jeun.
Plus vous remplacez d’hydrates de carbone (pain, pâtes,
pommes de terre) dans votre régime alimentaire par de l’huile de coco extra vierge, moins vous subirez de variations de votre taux de glycémie!
Cela signifie une sensation de satiété prolongée, moins de fringales entre les repas, une faim atténuée lors du prochain repas et donc un meilleur contrôle du
poids. C’est simple: le matin, à midi et le soir, remplacez les hydrates de carbone et les sucres par 1
cuiller à café, mais de préférence une cuiller à soupe d’huile de coco. Le tour est joué.
Pas de sucre, peu d’hydrates de carbone, davantage de protéines et suffisamment de graisses sont nécessaires pour que votre régime de protéines soit une réussite. Les sucres rapides surtout, augmentent rapidement votre taux de glycémie et le font ensuite chuter, avec une nouvelle sensation de faim en conséquence. Ces hauts et bas doivent donc être évités. Les protéines n’ont aucune influence sur le taux de glycémie. L’huile de coco affaiblit d’éventuelles fluctuations du taux de glycémie et évite les fringales entre deux repas. L’huile de coco fait également en sorte de vous procurer plus rapidement une sensation de satiété en quittant la table, elle augmente votre niveau d’énergie et votre vitesse de combustion. C’est pourquoi l’huile de coco constitue l’ingrédient secret qui fait réussir votre régime de protéines. En ajoutant l’huile de coco à vos repas, vous évitez le grignotage et les snacks entre les repas! Le matin, à midi et le soir, ajoutez au moins une cuiller à café et de préférence 1 cuiller à soupe d’huile de coco à votre régime de protéines. Cela facilite et accélère la perte de poids.
Toutes les graisses saines et non raffi nées, avec une
préférence pour les graisses MCT de l’huile de coco renforcent un régime à base de protéines. Si demain vous constatez que grâce à l’huile de coco, votre taux de glycémie présente moins
de fl uctuations, que vous avez moins de fringales, vous verrez qu’il sera beaucoup plus facile de maigrir. L’huile de coco facilite votre régime de protéines, car l’ajout de graisses de coco aux hydrates de carbones sains feront en sorte
que ces derniers aient moins ou n’aient aucune influence sur le taux de glycémie (faim ou fringales). Par
conséquent, le régime de protéines devient beaucoup plus accessibles et plus facile. L’huile de coco donne
plus de chances de réussite à votre régime de protéines.
Lors de la consommation d’hydrates de carbones sains,
ajoutez de l’huile de coco ou préparez-le avec de l’huile de coco: pas de pain blanc, de pistolets blancs ou de baguette, mais du pumpernickel ou un autre pain complet tartiné d’huile de coco; pas de riz blanc mais
du riz complet (p. ex. basmati) et un soupçon d’huile de coco, pas de corn flakes ni de rice crispies, mais des fl ocons d’avoine; pas de sucre blanc ou brun mais du sirop d’agave ou de
céréales (modérément); pas de dattes séchées, figues, raisins secs, bananes, mais plutôt des pommes, des poires, des pamplemousses; pas de chocolat riche en sucre, mais (modérément) du
chocolat à 70, voire mieux encore 85% de cacao. Pas de frites, ni purée de pommes de terre mais (modérément) des pommes de terre en robe des champs. Pas d’aliments prétraités, mais une
nourriture traditionnelle de base. Grâce à la noix de mais une nourriture traditionnelle de base. coco, ces
hydrates de carbone deviennent accessibles dans tout régime alimentaire à base de protéines. Les œufs
bio, tout régime alimentaire à base de protéines. ainsi dans une certaine mesure certains fromages (de préférence des fromages crus et du fromage cottage), sont également
admis.
Par ailleurs, dans un régime de protéines, optez pour
tous les aliments sains riches en protéines: diverses gousses (lentilles, azuki, soja...), des légumes riches en protéines, tels que le cresson de fontaine, les germes, les pousses de
soja, les germes de blé, les épinards, les asperges, le brocoli, la salade. Consommez avec modération le panais, les carottes cuites et le potiron. Utilisez les herbes à profusion. Optez
éventuellement, mais pas nécessairement, pour de la viande de poulet, de porc, de bœuf et d’agneau, pour le gibier et pour les petits poissons frais des grands fonds. En outre, n’oubliez
pas quelques noix.
Suggestion: les sucres rapides deviennent des sucres
lents grâce à la noix de coco Saviez-vous déjà qu’en ajoutant des graisses saines aux sucres rapides et
aux hydrates de carbone rapides, ils deviennent des sucres et hydrates de carbone lents ? En effet, la graisse ralentit la digestion et fait en sorte que les sucres rapides
soient libérés plus lentement. Un conseil si vous voulez faire un écart sans risquer des fringales!!!Attention:
par principe, je suis contre tous les sucres chimiques ou artificiels. Ils n’ont
aucune infl uence sur le
taux de glycémie mais nuisent fortement à
votre santé. Un régime à base de protéines débordant de sucreries chimiques, c’est comme si vous suiviez un régime tout en fumant. Ils empêchent l’absorption de substances saines, ce sont
des laxatifs et vous donnent une mauvaise haleine. Vous maigrirez, mais votre santé ne sera pas améliorée. Ce n’est certainement pas le but de l’opération et contraire à la
raison.
L’huile de coco vous aide à demeurer svelte, en bonne santé et plein d’énergie vitale. L’huile de coco est une graisse qui se décompose rapidement, qui vous apporte davantage d’énergie et moins de stockage de graisse. En outre, d’après le Dr. Robert Atkins, 20% des personnes qui suivent son régime ne perdent pas de poids à cause d’infections fongiques dans l’intestin. L’huile de coco contribue à lutter contre les infections fongiques, les élimine et renforce votre résistance. La noix de coco vous fait du bien... et résout de nombreux problèmes intestinaux et stomacaux, combat les virus et les bactéries et stimule la glande thyroïde. L’huile de coco vous confère une peau douce et une libido accrue.
‘La graisse favorise la production de testostérones, la principale hormone de formation des muscles’ ‘Le régime de la planche à laver’, David Zinczenko et Ted Spiker. D’ailleurs, sans testostérones, pas de libido, que ce soit chez les hommes ou chez les femmes. | ||
Maigrir |
||
Le régime à l’huile de coco vous remet sur les rails
comme l’aurait voulu la nature. Avec une alimentation traditionnelle de base et suffisamment de graisses
saines. Vous remarquerez que les heures passent sans que vous subissiez de fringale, que votre taux de
glycémie est sous contrôle et que votre faim disparaît après le repas, grâce à une sensation de satiété que vous confèrent les graisses saines. L’huile de coco fait en sorte que l’estomac
et l’intestin grêle envoient des signaux de satiété à votre cerveau. Les repas comprenant des graisses saines de coco sont savoureux et rendent le régime agréable à suivre. De toutes les
graisses saines, l’huile de coco se décompose le plus rapidement en énergie et est stockée le moins en tant que graisse. Des études menées au cours des 15 dernières années en Italie, au
Japon, aux USA, au Canada, en Belgique, en Allemagne, en Tchéquie et en France confi rment que l’huile de coco augmente le degré d’énergie et stimule la perte de
poids.
L’hôpital de Middlesex à Londres a testé quatre régimes
aux 1000 calories: 90 % de graisse, 90% de protéines, 90% d’hydrates de carbone et un régime mixte. Ceux qui ont suivi le régime à 90% de graisse, ont maigri de façon nettement supérieure
à ceux qui suivaient les autres régimes. Les Lumberjacks de Finlande étayent ce fait. Ils tirent 50% de leurs calories de graisses saturées et ne sont pas gros.
Les graisses contiennent 2 fois plus de calories par
gramme, que les protéines et les hydrates de carbone (sucres), mais vous rassasient 4 à 5 fois plus vite. C’est une des raisons pour lesquelles les personnes qui mangent des graisses
saines, maigrissent plus vite ou demeurent sveltes, selon le Dr. H. Newbold Type A and Type B, weight loss book.
Le Dr. G. Frost de l’hôpital de Hammersvill à Londres a
déclaré le 14.03.05 à la BBC, que l’obésité doit être traitée en remplaçant les ingrédients malsains présents dans l’alimentation traité et le junkfood par des alternatives plus saines.
L’huile de coco est une alternative saine. Qu’est-ce qui cause l’obésité?
1. La consommation d’une alimentation riche en calories et sans valeur nutritive, telle que les biscuits,
toutes les barres sucrées possibles, les croissants et les boissons fraîches riches en sucre, causent l’excès pondéral. Les calories sont stockées, mais votre corps demeure à la recherche
de valeurs nutritives telles que les vitamines, les minéraux, les enzymes, etc... Les calories sont présentes, mais la faim persiste. 2. Une glande thyroïde défaillante, qui fait que
nous consommons moins de calories qu’habituellement. 3. Trop de sucres et d’hydrates de carbone raffi nés, qui font grimper rapidement votre taux de glycémie, mais le font ensuite
redescendre tout aussi vite et provoquent ainsi des fringales. Vous faites ainsi le yo-yo entre l’état d’extase et de faim. 4. Trop de graisses malsaines, telles que l’huile
végétale de supermarché, l’huile de cuisson, les margarines et les AGPI chauffés avec des graisses trans et toutes sortes de produits contenant des graisses malsaines. Celles-ci compliquent le métabolisme et
affectent le niveau d’énergie. 5. Mal gérer le stress. Les hormones de stress augmentent la production d’insuline et vous font manger davantage et donc stocker
davantage de calories. 6. Bouger trop peu. L’exercice stimule également la combustion de graisse après l’exercice.
Le secret de l’huile de coco réside dans la longueur
réduite de la chaîne de ses graisses. Celles-ci font en effet principalement partie des chaînes moyennes d’acides gras, appelées MCT.
1. Les MCT sont rapidement décomposés dans le corps et transformés en énergie. (102) Une étude de 2000 a par exemple confi rmé
que les MCT sont décomposés 3 fois plus rapidement que les LCT, des graisses aux longues chaînes d’acides
gras. (American Journal of Clinical Nutrtion) Dans cette même revue, une étude est parue en 1991, disant
que lorsque vous remplacez des LCT par des MCT issus de l’huile de coco, la température du corps augmente et la glande thyroïde est activée, entraînant une combustion plus
élevée des calories.
2. Presque plus aucune place n’est laissée au stockage de graisse, car l’huile de coco fait grimper mieux que n’importe quelle autre huile votre métabolisme et donc la rapidité de
combustion. (104) En d’autres termes, les MCT sont brûlés rapidement et sont stockés de façon signifi
cativement moins importante en tant que graisse. D’après Mary Enig, les MCT ne sont pas utilisés de façon si rapide par le corps pour être stockés. Une propriété particulière des MCT réside dans le fait qu’ils stimulent la combustion de graisse avec davantage d’éner
gie.C’est précisément la raison pour laquelle la population traditionnelle de Polynésie est svelte, malgré un
régime riche en graisse. (105) Par contre, les longues chaînes d’acides gras, telles qu’elles apparaissent dans le poisson, les animaux et de nombreuses huiles végétales, sont plus
longues à être digérées et décomposées et sont plus facilement stockées en tant que graisse. (103).
Une étude sur l’obésité, réalisée par l’Université McGill, disait que les MCT, présents à 60% dans l’huile de coco, peuvent convenir idéalement pour perdre du poids!
3. Le régime de coco vous permet de savourer les graisses saines et tente de bannir les graisses nuisibles de votre vie. Les graisses malsaines ralentissent le métabolisme, font grossir les gens et provoquent des maladies. N’oubliez pas que presque tous
les produits transformés, tels que les biscuits et les repas préparés contiennent des graisses malsaines. Les graisses malsaines sont exemptes de goût et moins chères, ce qui explique
qu’elles sont largement répandues.
Les sportifs peuvent apporter un soutien à leur
entraînement grâce à l’huile de coco extra vierge et l’intégrer comme un atout majeur dans leurs habitudes alimentaires. Ces graisses favorisent l’absorption de protéines, la combustion de graisse et l’assimilation de minéraux. (14,15,16), que ce soit
dans le régime Weight Gain, qui tente de construire davantage de masse musculaire, ou dans le régime Lean Body, qui met l’accent sur un meilleur rapport os/muscles par rapport à la masse
de graisse. C’est pourquoi les adeptes du body-building utilisent l’huile de coco dans la phase précédant leurs concours, lorsqu’ils mettent tout en œuvre pour que leurs muscles se
dessinent le mieux possible.
Car l’huile de coco est la source la plus riche en MCT ou
graisses aux acides gras à chaîne moyenne. Ils contiennent 2 fois plus d’énergie que les protéines ou les hydrates de carbone. Mais ces MCT sont à peine stockés en tant que graisse et
sont rapidement brûlés et disponibles sous forme d’énergie, afi n de permettre des efforts physiques supplémentaires. Les MCT de l’huile de coco ne nécessitent pas de carnitine pour être
brûlés. Par conséquent, ils assurent un meilleur rapport entre les os/les muscles et la graisse et peuvent contribuer à la formation d’une masse musculaire.
Ils font en sorte que lors d’entraînements éprouvants, les sportifs ne tombent pas dans une situation catabolique. Cette situation
entraîne la décomposition des protéines musculaires pour servir de fournisseur d’énergie. Lorsque le
corps fait du sport, il consomme avant tout du glucose et la réserve de sucre dans les cellules (glycogènes). Parfois, ceux-ci sont épuisés après 1 ou 2 heures d’exercice déjà. Si à ce
moment-là, vous ne pouvez pas faire appel aux graisses corporelles, il y a de fortes chances de vous retrouver dans une situation catabolique et que vous décomposiez des protéines
musculaires pour obtenir de l’énergie. Les MCT dans l’huile de coco apportent une énergie supplémentaire
disponible facilement et rapidement sous forme de chaînes d’acides gras moyennes facilement digérables. En d’autres termes, l’huile de coco assure une réserve d’énergie plus importante, de manière à ce que vous puis- siez vous entraîner
ou faire du sport plus longtemps sans décomposition des muscles. Dès lors, le sportif dispose de sucres et de
MCT en tant que fournisseurs rapides d’énergie. D’autres graisses ne conviennent pas pour cela, car dans un
premier temps, elles sont stockées et ne servent de fournisseur d’énergie qu’en cas d’urgence. Par ailleurs,
l’huile de coco augmente l’endurance des sportifs. En effet tant que vous avez suffi samment de glucose
et de MCT rapidement décomposables à votre disposition, vous pouvez continuer à faire du sport et réaliser des performances. L’huile de coco a une infl uence harmonisante sur le taux de
glycémie et favorise l’assimilation de minéraux et d’acides aminés (protéines). Elle convient parfaitement pour être mélangée aux cocktails de protéines ou de petit-lait, aux cocktails
Weight Gain, dans les plats à base d’œufs et dans les potages. En outre, la noix de coco est délicieuse et facile à utiliser dans tous les plats que vous
préparés. Utilisez 3 à 6 cuillers à café par jour, de préférence réparties sur 3 à 6 repas ou de façon plus
concentrée pour des performances maximales, 1 heure avant l’exercice ou le match et peu après pour prévenir la décomposition des protéines. L’huile de coco est liquide à partir de 25°C. Lors de la pratique de sport de haut niveau, le stress physique élevé exercé sur le
corps, ainsi que la masse d’oxygène consommée provoque la formation de nombreux radicaux libres. La pratique du sport de haut niveau sans protection spéciale contre les radicaux libres,
entraîne le vieillissement. Le sport à doses modérées maintient votre jeunesse. L’huile de coco peut vous
aider, car ces graisses ne sont pas sujettes à l’oxydation et parce que leur action anti-microbienne contribue à augmenter notre résistance. L’ajout d’huile de palme rouge, riche en carotènes et en vitamines E peut en outre booster les anti-oxydants.
Les graisses trans empêchent la formation de
muscles
Les graisses trans empêchent la formation d’un tissu musculaire et peuvent causer des manques de protéines. (182) Cela est dû au fait que les muscles ont besoin de
prostaglandines (sorte d’hormones) pour être formés et ces prostaglandines sont formées d’acides gras essentiels. Etant donné que les acides gras trans compliquent ou empêchent le
métabolisme, le lien est facilement établi. L’huile de coco extra vierge ne contient pas de graisses
trans. Une raison de plus de cuisiner à l’huile de coco. Les acides gras essentiels sont l’acide
alpha-linolénique et l’acide linoléique (omégas 3 et 6).
Mangez trois repas par jour et ne faites pas l’impasse
sur le petit-déjeuner. Mangez des aliments sains, complets et limitez vos calories. Ajoutez de l’huile de coco à chaque repas. Cela vous permet de bien manger, de rester vital, de ne pas
avoir faim entre les repas et de quitter la table en étant rassasié.
Mangez de préférence des aliments non raffi nés, beaucoup de légumes et suffi samment de fruits, mangez régulièrement des céréales complètes et en germes, n’utilisez pas de sel raffi né
et peu de sel marin ou de cristal de roche, utilisez beaucoup d’herbes et d’épices. N’oubliez pas les haricots, les noix ou les produits fermentés. Cuisinez exclusivement dans des poêles
en acier inoxydable ou émaillées. Les poêles anti-adhésives sont à proscrire. Si vous optez pur des produits laitiers, prenez des fromages crus, du lait cru et des yaourts comprenant des
bactéries vivantes d’acide lactique, de préférence des produits laitiers demi-écrémés ou entiers. N’utilisez pas de produits ‘light’, car ils sont moins sains et ne vous aident pas à
maigrir. Mangez suffi samment de crudités et ne mangez pas tout à l’état cuit ou étuvé. Ne mangez que du poisson, de la viande ou de la volaille d’origine biologique ou sauvage de
qualité. A chaque repas, ajoutez une cuiller à café, ou mieux encore, une cuiller à soupe d’huile de coco extra vierge. 3 cuillers à soupe d’huile de coco exerce un effet thérapeutique
sur la thyroïde et sur la combustion de graisse. N’oubliez pas vos omégas 3/6 végétaux essentiels.
Plus ce que vous mangez est sain, moins vous avez besoin de satisfaire votre pulsion pour les substances nutritives essentielles. L’alimentation raffinée tuent peu à peu vos cellules, diminuent votre force vitale et ne vous prennent plus qu’ils ne vous donnent. Bart Maes, l’homme bio-veggie |
||
Dans l’Obesity research de 2002, des chercheurs ont publié que le petit-déjeuner est le repas le plus important pour une perte de poids efficace. Une autre étude parue dans le Journal of Pediatric Psychology (psychiatrie pédiatrique) de 2002, a confirmé que les enfants souffrant d’excès pondéral font plus souvent l’impasse sur le repas du matin, que les enfants sveltes. En outre, en 1992 déjà une étude est parue démontrant que les personnes qui tentent de maigrir et déjeunent le matin, perdent plus de poids et grignotent moins, que ceux qui passent le petit-déjeuner.
Pour cuire, cuisiner au wok, rôtir et
frire. A tartiner, sur votre pain. Comme base pour la mayonnaise, la sauce curry aux arachides ou comme vinaigrette. Avec votre purée de pommes de terre ou de carottes,
dans le rizou de riz au
lait. 1 petite cuiller dans votre chocolat chaud. 1 petite cuiller dans un smoothie, dans le potage, le képhir ou la Kombucha. Partout où vous utilisez du beurre ou
d’autres huiles d’habitude. |
||||
Le pain/gâteau de coco à la
banane
1⁄2 tasse d’huile de coco
1 tasse de sirop d’érable ou un édulcorant au choix
2 tasses de farine complète
1⁄2 cuiller à café de sel non raffiné (facultatif)
1 cuiller à café de levure chimique
3 à 4 bananes (écrasées)
1⁄2 tasse de noix de coco râpée
Préchauffez le four à 180°C. Graissez votre moule et foncez-le, de manière à pouvoir enlever facilement le gâteau après cuisson. Mélangez tout d’abord l’huile et le sirop d’érable et mixez bien ces ingrédients. Prenez un récipient distinct pour les ingrédients secs et mélangez-les. Ajoutez les bananes écrasées à l’huile de coco et à l’édulcorant. Mélangez le tout et videz l’appareil dans le moule. Temps de cuisson: environ 45 minutes à 1 heure. Le gâteau est prêt lorsque la pâte ne reste pas collée au cure-dents quand vous le retirez du gâteau.
Pâte d’arachides/de noix de
coco |
||||
L’huile de coco extra vierge est liquide à partir de 25°C et parfaitement tartinable entre 10°C et 25°C. | ||||
Le potage de lentilles à la noix de coco et à la citronnelle
2 cuillers à soupe de graines de fenouil, 2 cuillers à soupe de graines de coriandre, 4 cuillers à soupe d’huile de coco, 2 oignons rouges hachés finement, 2 carottes finement râpées, 2 feuilles de citron, 2 cm de racine de galanga, 2 bâtons de citronnelle détaillés en morceaux, 4 gousses d’ail hachées finement, 2 piments séchés et moulus broyés au pilon, 4 cm de gingembre frais haché, 40cl de lait de coco, 10cl de lentilles rouges, 2 cuillers à soupe de sauce soja, le jus d’une lime, 150cl d’eau, 1 bouquet de coriandre ou de persil frais, du sel marin enrichi aux algues marines.
Mettez les graines de fenouil et de
coriandre dans une poêle et grillez-les jusqu’à libérer leurs arômes. Laissez-les refroidir et broyez les finement dans un mortier. |
||||
Barres muesli (pour 12 barres environ)
150 g de farine complète (farine de sarrasin, farine de froment,...)
50 g de flocons d’avoine
125 g de raisins secs 75 g d’abricots secs, détaillés en lamelles,
3 tranches d’ananas séché, en petits morceaux
1 banane, coupée en petits morceaux
50 g de noix de coco râpée, 1 cuiller
à soupe d’huile de coco
175 ml de jus de pomme fraîchement pressé
1 cuiller à café de mélasse
Préchauffez le four à 160°C. Avec une cuiller en bois, mélangez tous les ingrédients. Disposez l’appareil dans une plaque à pâtisserie recouverte de papier de cuisson et lissez le dessus de l’appareil. Parsemez d’un peu de noix de coco râpée. Cuisez l’appareil pendant 30 à 40 minutes, jusqu’à ce qu’il soit doré. Découpez en rectangles et laissez refroidir.
Barres de muesli aux noix Dans la recette précédente, remplacez les fruits séchés par un mélange de noix concassées et de graines. Parsemez les barres de graines de sésame.
Poulet épicé Mettez tous les ingrédients dans une petite poêle et ré- chauffez le tout à petit feu. Il ne s’agit pas de porter l’ap pareil à ébullition, mais simplement de le réchauffer de manière à ce que les saveurs se mélangent. Délicieux comme dip, sur le pain ou avec les pâtes. |
||
Mayonnaise
1 jaune d’œuf, un soupçon de sel non raffiné ou de sel de cristal de roche
(facultatif)
1⁄2 cuiller à café de moutarde, 1 cuiller à café de jus de citron
300 ml d’huile de coco
Battez tout d’abord le jaune d’œuf, ajoutez-y la moutarde, le sel et les épices, ainsi que le jus de citron. Tout en mélangeant, ajoutez petit à petit l’huile de coco. Si la mayonnaise est trop ferme, vous pouvez y ajouter un peu d’huile d’olive extra vierge.
Des chicons savoureusement doux
Faites fondre l’huile de coco dans une grande poêle, découpez les chicons en 2 ou en 4, faites-les colorer. Ajoutez-y des tranches depomme et laissez-les caraméliser. Couvrez la poêle, de manière à ce que les chicons continuent à cuire. |
||
L’huile de coco est délicieuse, que ce soit avec les légumes, dans une omelette, dans les pâtisseries, les sauces béchamel, etc.
La noix de coco est nommée d’après le mot portugais et espagnol ‘coco’, ce qui signifie gri- mace, étant donné que les trois yeux des noix de coco font penser à un visage effrayant. · Les Philippines, l’Indonésie et l’Inde sont les principaux producteurs de noix de coco. · L’huile de coco et d’autres huiles végétales peuvent devenir une alternative pour le mazout. · Le lait de coco constitue une alternative aux produits laitiers: il est exempt de lactose et de glucose.
1. Sa teneur en MCT (graisses aux chaînes d’acides gras moyennes) en fait une source facilement digérable de graisses, qui peuvent en outre agir en tant que fournisseurs d’énergie directs. 2. Elle outre agir en tant que fournisseurs d’énergie directs. améliore la digestion et l’assimilation de vitamines liposo- lubles, de substances végétales et d’acides aminés. 3.Elle réduit la pression sur le pancréas et sur les autres systèmes d’enzymes assurant la digestion des graisses dans le corps. 4. Contrairement aux LTC (graisses aux longues chaînes d’acides gras), elle génère moins de stockage de graisse. 5. Lorsqu’elle est chauffée, elle ne provoque pas la formation de substances intruses et de radicaux libres (elle ne s’oxyde presque pas) et convient donc pour la friture, la cuisson et le rôtissage. 6. Elle améliore l’assimilation de calcium et de magnésium et soutient la formation d’os et de dents solides. 7. Elle améliore le fonctionnement de l’insuline et contribue à la régulation du taux de glycémie. 8. Elle sou- tient le fonctionnement de la glande thyroïde et augmente la combustion, le métabolisme et la température corporelle. 9. Elle diminue le risque de maladies cardio-vasculaires, la tension artérielle élevée, les troubles et l’embolie. 10. Elle contribue à prévenir les rides et le vieillissement de la peau sous l’effet du soleil et de l’âge. 11. Elle augmente la résistance contre les virus tels que ceux de la grippe, l’hépatite C, la rougeole, l’herpès, etc... Elle augmente la résistance contre les bactéries pouvant causer la pneumonie, l’otite, l’angine, les caries, l’intoxication alimentaire, la méningite, la gonorrhée, etc.... 12. Elle augmente la résistance contre les champignons et les ferments pouvant causer la candidose, l’herpès circiné, les champignons aux pieds, la sprue et d’autres infections. 13. Elle augmente la défense contre les vers, les poux ou autres et tue les parasites. 14. Elle diminue les risques d’inflammations chroniques. 15. Elle favorise la guérison de blessures et de la peau. 16. Elle atténue le psoriasis, l’eczéma et d’autres affections cutanées.17. Elle contribue à votre sen- timent de jeunesse et de bonheur. 18. Elle contribue à prévenir les caries dentaires. 19. Elle ne présente pas d’effets secondaires nuisibles et est non toxique à 100%, ne contient pas de cholestérol. En outre, l’huile de coco extra vierge ne contient pas de graisses trans.
Ce que l’huile de coco ne fait pas?
|
|
L’huile de palme ROUGE
pour les CAROTENES naturels
et parce qu’elle regorge de tocotriénols (vitamines E)
Lorsque les processus d’oxydation dans notre corps sont
maîtrisés par les enzymes requis, ils nous donnent de l’énergie et sont nécessaires pour le fonctionnement des cellules corporelles. Mais lorsque des processus d’oxydation incontrôlés sont déclenchés par des radicaux libres, cela fait naître des cellules aux
mauvaises propriétés.
Ainsi, des molécules d’oxygène peuvent-elles par exemple
générer de dangereux radicaux libres dans notre organisme, qui tentent de ‘saisir’ des électrons au ni- veau des doubles liaisons des acides gras poly-insaturés (AGPI). Cela fait naître
des liens extrêmement nocifs: car les AGPI endommagés deviennent à leur tour des radicaux libres qui affectent les structures corporelles. Dans notre corps, un excès d’AGPI (acides gras poly insaturés) est par conséquent déconseillé. D’une part parce que les AGPI sont des longues chaînes d’acides gras (intégrés dans des LCT), facilement stockés en tant que graisse
dans le tissu corporel, d’autre part parce qu’à cause de leurs liaisons doubles, ils constituent une proie trop facile pour les radicaux libres dans notre corps et sont alors
endommagés. A une température de 37°C, une grande quantité d’oxygène est consommée dans le corps, ce qui rend
les radicaux libres hyperactifs, endommages les AGPI, qui par conséquent rancissent dans notre corps. De cette manière, ils causent à leur tour du stress oxydant et peuvent être à la base
de réactions inflammatoires. Suite à ces processus d’oxydation, ils causent égale ment des dommages aux
enzymes et aux cellules et affectent notre vitalité.L’oxydation des AGPI dans la peau cause des rides; l’oxydation
des AGPI dans le cerveau cause la démence, la maladie d’Alzheimer et de Parkinson; l’oxydation des AGPI favorise les maladies cardio- vasculaires et l’oxydation des AGPI dans les
membranes cellulaires peut contribuer au can- cer et à la fatigue. La morale de l’histoire, c’est donc d’éviter l’excès d’AGPI et de ne jamais consommer d’AGPI sans suffisamment de
substances protectrices, telles que les vitamines E et les caroténoïdes, ainsi que de ne jamais chauffer les AGPI.
Dans la nature, les AGPI sont très bien protégés contre la lumière, l’air et l’oxygène. Cepen- dant, une fois pressés, ils sont sensibles aux processus d’oxydation et deviennent rapidement victimes des radicaux libres.Les AGPI non-protégés assimilés par le corps, s’oxydent plus facilement et causent des dommages aux cellules, avec les conséquences que cela implique. La peau vieillit plus rapidement, le cholestérol s’oxyde, les parois des vaisseaux sanguins se ternissent, les cellules cérébrales rancissent, la vue diminue, le DNA est atteint... Toutes les maladies de civilisation telles que le cancer, l’arthrite, l’Alzheimer, le Parkinson, le diabète, les maladies cardio-vasculaires sont entre autres dues à l’insuffisance d’AGPI protégés (par des antioxydants) dans le corps, attaqués par des radicaux libres. Des études en Inde ont démontré que lorsque l’absorption d’AGPI raffi nés (omégas 6) est élevée et l’absorption d’antioxydants est faible, les risques de maladies cardio-vasculaires et de diabète augmentent.(6)
Plus les radicaux libres bénéfi cient de liberté dans
notre corps, plus nous avons besoin d’an- tioxydants pour neutraliser ces substances oxydantes agressives. Contrer le vieillissement et les maladies est souvent lié à une consommation suffisante d’antioxydants. Les antioxydants qui contribuent à protéger les graisses
telles que les AGPI sont par exemple les vitamines E et les carotènes. Linus Pauling, lauréat du prix Nobel à
deux reprises, a écrit dans son best seller ‘comment vivre plus longtemps et vous sentir mieux ‘qu’un
régime alimentaire riche en AGPI (acides gras poly-insaturés) prive notre corps de vitamines E et entraîne des conséquen- ces négatives pour le cerveau, les muscles, le cœur
et les vaisseaux sanguins. Un ces négatives pour le cerveau, les muscles, le cœur et les vaisseaux sanguins. régime alimentaire riche en AGPI (omégas 3 et 6) doit contenir suffisam- ment de vitamines E.’
Nous avons déjà vu qu’il ne faut pas dénigrer le cholestérol, mais que le cholestérol insuffisamment protégé par des vitamines E, des caroténoïdes et d’autres substances protectrices dans
le corps, s’oxyde. Le cholestérol oxydé (LDL) endommage les vaisseaux sanguins en tant que radical libre et contribue fortement a l’artériosclérose. Les histiocytes qui sont ainsi créés
collent aux parois de l’artère. Les huiles riches en omégas 3 et en omégas 6 sont les premières victimes suite à un manque de vita- mines E et de carotènes dans notre
corps. Les scientifiques ont découvert Les scientifiques ont découvert qu’auprès de lapins, ces histiocytes
ne diminuent pas par la réduction de cholestérol, mais plutôt en luttant contre l’oxydation du cholestérol. (50) En (50) En d’autres termes, en administrant davantage de vitamines E et de carotènes.
L’AHA ou American Heart Association dit
que les personnes souffrant de problèmes cardia- ques souffrent toutes de problèmes de réactions
inflammatoires. Les acides gras poly-insatu- rés (AGPI) qui ne sont pas suffisamment protégés
par des substances telles que les vitamines E ou des caroténoïdes, peuvent y contribuer. Les graisses saturées s’oxydent beaucoup moins vite et ne causent dès lors que peu de réactions
infl ammatoires. Le cholestérol oxydé apparaît également dans la poudre d’œufs et dans la poudre de
lait.
Les acides gras oméga 3 et 6 appartenant aux AGPI sont des acides gras vitaux, n’en doutons pas! Ils contribuent aux différentes fonctions corporelles importantes et sans eux, la vie n’est pas possible. Mais le trop nuit en tout. Lorsque le corps est approvisionné en omégas 3 et 6, il doit également être richement pourvu en vitamines E et en caroténoïdes, afi n de les proté ger suffi samment contre les processus d’oxydation par les radicaux libres dans notre corps. L’huile de palme rouge contient 10 fois plus de carotènes que les carottes et déborde de vitamines E. C’est pourquoi je recommande à tout un chacun de consommer 1⁄2 de cuiller à café (min.) à 1 cuiller à soupe (optimal) d’huile végétale oméga 3/6 par jour. Les omégas 3/6, font partie des acides gras poly-insaturés (AGPI) et sont à consommer exclusivement froids ! On ne peut jamais les chauffer. Ceux qui souhaitent obtenir davantage d’informations sur les avantages des omégas 3/6, peuvent lire mon livret ‘L’intérêt des omégas 3/6 et pourquoi ils ne peuvent se passer de vitamines E et de carotènes’. C’est pourquoi le Dr. D. Steinberg de l’université de Californie recommande de tirer un maximum de 10% de nos calories nutritives des acides gras oméga 3 et 6. (51) D’une manière générale, je peux conseiller ceci: moins on mange de graisse, plus la part d’AGPI peut être importante. Pour les régimes maigres (15% de calories de graisse) cette part peut atteindre 1/3, c’est-à-dire 1 part d’oméga 3/6 pour 2 parts d’autres graisses saines. Pour les régimes riches en graisse, (plus de 40% de calories de graisse) cette part est de 1/5.
La plupart des maladies de civilisation telles que le cancer, le diabète, la maladie d’Alzhei- mer, les maladies cardio-vasculaires, l’arthrite, ainsi que le vieillissement des yeux et de la peau, trouvent leur origine dans le stress oxydant causé par les radicaux libres agressifs. (26) L’huile de palme rouge nous arme contre ces radicaux libres en apportant une large portion d’antioxydants. Elle renforce en outre notre résistance au stress. L’huile de palme déborde de vitamines E et de carotènes. (171).
Il y a un monde de différence entre l’huile de palme rouge extra vierge et l’huile de palme blanche. Les palmiers sont souvent cultivés pour en extraire des caroténoïdes, des vitamines E et d’autres substances saines telles que des stérols, des coenzymes Q10, etc... contenus dans les fruits de palme. Ceux-ci sont livrés à l’industrie pharmaceutique qui les utilise pour les suppléments et les médicaments. Les déchets, défaits de ces précieux nutriments, sont raffi nés, désodorisés, blanchis et éventuellement partiellement ou complètement durcis pour obtenir la graisse de palme blanche bon marché, particulièrement néfaste pour la santé. Heureusement, il y a également l’huile de palme rouge extra vierge. Il s’agit d’un booster d’antioxydants, obtenue par la pression mécanique à froid des fruit dénoyautés. Ni plus, ni moins, purement naturel.
L’huile de palme est faite du fruit rouge du palmier et pousse en grappes au sommet de l’arbre (huile de fruit). L’huile de graine de palmiste est extraite uniquement du noyau de ces fruits rouges (huile de graine). L’huile de graine de palmiste (non raffinée) est une graisse de cuisson saine, mais ne contient presque pas de carotènes, ni de vitamines E. Donc, ne les confondez pas!!!!
L’huile de palme rouge fait en sorte que le mauvais cholestérol LDL diminue et que le bon cholestérol HDL augmente. Un grand nombre d’études révèlent qu’un régime alimentaire enrichi d’huile de palme rouge, est bénéfique au niveau de cholestérol. (151) (152) (153) (154) Non seulement la composition des graisses présentes dans l’huile de palme infl uencent favorablement votre santé, mais les tocotriénols que l’on retrouve dans les vitamines E de l’huile de palme rouge, diminuent également le mauvais cholestérol HDL (155). En 1988 déjà, le néerlandais Hornstra a démontré que l’huile de palme rouge a un effet anti-plaques sur les artères (diminution du dépôt dans les artères) et les mêmes effets anti-trombose (ils diminuent la formation de caillots) que l’huile de tournesol non raffi née (156), que l’huile de poisson, que l’huile de lin et que l’huile d’olive. Le docteur Kamsiah J. a démontré que l’huile de palme rouge n’a pas d’effets négatifs sur les triglycérides et le cholestérol, même lorsqu’on le chauffe à de multiples reprises. (169) L’effet positif de l’huile de palme rouge sur le choles- térol, s’explique par le fait que l’huile de palme rouge fournit des carotènes, des vitamines E, des stérols, des co-enzymes Q10, etc... à l’organisme.
L’huile de palme rouge extra vierge est non seulement
riche en bêta carotènes, mais également en une kyrielle d’autres caroté- noïdes. L’huile de palme rouge est la source végétale naturelle la plus riche en carotènes
(caroténoïdes). Cela signifie que l’huile de palme rouge contient 10 à 15 fois plus de caro- tènes que les
carottes et 50 fois plus que les tomates. Les effets positifs des carotènes sur le cancer ont été étayés
dans un grand nombre d’études. (160) (161) (162). Il existe au moins 600 caroténoïdes et l’huile de palme rouge comprend un vaste éventail d’entre eux, dont les principaux sont le
lycopène, la lutéine, la zéaxanthine, la cryptoxanthine, les alpha- et les betacarotènes.
Les bêta- et les alphacarotènes, la lutéine et la
zéaxan- thine sont très importants pour les yeux, les alphacaro- tènes sont importants pour le système immunitaire, le lycopène a une action protectrice contre le cancer de la
prostate...
Il a été découvert qu’un ensemble de différents caroténoï- des influence beaucoup plus fortement notre corps que si nous nous limitions exclusivement à une
dose équivalente de betacarotènes. Le lycopène accompagné de betacarotène protège par exemple beaucoup
mieux contre l’oxydation que le lycopène seul. (136) L’administration prolongée d’un supplément d’un seul carotène synthé tique isolé en lieu et place de l’ensemble des caroténoïdes, peut
parfois plutôt nuire, qu’être bénéfique à notre santé. C’est pourquoi les carotènes issus d’huile de palme rouge constituent un bon choix, car cette huile contient un éventail unique de
différents carotènes. Un ensemble agit toujours avec plus de force, qu’un élément
isolé!
Les caroténoïdes ou carotènes sont un groupe de 600
différents nutriments végétaux qui protègent les plantes et après absorption par l’être humain également le corps, la peau et le cerveau. Un ensemble de carotènes différents exerce un fort effet antioxydant, qui prévient, limite ou rétablit les dommages pouvant être
causés par les radicaux libres. En outre, les molécules de betacarotènes constituent un produit de base
pour la production de vitamines A dans le corps. Le betacarotène est d’ailleurs aussi appelé ‘provitamine A’. La fonction protectrice des carotènes est énorme:
1. Ils contribuent à la protection contre le
cancer
Les carotènes contenus dans l’huile de palme rouge diminuent les risques de cancer du sein liés aux hormones. (175) L’alphacarotène a prouvé un potentiel plus élevé que le betacarotène à réprimer le
développement du cancer. (176)
L’alphacarotène et le lycopène, tous deux présents dans l’huile de palme rouge, réduisent le risque de cancer du poumon. Le betacarotène, la lutéine et la betacryptoxanthine s’avèrent
nettement moins efficaces en la matière. (177) L’alphacarotène et en moindre mesure le betacarotène, réduisent le risque de cancer du poumon auprès des souris (133).
Plus la quantité absorbée d’alphacarotène est élevée,
moins les cellules de cancer humaines pouvaient se développer au cours des tests de laboratoire. (178) Le
risque de cancer du sein augmente lorsque la teneur de betacarotène, de lutéine, d’alphacarotène et de betacryptoxanthine dans le sang diminue. (179) Les carotènes peuvent contribuer à la protection contre le cancer du sein. Des femmes indiennes souffrant de cancer du sein
présentent de faibles taux de betacarotène, de zéaxanthine et de lutéine. (180)
L’origine du cancer se situe notamment dans les dommages causés par les radicaux libres au DNA et au RNA des cellules corporelles. L’alphacarotène protège mieux les membranes cellulaires contre les radicaux libres cancérigènes, que le
betacarotène. (134) Les animaux possédant suffisamment de betacarotènes, n’attrapent pas le cancer, même
lorsqu’on leur injecte des cellules de cancer. Le lycopène, s’il est apporté par le bais de l’alimentation
(tomates et huile de palme rouge), peut réduire le risque de cancer de la prostate de 45%. Les hommes aux
pourcentages les plus élevés en différents carotènes dans leur sang courent en outre 36 % en moins le risque de subir des infarctus ou de décéder prématurément. Des chercheurs ont
découvert que les fumeurs qui présentent le taux le plus élevé de carotènes variés dans le sang, courent le moins de risque d’encourir un cancer des poumons. (127) Le Dr. F. Chytill de
l’université Vanderbilt dit: ‘Les connaissances dont nous disposons à propos des vitamines A (betacarotènes), ouvrent de nouvelles perspectives en matière de thérapies contre le cancer.
Le corps est en mesure de réparer des cellules endommagées. Nous avons des preuves émanant de recherches en laboratoire, qui permettent d’affirmer que les cancers du sein, des poumons et
les tumeurs cutanées peuvent être freinés grâce à un traitement à la vitamine A (betacarotène). (126)
2. Protection des muqueuses des voies
respiratoires Le prof. Keramat Ali de l’université de Dacca, au Bangladesh, a démontré que l’état des
enfants souffrant d’une infection des voies respiratoires, de diarrhée et d’autres problèmes intestinaux,
s’améliorait par la consommation quotidienne de crackers à d’huile de palme rouge. Durant la période au
cours de laquelle ils consommaient des crackers, ils souffraient beaucoup moins des voies respiratoires et
des intestins. (167) Les enfants souffrant de caren- ces en betacarotène (vitamines A), développent plus
rapidement des problèmes respiratoire et de la diarrhée. (125)
En outre, on peut remarquer que
l’huile de palme rouge contient une quantité très importante d’acide de palmitine, qui constitue précisément l’acide gras le plus important pour un bon fonctionnement des alvéoles pul- monaires. Une quantité suffisante
d’acide de palmitine facilite la respiration lors d’efforts soutenus, étant donné qu’il aide les alvéoles pulmonaires à ce déployer et donc à les empêcher à se refermer sur elles-mêmes.
L’acide de palmitine assure une tension de surface amoindrie sur les alvéoles pulmonaires.
3 . La protection contre les maladiescardio-vasculaires
Les antioxydants contribuent également à la prévention
des maladies cardio-vasculaires.Cela se fait en trois étapes. Tout d’abord, les carotènes et les vitamines E font en sorte que le ‘bon’ cholestérol HDL augmente dans le corps. Ensuite, ils entraînent la dimi- nution du ‘mauvais’
cholestérol LDL. Enfin, ils empêchent l’oxydation du cholesté- rol LDL (l’oxydation durcit le mauvais
cholestérol), ce qui constitue un pas décisif dans l’enlisement des artères. Une étude dans le cadre de
laquelle 1899 hommes au régime alimentaire riche en graisses ont été examinés, est parvenue à la conclusion que ceux qui avaient le taux le plus élevé de carotènes dans le sang, couraient
36 % de risques en moins d’encourir des maladies cardio-vasculaires. (138)
Le Docteur David Kritchevsky, de l’institut Wistar de Philadelphia (E-U), a dé- montré que la consommation d’huile de palme rouge réduit le plus les risques d’artériosclérose, en
comparaison avec l’huile de palme raffinée, blanchie et désodo- risée. La protection contre l’artériosclérose est obtenue grâce aux grandes quantités d’antioxydants contenus dans l’huile
de palme rouge, à savoir les carotènes et les tocotriénols. (168). Le risque d’artériosclérose diminue lors de consommation élevée d’alphacarotènes. (137) L’école médicale de Harvard a
effectué une étude décen- nale parmi 22.000 médecins et a constaté que ceux qui absorbaient des supplé ments contenant des betacarotènes, couraient 50% de risque en moins de subir des
infarctus et des hémorragies cérébrales. (127)
4. La protection des yeux et de la
peau
Nous n’avons pas seulement besoin de carotènes dans le
combat contre ladégénérescence de la macula
(la régression de la vue causée par le vieillissement), elles protègent en outre notre peau contre les rayons ultraviolets, d’après le Dr. Traber de l’université de Berkeley, en
Californie. (146)(148)(150)
Les tocotriénols en particulier on un effet inhibiteur dans le corps face aux tumeurs et peuvent être utilisés positivement dans le combat contre le cancer (de la
peau). (147) (149) Le rougissement de la peau dû à la brûlure du soleil est réduite par la consommation
de caroténoïdes variés. Les caroténoïdes protègent la peau contre les radicaux libres créés dans la peau par les rayons du soleil (122). Ainsi, les caroténoïdes dans l’huile de palme
rouge préviennent-ils la peroxydation des acides gras dans la peau. (134)
Attention: les suppléments de carotènes sont différents des carotènes naturels de l’huile de palme rouge et n’ont pas le même effet.
Tout d’abord: les carotènes naturels ont une structure différente de celle des carotènes chimi- ques. Souvent, les carotènes chimiques utilisés dans les suppléments sont à 100% des ‘isomères trans’ de betacarotènes, qui peuvent nuire à notre santé. Une étude parmi des fumeurs a clairement démontré ce fait. L’absorption de tels carotènes synthétiques a augmenté le risque de cancer des poumons auprès des fumeurs. Ensuite: des études ont suffi samment démontré qu’un ensemble de différentes carotènes, tels qu’ils se présentent dans l’huile de palme rouge, agit mieux que si nous nous limitons à 1 sorte de caroténoïde.
Une étude menée au Burkina Fasso auprès de mères et
d’enfants a révélé qu’après avoir cuisiné un an avec de l’huile de palme rouge, le risque de carence en vitamines A diminuait de 40%.(1)
Une autre étude réalisée par le National Nutrition Institute ’Hyderabad en Inde a prouvé que les jeunes en âge scolaire, qui consommaient quotidiennement 5 ml d’huile de palme rouge, les
valeurs de sérum du betacarotène s’amélioraient de façon remarquable. (145)
Le Dr. Canefield de l’université d’Arizona aux Etats-Unis, a découvert que les mères allaitan- tes, apportaient davantage de vitamines A et de carotènes à leurs bébés en préparent leur
nourriture avec de l’huile de palme rouge, que le groupe de référence qui consommait des capsules de betacarotène.
De nombreux chercheurs ont démontré que le betacarotène
chimique absorbé par le biais de suppléments, n’a pas le même effet que le betacarotène tel qu’il se présente dans la nature. Dans les plantes, le betacarotène est toujours assorti d’une
variété de carotènes telles que la lutéine, l’alphacarotène, le lycopène, la zéaxanthine, la cryptoxanthine, etc... Ensemble, leur action est parfaite, alors qu’elle l’est moins, voire
nulle lorsqu’ils sont séparés. (126)
On a découvert les vitamines E pour la première fois en
1922. De- puis lors, elle est décrite comme un remède aux maladies, une vitamine de fécondité et la vitamine qui peut, grâce aux antioxydants, nous faire vivre plus
longtemps.
Les vitamines E sont appelés les gardes du corps des parois
cellulaires. Nous savons que les vitamines E empêchent l’oxydation des graisses dans notre corps, en
d’autres termes qu’elles rancissent ou vieillissent. La démence est par exemple souvent la conséquence de
l’oxyda- tion de graisses et donc du rancissement des cellules cérébrales et les taches de pigment sur la peau sont dues à l’oxydation par le soleil, ces deux phénomènes étant générés par
une lacune en carotènes et en vitamines E.
La dénomination ‘vitamines E’ englobe deux familles de vitamines: les tocotriénols et les tocophérols. Chaque famille contient 4 formes, à savoir la forme alpha, bêta, gamma et del-
ta. Vous prenez peut-être des suppléments en vitamines E, mais qu’est-ce qui fait souvent défaut dans un
supplément de vitamines E? Les tocotriénols. La plupart des suppléments contiennent exclusivement du
tocophérol alpha. Dans deux études menées distinctement, les chercheurs rapportent qu’il n’est pas raisonnable de d’absorber des doses élevées de to- cophérols alpha sans tocotriénols.
(172) Dans la nature, le tocophérol alpha n’apparaît ja mais seul. Il s’agit toujours d’un mélange de tocophérols et de tocotriénols. Si nous faisons confi ance à la nature pour ce qui
est de nous fournir ce dont nous avons besoin et dans des proportions idéales, cela signifierait que le supplément
idéal en vitamines E doit présenter un mélange de tocophérols et de tocotriénols. (172) En 1971, Slover a
démontré que l’huile de palme rouge constitue la source la plus riche en tocotriénols. (157) A l’heure actuelle, on ne peut recommander d’autre source aussi riche en tocotriénols et en
vitamines E, que l’huile de palme rouge! (30) Les vitamines E présentes dans l’huile de palme rouge est
composée à 30% de tocophérols et à 70% de tocotriénols. Les tocotriénols forment une famille majeure
parmi les vitamines E.
Que dit la science médicale à propos des tocotriénols (vitamines E)?
Le chlore dans l’eau de conduite et les thérapies aux œstrogènes compliquent l’assimilation de vitamines E.
Le prof. R. Acuff de l’université d’état du Tennessee oriental dit: ’notre étude démontre sans aucun doute que les vitamines E naturelles sont au moins deux fois meilleurs que les synthé- tiques.’ Une étude réalisée en 1998 par le prof. Traber (Linus Pauling inst.) a démontré que les vitamines E naturelles sont assimilées deux fois mieux par le sang que la variante synthétique. Les vitamines E synthétiques sont en outre mises hors jeu plus rapidement et plus souvent. Apparemment, le corps est en mesure de différencier les deux, selon le prof. Traber.
L’oxydation des graisses joue un rôle important dans
le développement de l’artériosclérose, c’est-à-dire le processus responsable notamment des infarctus. Les vitamines E sont très importantes dans la prévention de l’oxydation des
graisses. Le Dr. J. Breslow, président de la Heart Asso- ciation américaine a dit en 1996: ‘Les vitamines
E préviennent les mala- dies cardio-vasculaires’. (143) D’après le Dr. André Theriault, professeur à l’université de Hawaï, les tocotriénols de l’huile de palme rouge peuvent générer une
diminution du cholestérol. Un autre aspect important réside dans le fait que les vitamines E contribuent à
éviter les plaquettes sanguines de coaguler, un autre mécanisme important dans l’apparition d’artériosclé- rose (143) Les tocotriénols de palme peuvent diminuer le taux de cholestérol de 15 à 33% en six à huit semaines. La bonne nouvelle, c’est
que le ‘bon’ cholestérol HDL n’a pas diminué. (172)
L’organisation mondiale de la santé a conclu à l’issue d’une étude, que le taux de vitami- nes E dans le sang constitue le meilleur indicateur pour déterminer le risque
d’infarctus. (128) Les vitamines E diminuent la coagulation des plaquettes sanguines, la tension sanguine
et contribue à éviter les caillots sanguins. (129) De nombreuses études ont démontré que l’absorption de vitamines E via l’alimentation pouvait réduire de 50% le risque de maladies
cardio-vasculaires. (130)
Les prof. K.K. Caoll (1997) et Guthrie (1997-1998) de l’université de Western Ontario, au Canada, ont démontré que les tocotrié- nols freinent la prolifération et la division des cellules cancéreu- ses lors d’un cancer du sein. Les gamma-tocotriénols dans l’hui- le de palme rouge sont 3 fois plus puissants que le tamoxiphène (un médicament utilisé dans le cas de cancer du sein) pour freiner les cellules cancéreuses, contrairement aux tocophérols, qui n’avaient aucun effet sur la croissances des cellules de cancer du sein. (158) Les tocotriénols de l’huile de palme rouge préviennent mieux les tumeurs, que les tocophérols. (139) Les tocotriénols dans l’huile de palme rouge contribuent à prévenir le cancer du sein, indépendamment de l’état des œstrogènes. (140) Les tocotriénols entravent non seulement le développement du cancer, ils contribuent également à tuer les cellules tumorales (apoptose). (142)
Le spécialiste en vitamines E mondialement renommé, le
Pro- fesseur Packer de l’université de Berkeley en Californie, a démontré que l’effet antioxydant des
tocotriénols est beaucoup plus élevé que celui des tocophérols et qu’ils peuvent pénétrer la peau et offrir une pro tection contre le stress oxydant extérieur, tel que les rayons UV du
soleil. Lorsque vous appliquez de l’huile de palme rouge sur votre peau, les tocotriénols sont rapidement absorbés par les couches inférieures de la
peau. (172) Le cancer de la peau et les mélanomes peuvent être freinés grâce aux delta-tocotriénols.
L’huile de palme rouge protège la peau contre les rayons UV et la pollution de l’air. Les tocotriénols offrent au corpset à la peau les moyens de protection naturels.
(172) Les alpha-tocotriénols protègent 40 à 60 fois mieux que les alpha-tocophérols contre
l’oxydation. (141) Les vitamines E peuvent également servir de crème solaire, étant donné qu’elles
absorbent les rayons UV-B. (143) L’ozone cause la formation de radicaux libres dans la peau. Les vitamines E
peuvent contrer la formation de radicaux libres et donc le vieillissement de la peau (143).
Les vitamines E naturelles de l’huile de palme rouge
offrent une protection contre le soleil. La plupart des crèmes solaires contiennent de l’acétate D-alpha-tocophérol ou du linoléate DL-alpha-tocophérol. Ces deux substances
ne contribuent pas à
combattre l’oxydation des graisses par le soleil, contrairement à l’huile de palme rouge. (143, p 274)
L’application locale d’un mélange de tocophérols et de tocotriénols, comme on les retrouve dans l’huile de palme rouge, se révèle être plus effi cace que lors de leur absorption par le
biais de l’alimentation pour une protection de la peau contre l’oxydation à l’azote. (143, p 277) Mieux vaut prévenir, que guérir.
Une alimentation super pour les utilisateurs d’ordinateurs: renforcez vos yeux avec une alimentation super. Mangez des épinards à l’huile de palme rouge chaque semaine. | ||
Des chercheurs français ont découvert que les vitamines E peuvent contribuer à prévenir la dégénérescence de la macula due au vieillis- sement (régression de la rétine) (Alternative medicine O7.2000). Les personnes présentant le taux le plus faible en vitamines E dans le sang risquent 4 fois plus de souffrir de la cataracte, que celles aux taux le plus élevé en vitamines E dans le sang. Le risque de dégénérescence de la macula est également fortement réduit. Dans ce contexte, les gamma-tocophérols semblent toujours plus effi caces que les alpha-tocophérols. (143)
Les athlètes produisent une quantité énorme de radicaux libres pendant leurs performances sportives. Les tocotriénols issus de l’huile de palme rouge les protègent contre l’oxydation des acides aminés (fondements des protéines) et des graisses lors d’importants efforts physiques. (172)
Le D. Harman, initiateur de la théorie concernant les radicaux libres, a démontré que les vita- mines E améliore dans une large mesure les capacités mentales des souris. (131) Les vitamines E ralentissent la déchéance auprès des patients souffrant de la maladie d’Alzheimer. (143) Les manques de vitamines E affectent également le système nerveux. Les lacunes en vitamines E font les rats se raidir, font pourrir les cellules cérébrales de spoules et provoquent des mouvements spasmodiques chez les hamsters et les lapins. (143)
Tant les rats mâles, que femelles sont devenus stériles suite à un régime alimentaire exempt de vitamines E. Les carences en vitamines E peuvent causer des fausses couches. (143)
Pour retrouver
une
|
Les co-enzyme Q10 est une substance nécessaire à nos enzymes pour pouvoir accomplir leur tâche. Le co-enzyme Q10 favorise la fonction du cœur, du cerveau et du foie. En tant qu’anti- oxydant, le co-enzyme Q10 protège les cellules contre les radicaux libres. Le co-enzyme Q10 aide vos cellules à libérer l’énergie dont elles ont besoin. Elle est présente dans toute huile non raffi née, telle que l’huile de coco extra vierge et l’huile de palme rouge.
Les graisses ne sont en aucun cas des malfaiteurs pour
lesquels ils sont souvent pris! Au con- traire, elles sont absolument indispensables à une bonne
santé. Mais elle doivent être d’une qualité irréprochable: pressées mécaniquement à froid (extra vierge) et
non raffi nées (non dénuées des substances nutritives qu’elles contiennent) et non désodorisées (non seulement l’odeur, mais les substances essentielles sont également éliminées).
En outre, nous ne pouvons pas considérer les graisses saturées comme des ‘mauvaises’ grais- ses: notre corps
nécessite plus de graisses saturées saines que n’importe quelle autre graisse. Elles sont même moins sujettes à l’oxydation et donc plus stables que les graisses insaturées dans notre
corps.
Concrètement, cela signifi e que nous avons tant besoin de bonnes graisses saturées, que de bonnes graisses comprenant des acides gras mono- et poly-insaturés. Dans le groupe des graisses
saturées non raffi nées, qui peuvent être chauffées, les graisses riches en chaînes moyennes d’acides gras (MCT) méritent une attention toute particulière pour des raisons de santé. Dans
le groupe des acides gras poly-insaturés, nous mettons l’accent sur les acides gras végétaux oméga 3 et oméga 6, à condition qu’ils n’aient pas été chauffés, raffi nés ou durcis. Surtout
les bébés et les enfants en pleine croissance tireront un grand bénéfi ce d’un régime alimentaire riche en graisses saines. Mais c’est aussi le cas pour toutes les personnes souhai tant
éviter les maladies de dégénérescence à un âge plus avancé. Il est important que nous choisissions nos
graisse de façon scrupuleuse et variée. Les graisses saines maîtrisent tous les processus corporels dans notre cerveau, dans notre peau et notre corps. Les graisses saines vous veulent du
bien, profitez-en...
Soupe de tomates rouge au tofu et huile de palme rouge
2 cuillers à soupe d’huile de palme rouge, 1 oignon rouge
haché · 6 grandes tomates, mondées et concassées
ou 1 boîte de tomates pelées bio · 2 gousses
d’ail, 100g de tofu de soie · 2 cuillers à soupe
de persil haché finement ou de coriandre · 2
tasses de bouillon de légumes · un soupçon de
poivre de Cayenne au sel marin non raffiné
Versez deux cuillers à soupe d’huile de palme rouge dans un récipient et faites-y sauter l’oignon et l’ail. Ajoutez-y les dés
de tomate. Faites mijoter les tomates pendant environ 3 minutes et ajoutez-y le tofu. Ajoutez l’eau, rectifiez l’assaisonnement avec les épices. Laissez cuire quel ques instants et mixez.
Finissez avec le persil ou la coriandre.
Légumes au wok et noisettes
2 cuillers à soupe d’huile de palme
rouge · 1 cuiller à soupe de Raz-el-Hanout
(mélange d’épices) · 1 grande pomme de terre
douce, épluchée et détaillée en petits cubes · 500g de choux de Bruxelles ou de choufleur ou
de fenouil,... · 300 ml de bouillon de
légumes · 100g de noisettes
Dans une sauteuse, grillez les noisettes à sec jusqu’à ce qu’elles soient dorées. Si vous utilisez de choux de Bruxelles, étuvez-les d’abord quelques instants. Chauffez l’huile de palme rouge dans le wok, faites cuire brièvement les épices, ajoutez les légumes et remuez tout en cuisant. Ajoutez le bouillon de légumes et poursuivez la cuisson. Remuez les ingrédients jusqu’à ce qu’ils soient al dente. Parsemez des noisettes et mélangez. Délicieux avec du riz, du quinoa ou avec des pâtes.
Mayonnaise rouge et salade de macaroni
mayonnaise: 1 jaune d’œuf, un soupçon de poivre de Cayenne, 1 cuiller à café de moutarde, 1 cuiller à café de vinaigre de vin, 125 ml d’huile de
palme liquide (légèrement chauffée), 1 cuiller à soupe de ketchup
salade: 250g de macaronis cuits, 1 grand oignon coupé en rondelles, 1 pomme verte coupée fi nement, 100g de
carottes râpées, 50g noix concassées, 1⁄2 concombre coupé en julienne, un peu de
salade pour accueillir la garniture.
Pour la mayonnaise: mettez tout dans le hachoir électrique, à l’exception de l’huile. Mixez le tout et versez-y très lentement l’huile, jusqu’à ce que l’appareil épaississe. Mélangez tous les ingrédients de la salade, ajoutez-y la mayonnaise et servez le tout sur un lit de salade verte.
Coconut Oil for Health and Beauty door Cynthia en Laura Holzapfel. The healing miracles of Coconut Oil door Bruce Fife. Saturated Fat may save your life door Bruce Fife & Mary Enig RX:Coconut! Vermén M. Verallo-Rowell, MD.
(1)Ascherio, Alberto et al. ‘Dietery fat and risk of coronary heart disease in men, ‘BMJ (1996):313:84-90
(2)Nelson, S.E. et al. ‘palm olein in infant formula: absorption of fat and minerals by normal infants, ‘American Journal of Clinical Nutritiun (1996):64:291-296
(3)Cohen,L.A. 1988.’Medium chain triglycerides lack tumor-promoting effects in the n-methylnitrosourea-induced mammary tumor model,’the Pharmacological Effects of Lipids, edtited by
Jon.J.Kabara. Vol III.The American Oil Chemists’ Society.
(4)Kabara John. ’Nutritional and Health aspects of Coconut Oil’ Health Oils from the Tree of Life.
(5)St-Onge,Marie-Pierre P.JH.Jones.’Physiological Effects of Medium-Chain Triglycerides:Potential Agents in the Prevention of Obesity,’Journal of nutrition(2002):132/329-332
(6)Thampan,P.K. Facts and Fallacies about Coconut oil, Jakarta:Asian and Pacifc Coconut Community,1998.
(7)Mendis,S.,et-al.’The effects of replacing coconutoil with corn oil on human serum lipid profles and platelet derived factors active in atherogenesis, ‘Nutrition Reports International
‘(October 1989):40:No4.
(8) Prior,I.A.,et al.’cholesterol,coconuts, and diet on Polynesian atolls: a natural experiment: the Pukapuka and Tokelau Island studies,’American Journal of Clinical Nutrition
(1981):34:1552-1561.
(9) Bergsson, Gudmundur, et al. ’In vitro Inactivation of Chlamydia trachomatis by Fatty Acids en Monoglycerides,’ Antimicrobial Agents and Chemotherapy (September
1998):2290-2294
(10) Petschow,Byron W.,et al.’Susceptibility of H.pylori to Bacterial Properties of Medium-Chain Monglycerides and Free fatty acids,’ Antimicrobial Agents and Chemotherapy (February
1996):302-306.
(11) Bergsson,Gudmundur,et al.’In vitro killing of Candida Albicans by Fatty Acids en Monoglycerides,’ Antimicrobial Agents and chemotherapy (November 2001):3209- 3212
(12) Knox,K.Kehl,en Donald R. Carrigan.’ Active HHV-6 infection in the lymph nodes of HIV-infected patients: in vitro evidence that HHV-6 can break HIV latency’ Journal of acquired Immune
Deffciency Syndromes and Human Retrovirology (1996) 11(4):370-8
(13) Dairit,Conrad.’Coconut oil in Health and Disease:ITS and Monolaurin’s potential as cure for HIV/Aids.’Paper presented at the XXXVII Cocotech meeting,Chennai, India,
July25,2000.
(14) Calabrese,C.et.al.1999.A cross-over study of the effect of a single oral feeding of medium chain triglyceride olie vs. Canola oil on post-ingestion plasma triglyceride levels in
healthy men.Altern.Med. Rev.4(1):23
(15) Jiang,Z.M. et.al. 1993.A comparison of Medium-chain and long-chain triglycerides in surgical Patients.Ann.Surg.217(2):175
(16)Tantibhedhyangkul, P.and Hashim,S. A., 1978. Medium-chain triglyceride feeding in premature infants:effects on calcium and magnesium absorption.Pediatrics 61 (4):537
(17) Ball,M.J.1993.Parental nutrition in the critically ill:use of a medium-chain triglyceride emulsion.Intensive CareMed.19(2):89
(18)Budowski,P.and Craxford, M.A. 1985. Alpha-linolenic acid as a regulator of the metabolism of arachidonic acid;dietary implications of the ratio,n-6:n-3 fatty acids.Proceedings of the
Nutrition Society 44;221
(19) Simon,H.1990. The scales of evidence:eating fsh cuts heart attacks,but fsh oils may not., American health 9(6):91
(20) Yamori,Y.zt al.1987.Pathogenesis and dietary prevention of cerebrovascular diseases in animal models and epidemiological evidence for the applicability in man. In:Yamori Y,Lenfant C
eds.Prevention of Cardiovascular Diseases:An approach to Active Long Life.Elseviers Science Publishers, 163-177
(21) Ikeda,K, et al. 1987. Effect of milk protein and fat intake on blood pressure and incidence of cerebrovascular disease in stroke-prone spontaneously hypertensive rats.
J.Nut.Sc.i.Vitaminol.33:31
(22) Thampan.PK.1994.Facts and Fallacies about Coconut Oil. Jakarta:Asian and Pacific coconut Community,pg8 en 9
(23) Kiyasu G.Y.,et al.1952.The portal transport of absorbed fatty acids.Journal of biological Chemistry 199:415-19
(24) Ibid,pag 15
(25) Geliebter, A.1980. Overfeeding with a diet containing medium chain triglyceride impedes accumulation of body fat. Clinical Research 28:595A
(26) Bray, G.A. et al. 1980. Weight gain of rats fed medium-chaintriglycerides is less than rats fed long-chain triglycerides.Int.J.Obes.4:27-32
(27)Geliebter,A.e al.1983. Overfeeding wih medium-chain triglycerides diet results in diminished deposition of fat.Am.J.Clin.Nutr.37:1-4
(28) Baba,N.1982.Enhanced thermogenesis and diminished deposition of fat in response to overfeeding with diet containing medium chain triglyceride.Am.J.of Clin.Nutr.35:678-82
(29) Hornung,B.et al 1994. Lauric acid inhibits the maturation of vesicular stomatitis virus. Journal of general Virology 75:353
(30) Wan, J.M.and Grimble,R.F.1987Effect of dietary linoleate contenton the metabolic responsof rats to Escherichia coli endotoxin.Clinical Science 72(3):383-5
(31) Thampan.PK.1994.Facts and Fallacies about Coconut Oil. Jakarta:Asian and Pacifc coconut Community pag 4-5
(32) Sadicot,S.M.Benefcial effects of Coconut Oil’Ind.Coco.J.1993: XXIV(7):21
(33) Mary Enig. Health and nutritional benefts from Coconut Oil: an important functional food for the 21st century.Presented at the AVOC Lauric Oils symposium, Ho Chi Min city, Vietnam,25
april 1996.
(34) Cherie Calblom M.S. ‘The juice Lady’, John Calblom, M.A., Michael Mahaffey,P. C. ‘The complete cancer cleanse, pag.101
(35) Sundriya Grubb, lezing: de rol van vetzuren tijdens de zwangerschaps- en borstvoedingsperiode 13-14 nov.2004,Internationaal therapeutenbeurs, Apeldoorn.
(36) Coconut Oil for Health and Beauty, Cynthia and Laura Holzapfel, p.27
(37) Coconut Oil for Health and Beauty, Cynthia and Laura Holzapfel, p.33
(38) Coconut Oil for Health and Beauty, Cynthia and Laura Holzapfel, p.52
(39) Coconut Oil for Health and Beauty, Cynthia and Laura Holzapfel, p.67
(41) Prior, Davidson, Salmond, Czochanska. ‘Cholesterol, coconuts and diet on Polynesian atolls: a natural experiment: the Pukapuka and Tokelau island studies’. American journal of
clinical Nutrition, 1981 aug; 34(!):1552-61
(42) Felton CV, Crook d., Davies MJ, Oliver MF ‘Dietary polyunsaturated fatty acids and composition of human aortic plaques’ Lancet, okt. 1994, 29,344(8931):1195-6.
(43). ‘virgin cocnutoil’, Brian en Marianita Jader Shilhavy, p 115
(40) Sircar, U Kansra Department of Medcine, Safdarjang Hospital, New delhi. ‘Choice of cooking oils myths and realities’. Journal Indian Medical association
1998,oct;96(10):304-7
(44) P.K.Thampan, ‘Facts and fallacies about coconut oil’, Asian and Pasifc Coconut Community, Jakarta, 1994
(45) H.Kaunitz, ‘Medium chain triglycerides in aging and artiosclerosis’ Journal of Environmental Pathology, toxicology and Oncology.1986 mer-april;6(3-‘):115-21
(46) Rose G, The Lancet 1983,1:1062- 1065
(47) Castellli H, Archives of ineternal Medicine,jul 1992,152:7:1371-1372. Smith R. Pinckney E, diet, blood Choleste-
rol and Coronay Heart Disease: A critical review of the literature, vol 2, 1991.
(48) Malhotra S, epidemiology of ischaemic heart disease in India with special reference to causation. Britsch Heart Journal 29,895-905,1969.
(49) Gordon T; diets and its relation to coronary heart disease and death in three population. Circulation 63,500-515,1981.
(50) Carew T, Szchwenke D, Steinberg D, Antiatherogenic metabolic defect probucol unrelated to its hypocholestesterolemic effect. Proceedings of the National Academy of Science
84,7725-7729,1987. Clubb F, effect of dietery omega 3 acid on serum lipids, plasma function and atherosclerosis in Watanabe heritable hyperlipidemic rabbits; Artherosclerosis
9,529-537,1989.
(51)The cholesterol myths, exposing the fallacy that saturated fat and cholesterol cause heart disease. Dr. Uffe Ravnskov, p 234.
(52)Chemistery and biological effects of the trans fatty acids Enig M, Transfatty acids in the food supply: 1993.
(53) Hanis T, effects of dietary trans fatty acids on reproductive performance of Wistar rats. Britisch Journal of Nutrtion 61,519-529,1989
(54) Teter B, Sampugna J, Keeny M moilk fat depression in mice consuming partially hydrogenated fat. Journal of Nutrtion 120 818-824,1990.
(55) Koletsko B, Transfatty acids may impair biosynthesis of long chain polyunsaturates and growth in man, Acta pediatrica 81, 302-303,1992.
(56) Atal S, Comparison od body weight and adipose tissue in male mice fed diets with and without trans fatty acids; lipids 29,319-325,1994.
(57) Mensick R, Katan M. effect of dietary trans fatty acids on high-density and lowdensity lipoprotein cholesterol levels in
healthy subjects. New England Journal of Medicine 323,439-445,1990
(58) Mary Enig Knows your fats, understanding fats, oils and cholesterol 2000
(59) Gurr M, dietary lipids and coronary heart disease, old evidence, new perspective, Progress of Lipid Research 31,195-243,1992
(60) Mann G, Coronary heart disease, doing the wrong things, Nutrtion Today july-aug 9 423-428,1987
(61) oliver M, Might tratment of hypercholesterolaemia increase non-cardiac mortality? Lancet 337, 1529-1531,1992
(62) Pinckney Edward, The cholesterol controversy, 1973
(63) Raymond Reiser, a commentary on the rationale of the diet-heart statement of the American Heart association, American Journal of Clinical Nutrtion26,524- 555,1973
(64) Paul Rosch, guidelines for diagnosis and treatment of high cholesterol, Journal of the American Medical Association 286,2001.
(65) Jeffrey Aron, university of California, san Francisco, Transfats, the hidden killer in our food, Judith Shaw 2004, foreword p x
(66) Judith Shaw, transfats, the hidden killer in our food, p48-51, 2004
(67) Een Nederlands en Canadees onderzoek, Mary Enig, feiten voer vetten, 2000- 2003, p 18-19
(70) Havard School of public Health, Mary Enig, feiten over vetten, p 18, 200-2003
(71) Mary Enig, feiten over vetten, 2000- 2003,p54-55,
(72) Mary Enig, feiten over vetten, 2000- 2003, p 69
(73) Mary Enig, feiten over vetten, 2000-2003 p 87-95; Ascherio e.a. 1995., Hu e.a. 1997, Pietinenen e.a. 1997
(74) Dr. Holman, Hormel Institute, University of Minnesota, zie (73)
(75) Lifschitz F. 1996, considerations about dietary fat restrctions for children. Journaal Nrutrition 1996;126 (4suppl):1031S-1041S, Zlotkin S, 1996 a review of the Canadian nutrtion
recommandations update: dietary fat and children jouranl of nutrition 1996; 126’4suppl): 1022S-1027S, Mary Enig, feiten over vetten, 2000-2003, p116
(76)Watkins B, importance of vitamine E in bone formation and in chrondrocyte function, Purdue Universityn Lafayette, AOCS Proceedings 1996, food lipids and bone Health, food lipids and
health, Mcdonald and Min, Marcel Dekker, NY 1996 p 101
(77) Nanji A, gastroenterology aug 1998, 2344(5)=547-54; cha, Sachan, journal American college Nutrtion, aug 1994,13 (4)338-43, Hargrove H FASEB journal, meeting astracts mar 1999,204.1,p
A222
(78)Kabara J, The pharmacological effects of lipids, the American oil chemists society, champaign, 1978,1-14 Cohen, L, journal national cancer institute 1986, 77:43
(79) Garg, M/L/, Faseb journal 1988; 2:4: a852 Oliart ros meeting abstracts AOCS proceedings may 1998, 7, Chicago il.
(80) Lawson, Kummerow Lipids 1979,14:501-503 HGarg lipids 1989,24 (4):334-9
(81) Mary enig, health and nutritional benefts from coconutoil: an important functional food for the 21th century, presented at he AVOC lauric oils symposium, ho Chi Mi City, Vietnam
25.04.1996.
(82) Mary enig, Indian coconut journal, sept 1995.
(83) Hill, Peeters, Sharp, Kaler, Abumrad, Greene, thermogenis in humans during overfeeding with mct,
metabosm july 1989;38 (7):641-8
(85) St-Onge, Ross, Parsons, jones mct increases expenditure and decrease adiposity in overweight men, obesity research 2003 mar 11'3); 395-402
(86) J.Graedon en T Graedon, the peoples pharmacy to home and herbal remedies', St Martin's press NY 1999 p 193-195
(87) Gorard d, enternal nutrition in chron's disease: fat in the formula European journal gastoentterol hepatology 2003, april 15 (4):459
(88) Jeppesen, Mortensen the influence of a preserved colon on the absorption of MCT in patients with small bowel resection, Gut 1998 oct, 43 (4);478-83
(89) Manuel Keenoy, Nonneman `effects of intravenous supplement with alpha-tocopherol in patients receiving parentaral nutrition containing MCT and LCT, European journal clinical
Nutrition 2002
(90) The effects of dietary fat source, level and feeding interval on paork fatty acid composition, See, Odle, 1998-2000 department report, department of animal science, ANS Report 248
North Carolina University.
(91) Gary Taubes, New York Times 2002, July 7: what if it were all a big fat lie?' (92) G. Crozier, B. Bois-Joyeux, M.Chanex
overdfeeding with MCT in the rat, Metabolism 1987,36:807-814
(93) T.Seaton, S.Welles, M.Warenko thermic effects of MCT en LCT in man, American Journal clinical nutrition 1986;44,630-
634
(94) Dr. R.Peat, fysicus en hormoonspecialist newsletter: 'unsaturated vegetable oils Toxic' 19996
(95) Fort, Moses, Fasano, Goldberg en Lifshitz, Breast and soy-formula feeding in early infancy and the prevalence of autoimmune thyroid disease in children, Journal American college
Nutrtion 19990;(9):165-167
(96) Doerge, Hebron, Chang, inactivation of thyroid peroxidase by soy isoflavones in vitro and in vivo', Journal of chromatology B Vol 777 (1,2);25;dept 2002:269-79
(97) Rele, Mohile, effect of mineral oil,sunfloweroil and coconutoil on prevention of hair damage', Journal Cosmetology
Science 2003 mar-apr;542 (2) 175-92
(98) G.Bergsson, in vitro killing of candida albicans by fatty acids and monoglycerides, antimicrobial agents and chemotherapy, nov 2001, p 3209-3212, vol 45, no 11
(99) Hostmark et al, 1980, wistar rats study M.Enig, Viet Nam 1996 lecture
(100) Awad 1981, witsar rats study. M.Enig, viet Nam 1996 lecture
(101) de E in je eten, M. Hanssen, p 144-1461988 zomer en Keuning.
(102) Y.Yeh, P.Zee, relation of ketosis in metabolic changes induced by acute mediumchain triglyceride feding
in rats.’ J.Nutrion 106 (1976):58-67B. Blooùm, L.Chaikoff,W. Reinhardt, intestinal lymph as pathway for transport of absorrbed fatty acids of different lengths, am j. psysiology 166
1951,:451-455. C.Bach,U. Babyan, MCT: un update
am journal clinical nutrition 36,1982:950-962 J.Wiley, G.Leveille, metabolic consequences of dietary MCT in rat, J.Nutrtio 103 1973:829-835, S.Hashim, dietary fats and adipose tissue
fatty acids composition, prev. med 1983:854-867
(105)N.Baba, E. Bracco, S.Hashim, enhanced thermogenesis and dimished deposition of fat in response to overfeeding
with diet containing MCT, am jouernal Clinical Nutrtion 35,1982;678-682
(106)’in vitro killing of candida albicans by fatty acids and monoglycerides’, Antimicrobial agents chemother 45 (11) nov 2001:3209-3212
(107) Cherie en John Calborn, the coconutdiet, p14.
(108)T. Seaton, S.Welles, M.Warenko, thermic effects of MCT and LCT in man, 1987, metabolism 36: 807-814 (109) J.Wiley, G.Leveille, metabolic consequensences of dietary MCT in rat,
J.Nutrtion 103 (1973): 829-835
(110) Psychosomatic medicine, jan/febr 2005, Dr Penelope Elias, Boston University.
(111) The coconut diet, chery and John Calbom, p.85
(112) Eat fat loose fat, Dr; Mary Enig and Sally Fallon, p23
(113) Eat fat loose fat, Dr; Mary Enig and Sally Fallon, p45
(114) T.Moore, Lifespan: What really affects human longevity,1990, Simpon &Schuster, New York,
(115) Sally Fallon, nourishing traditions, 1999,2001, p 203
(116) American Medical Association, nov 2, 1994
(117) Jama 1967 202:1119-1123;Am J Clin Nutrition 1981 34: 1552
(118) Sally Fallon, nourishing traditions, 1999,2001, p 575
(119) Alexander, J, 1987, journal of toxicology and environmental health 21:295 Harman D. 1976, Free radical theory of
aging: effect of dietary fat on central nervous system function.Journal of the American Geriatrics society; 24(7):301(110) Psychosomatic medicine, jan/febr 2005, Dr Penelope Elias, Boston
University.
(119) Francois C, Connor S, Wander R., connor W, acute effects of dietary fatty acids of human milk, American journal of clinical Nutrition 1998; 67.301-308
(120)
(121) Bruce Fife, Saturated fats may safe your life,1999, p. 75
(122) Life extansien, 1997, p 5-8
(123) Bruce Fife, saturated fats may safe your life, 1999, p 91
(124) Lovastatin decreases cooenzyme Q levels in rats, Wiilis 1, 199O, proceedings of the National Academy of Sciences USA87:8928
(125) B. Fife, saturated fats may safe your life, 1999, p135; Passwater,R,1985,The antioxidants, New Canaan,CT Keats publishing
(126) Ibid; Bruce Fife, saturated fats may safe your life,1999, p 135-136
(127) Gaziano.J, 1990, Circulation 82;111,Life Extension dec 1997,following the best science,p 5-8, ibid p 6., B. Fife, saturatred fats may save your life, 1999, p136
(128) F. Gey, 1991, american Journal of Clinical Nutrtion 53, 326S
(129) Garus A, 1997, Bruisch medical Journal, 324 (7098: 1845, R. Passwater 1992, The new Superoxidantant-pluys, New Canaan, p.22
(130) M.Stampfer 1993, Vitamine E consumption and the risk of coronary disease in woman, New England J.Medicine
328;1444, Rimm E. 1993, vitamine E consumption and the risk of coronary disease in man, New England J.Medicine 328, 1450
(131) Harman D. 1976 Fre radical theory of aging: effect of dietary fat on central nervous system function, Journal of the American Geriatrics society 24 (7) 301
(132) Ray Peat, from the book ‘from pms to menopause’, Brian Shilhavy coconutoil and its virtues.
(133) Murakoshi, potent preventive action of alpha-carotene against carcinogenesis, cancer research, vol 52;52:6583-
6587,1992
(134) BritonG, Faombui E, antioxidant activity of palm oil carotene in peroxidatation free radical-mediated peroxidation of phosphatidyl choline liposomes, Redox, (1-2): pp
61-68,19999
(135) palm fruit carotene intake prevents skin lipid peroxidation caused by UV irradiation., Miyazawa, the antioxidant effect of fruitpalm carotens on skin lipiperoxidation in guinea pigs
as estimated by chemiluminescene –phlc, nutr sci vitamol, vol 10 (4): pp 315-324,1994
(136) Di Marcio, lycopene as the most effcient biological carotenoid singlet-oxigen quencher, archives of biochemesty of biophysics, nov 1989;272:5
(137) Willeit l, high plasma levels of alpha and beta carotene are associated with lower risk of atherosclerosis: results from the Bruneck Study, artherosclerosis 153 (1):pp
231-239,2000
(138) morris D, Serum carotenoids and coronary heart desease; lipid research clinics coronary primary prevention trial and follow up study, the American medical association, nov
1994;272;1439-1441
(139) Sundram k. 1989, effects of dietary palm oil on mammary carcinogenesis I females rats induced by 7,12-dimethylbenz (a) anthracene. Cancer res. 1447-1451
(140) Nesaretnam 1998, tocotrienols inhibit the growth of human breast cancer cells irrespective of estrogen receptor status, lipids 33: 461-469
(141) Serbinova E, 1991, free radical recycling: the antioxidant properties of alpha-tocopherol and gamma-tocotrienols, free radical boil and med, 100: 263-75
(142) Nesaretnam 2000 int j food sci nutri 51 S95-S103
(143) the vitamine E factor, Andreas Papas, Jean Carper,
(144) Zagre N.M. et al. (2002) « Changes in vitamin A intake of red palm oil among children and mothers in Burkina Faso’ Sante. 12(1)
(145) Sivan Y.S et al (2001),’impact of betacarotene supplementation through red palm oil’ J.Tropical Pediatrics,Vol 47:67- 72
(146) Tronnier H.,oral presentation, Symposium on current Aspects of Light Protection Physiology, Universiteit van Witten/Germany, 24 Maart 1994.
(147) Alpha and Gamma-tocotrienols have shown to prolong the life span of cancer infected mice. Kato et al.(1985) ‘Physiological effect of tocotrienol’J.Japan Oil Chem. (Yukagaku)
34:375-376 Komiya et al. (1989) Studies on the biological tocotrienols. Chem.Pharm. Bull.37(5):1369-1371
(148) Traber MG. Et al.(1996).’Diet-Derived and Tropically Applied Tocotrienols Acc. Skin and protect the tissue against Ultraviolet Light-Induced Oxidative stress. Porim Int’l Palm Oil
Congress (Nutrition) 152-60
(149) Prof.Carolls K.K.(1995),Inhibition of Proliferation of Human Breast Cancer Oil Tocotrienols.Presented at the 7TH Asian Congress of Nutrition,Beijing Oktober 7-11th 1995.
(150) Parker L. et al (2001) ‘Molecular Aspects of alpha-tocotrienol antioxidant and cell signaling. J.Nutr. 131:369S-73S
(151) Choudhury N.,Tan L. and AS Truswell (1995) Comparison of Australian, palm olein and olive oil diets:effects on plasma lipids.Am.J.Clin.Nutr. 61:1043-1051.
(152) Sundram K.,Hornstra G. En Houwelingen A.C. (1992) Replacement of dietary fat with palm oil:effect on human serum lipid, lipoprotein and apoprotein.bri.J.Nutr. 68:677-692
(153) ZhangJ.,Wang C.R.,DaiJ.,Chen X.S., Ge K.Y. (1997) Palm oil diet may benef t hypercholesteroleemic Chinese adults. Asia Pacif c.J.Clin.Nutr. 6;1:22-25
(154) Khosla P. En Hayes K.C.(1992) Comparison between the effects of dietary saturated, monosaturated and polysaturated fatty acids on plasma lipoprotein metabolism. Am.J.Clin.Nutr.
55:51-62
(155) Qureshi A.,N, Hasler-Rapacz et.al,(1991) Dietary tocotrienols reduce concentrations of plasma cholesterol, apolipoprotein B, Thromboxane B2 and platelet factor 4 in pigs with
inherited hyperlipidemias.Am.J Clin Nutr. 53:1042S-
1046S – 1021S-1026S, Nutr.10:388-393
(156) Hornstra G., (1988) Dietary lipids and cardiovascular disease: effects of palm oil.Oleagineux 43:75-81.
(157) Slover H.T. (1971).Lipids. 6:29
(158) Caroll K.K.,Guthrie N.,Gapor A. And Chambers A.F. (1995). Inhibtion of proliferation of human breast cancer cells by palm oil tocotrienols.Presented at the 7th Asian Congress of
Nutririon,Beijing,China,Oct.7- 11. (159) Nesaretnam K.,Stephan R.,Dils R. And Darbre P. (1998). Tocotrienols inhibit the growth of human breast cancer cells irrespective of estrogen
receptor status.Lipids. 33(5):461-469
(160) Krinsky N.I. (1993)Actions of Carotenoids in biological systems.Ann.Rev. Nutr.13:651-587
(161) Bendich A. (1990).Carotenoids and the immune response.J.Nutr.119:112-115
(162) Garewal H.S. (1993).Carotenoids in oral cancer prevention.In:Canf eld L.M.,Krinsky N.I. and J.Olson (eds) Caro-
tenoids in human health,New York Academy of sciences,139-147
(163) Grundy S.M. (1986) Comparison of monounsaturated fatty acids and carbohydrates for lowering plasma cholesterol. new.Engl.J.Med.314:745-748
(164) Grundy S.M. (1990).Trans monounsaturated fatty acids and serum cholesterol levels.New.Engl.J.Med.323:480
(165) Willet W.C and Ascherio A. (1994) ‘Trans-fatty acids: are the effects only marginal?’ Am.J.Health 84:722-724
(166) Mensink and Katan M.B. (1990). Effect of dietary trans-fatty acids on high density and low density lipoprotein cholesterol levels in healthy subjects.New
Eng.J.Med.323:439-445
(167) Ali S.M.K. et al. (2001) « Beta caroten to combat acute respiratory tract in.and diarrhoea disease in slum children of Dhaka, Bangladesh’, Proceedings of Food Technology &
Nutrition Conference, International Palm Oil Congress 2001, Kuala Lumpur,Malaysia
(167) Kritchevsky D. et al.(2001),’Red palm oil in experimental atherosclerosis’, Proceedings of Food Technology & Nutrition Conference, International Palm Oil Congress 2001, Kuala
Lumpur,Malaysia
Eng.J.Med.323:439-445
(168) ‘Het veelvuldig verhitten van rode palmolie heeft geen negatief effect op triglycerides, HDL en cholesterol.Kamsiah J. et al.(2001)’ Proceedings of Food Technology & Nutrition
Conference, International Palm Oil Congress 2001, Kuala Lumpur,Malaysia
(169) De-stress yourself with Carotenes by Ena Gill (Sunday Star 3 Jan.1999)
(170) Mary Enig,
(171) Artikel verschenen in de Sunday Star (13 december 1998) door Ena Gill
(172) Dr.André Theriault, Total Health, vol.23,nr 2 Professor at the university of Hawaï has done extensive research on coronary and artey disease and the benefits of vitamine E and
tocotrienols. Dr.Theriault received the Scientif c Research Award in 1999.
(173) Ena Gill,Sunday Star (20/12/98) Red Palm Oil, Potent Healer That Promotes Long Life.
(174) Mary G.Enig and Sally Fallon ‘Nourishing Traditions’
(175) L.Leslie, effect of retinoic acid and palm oil concentrate on oetrogen sulphatase and oestradiol-17 beta hydroxysteroid activities....breast cancer cell lines, Int Journal of Cncer
p 135-138,2000
(176) Nishino A, cancer prevention by natural carotenoïdes, Biofactors p 89-94,2000
(177) E.Giovannucci, intake of specif c carotenoids and risk of lung cancer, Am. J. Clin.Nutrition,vol 7294,p
990-997,2002
(178) A.Murakoshi, potent preventive action of alfa-caroten tegen caciogenesis, Cancer research dec
1992,52,6583-6587
(179) Toniolo, serum carotenoiden and breast cancer, Am. J.Epidemiol 15 (12):1142-7 2001
(180) Ito Y, a study on serum carotenoids levels in breast cancer patients of woman in chanai, india, india J.Epidermio, 9(5):306-14,1999, Sato R; prosoective study of carotenoidss-,
tocopherols and retenoid concentrations and the risk of breastcancer, cancer epidemiol biomarker (5):451-7,2002
(181) Udo Erasmus, fatale en vitale vetten, blz 136 (182) R; Hubbard, J. Westengard, A. Sanchez, J.Barth, M. Horning apparent skeletal muscle loss related to dietary transfatty acids in a mixed group of omnivores and vegetarians; nutrition Research 23 (2003) 651)658. www.tocotrienol.org.
Vous avez vu une erreur?
Merci de nous en informer!
!!! Mettre une phrase qui résume le contenu de l'article et créer un LIEN vers la page où j'ai mis l'article !!!
ffffffffffffffffffffffffffffffffffffff
fffffffffffffffffffffffffffffffffffffff
fffffffffffffffffffffffffffffffffffffff
ffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff
!!! Accès aux articles par ordre
alphabétique !!!
A B C D E F G H I
J K L M N O P Q R
S T U V W X Y Z
To translate this site http://translate.google.fr/
Votre avis nous intéresse !
Améliorons
Lecouteausuisseduweb.com
ensemble !
5 mn pour répondre à notre
questionnaire en ligne
JE PARTICIPE !
o-o COPYRIGHT o-o
Aucune reproduction, même partielle, autre que celles prévues à l'article L122-5 du code de la propriété intellectuelle, ne peut être faite sans l'autorisation expresse de l'auteur.
L'utilisation d'images d'oeuvres et de textes originaux protégés par le droit d'auteur exige l'obtention du consentement préalable du titulaire de ces droits.
Informatique et libertés
Le site lecouteausuisseduweb est déclaré sous le numéro xxxxxxxx auprès de la Commission Nationale Informatique et Libertés (CNIL) en application de
la loi n°78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés.
Chaque utilisateur ayant déposé des informations le concernant sur le site dispose des droits d'opposition (article 38 de la loi), d'accès (articles 39, 41 et 42 de la loi) et de
rectification (article 40 de la loi) de ces données en écrivant à
lecouteausuisseduweb(at)
lecouteausuisseduweb
.com.
Ce site a été conçu avec Jimdo. Inscrivez-vous gratuitement sur https://fr.jimdo.com