L'alcoolisme

Se soigner dans un lieu différent:   le  Calme à Cabris (06)

 

Une coopérative pour « libérer » les alcooliques

 

Le Calme de Cabris, près de Grasse, met en œuvre depuis plus de trente ans une thérapie efficace qui implique tous ses salariés, des médecins aux femmes de ménage. En France, c’est le seul établissement de santé sous statut coopératif.

 

"Quand on arrive ici, c’est la zone. On est perdu, on ne sait pas comment marche cette maison ! "

Comme chaque jeudi, les 45 pensionnaires et le personnel soignant du Calme (Centre d’action et de libération des malades éthyliques) sont en réunion. L’homme qui se plaint, depuis le fond de la salle, de l’organisation de la lessive et de l’interdiction d’utiliser un téléphone portable, est confus et un peu agité, mais personne ne lui en tient rigueur : il fait partie des nouveaux arrivants, ceux qui n’ont « pas encore atterri ». Les « anciens » sont passés par là avant lui ! Olivier, le psychologue qui anime la réunion cette semaine, lui adresse un sourire. « Tu as employé le mot « maison », c’est que la mayonnaise prend », dit-il. « C’est vrai qu’on est dans une vieille bâtisse et qu’on n’a pas l’option quatre étoiles, mais on n’y tient pas. »

 

« Les aventuriers de la bouteille »
Une maison. C’est le mot qui vient à l’esprit quand on débouche, à la sortie du village perché de Cabris, à quelques kilomètres de Grasse, sur cette ancienne auberge avec vue sur le lac de Saint-Cassien. Dans la cheminée de la salle à manger, où se tient la réunion, les braises du feu de bois sont encore chaudes. Pas de néon, mais des lampes un peu désuètes qui éclairent les tables de bois et les chaises paillées. Seule l’infirmerie, au premier étage, rappelle l’univers aseptisé des hôpitaux. Les « aventuriers de la bouteille », comme les nomme Olivier en s’adressant à eux, sont accueillis pour quatre semaines de cure. Les membres du groupe « bleu », qui ont mené ensemble leur psychothérapie, vont partir dans quelques jours. Certains ont parcouru un sacré chemin, d’autres minorent encore l’importance de leur relation à l’alcool. Assis au premier rang, chacun apporte son témoignage sur ces 25 jours de travail sur soi. « J’ai failli partir plusieurs fois, mais aujourd’hui je me sens comme un serpent qui a mué » confie Jean (1), entré au Calme après un parcours qui l’a conduit dans la rue et à l’hôpital psychiatrique. Alice, 26 ans, traine un long passé d’enfant maltraitée et de toxicomane. Cette cure est la première où elle n’a pas triché, assure-t-elle.

 "J’ai travaillé sur beaucoup de choses que je savais, mais j’ignorais que ça pouvait encore être douloureux. J’arrive à dormir et je refais des rêves agréables. La sortie me fait un peu peur."

Catherine, l’une des infirmières, suit d’un regard attentif les pensionnaires les plus nerveux.

 

Pas de blouse blanche
Les « soignants » se retrouvent ensuite pour partager leurs impressions. Ils parlent de leurs patients avec la bienveillance un peu distante de ceux qui comprennent, mais ne sont pas dupes des petits arrangements avec la réalité. Cette distance, elle est indispensable en ce lieu où psychologues, médecins et infirmiers ne portent pas de blouse, où tout le monde se tutoie et s’appelle par le prénom. L’objectif est de bâtir, avec des patients souvent accablés de honte et de culpabilité, des relations « d’égal à égal. Ce n’est pas parce qu’eux sont soignés, et que nous sommes les soignants, qu’ils sont inférieurs », souligne le psychologue Bruno Perez, qui dirige la clinique.

Mais quand on n’est plus protégé par le vouvoiement et par la blouse blanche, il y a le risque que les soignés attendent trop de proximité. C’est un énorme boulot que de rester à la bonne place, c’est l’une des raisons pour lesquelles très peu d’établissements fonctionnent comme nous.

Bruno est le « dernier dinosaure » du Calme, l’un de ceux qui ont « inventé cet endroit » il y a plus de trente ans. Dans les années 70, il est embauché près de Grasse à la clinique Les Bruyères, l’un des premiers établissements qui, en France, cherchent à soigner les alcooliques sans attitude punitive ni médicaments.

 

Si ce reportage vous intéresse vous pouvez commander le numéro 75 du journal L’âge de faire.

 

Vu sur :  http://www.lagedefaire-lejournal.fr/une-clinique-cooperative-pour-liberer-les-alcooliques/

 

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Le kudzu - remède naturel

Egalement appelé Kudzu, kuzu ou gegen (pueraria lobata)

Connu depuis des siècles au Japon, on l’utilisait déjà pour ses vertus médicinales culinaires, consommé de  façon traditionnelle, également en macrobiotique,  pour sa richesse en amidon et utilisé comme épaississant, à incorporer dans les biberons ou  bouillies, par exemple et comme liant naturel dans la préparation de sauces translucides il donne un brillant aux soupes et procure une texture soyeuse dans la préparation.

Légumineuse sauvage grimpante, elle pousse dans les montagnes et est capable de déraciner les arbres qu’elle entoure. On extrait de ses racines qui ressemblent étonnamment à la forme de l’intestin, une fécule d’un blanc éclatant, poudre très fine, avide d’eau à la cuisson, d’où son grand pouvoir d’absorbtion.

Donc c’est le traitement spécifique de l’intestin, la composition du sang étant en relation directe avec son fonctionnement.  Le kouzou régularise le transit (diarrhée, constipation). Il favorise le traitement rapide de la gastroentérite.

Ce n’est pas sa seule vertu, on peut l’employer en cas de rhume, de refroidissements, de bronchite,de stress, névralgie, maux d’estomac, il résorbe les acidités d’origine digestive (pensez à bébé !!), en début de grippe et perte d’appétit.

Il contient des bioflavonoïdes, permet de faire baisser la pression oculaire et des isoflavones qui ont un léger effet oestrogénique.

Il est préconisé lors d’arrêt de toutes dépendances : tabac, alcool, etc…, il agit sur la mélatonine, hormone de régulation des rythmes chronobiologiques et sur l’ensemble des sécrétions hormonales. Cette neuro hormone est synthétisée à partir d’un neurotransmetteur, la sérotonine impliquée dans la régulation de fonctions telles que la thermorégulation, les comportements alimentaires et sexuels, le cycle veille-sommeil, la douleur, l’anxiété. Le Kouzou calme les sensations de faim et normalise ces dysfonctionnements.

Il redonne vigueur aux personnes affaiblies.

En boutique :  Laboratoire De Bardo Kouzou

Posologie :  1 à 2 cuillères à café rases par jour, à prendre avant le repas, directement en bouche, dilué dans une boisson ou saupoudré sur les aliments.

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http://www.lanatureestparfaite.com/index.php/page/6/

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Autres articles

KUDZU

 

Nom : Kudzu

Nom scientifique : Pueraria lobata

Autres noms : Vigne kudzu

Description : Il s'agit d'une plante grimpante s'accrochant et poussant partout. Elle peut atteindre plus de 300m en un an !

Habitat et culture : On la cultive aux USA.

Parties utilisées : Racine

Constituants : Isoflavones (daidzeine, daidzine, puérarine), ...

Usages : Il permet d'arrêter le tabac, l'alcool et d'autres drogues. Les dépendances diminuent et l'utilisateur se voit réduire sa consommation. Il agirait aussi sur le système nerveux central, notamment la glande pinéale ce qui expliquerait son action calmante, anti-stress, peut être anti-dépressive comme le millepertuis. Il a également des propriétés hépato-protectrice.

Effets : hépatoprotecteur, antidipsotropique, calmant, anti-stress.

 

Le KUDZU, ou "Vigne KUDZU"

(Pueraria lobata, famille des légumineuses), est une plante originale, munie de tiges volubiles comme les sarments de la vigne, qui lui permettent de s'accrocher aux grillages, aux arbres.

On trouve sur ces tiges des nectaires qui sont des glandes productrices d'un nectar différent de celui des fleurs. Particularité de la nature ? Oui, mais ce n'est pas la seule ! Aux Etats Unis où elle a été introduite au siècle dernier, on l'appelle le "cancer végétal" ou plus sympathiquement "la vigne du mile à la minute", car un pied de kudzu peut croître de plus de 300 mètres par an, grimper sur tout ce qui se présente, arbres, poteaux, maisons, etc... et tellement bien recouvrir la surface où elle se développe qu'elle provoque la mort des autres végétaux qui lui ont servi involontairement de support.

Aux USA, après avoir été intensément cultivée pour ses magnifiques fleurs, comme plante fourragère et engrais vert (beaucoup de légumineuses enrichissent le sol en azote), pour son action anti-érosion (sa racine peut atteindre presque deux mètres de longueur), le kudzu fait aujourd'hui l'objet d'une politique d'éradication car elle menace 800.000 ha de forêts du sud des Etats Unis. Impressionnant ! Et pourtant le plus étonnant reste encore à venir : originaire de Chine et du Japon où sa racine est utilisée en cuisine comme fécule (le kudzu possède deux fois le pouvoir épaississant de l'arrow-root), elle est connue en médecine Chinoise depuis le Vle siècle avant J-C. pour de nombreuses propriétés, dont l'une qui a été l'objet de récentes recherches par les Américains : celle de favoriser la désaccoutumance aux drogues: on a confirmé que sa racine (qui contient trois flavonoïdes : puerarine, diadzéine, diadzine), consommée régulièrement en cure, entraîne une diminution de la consommation d'alcool et une dépendance à la cigarette fortement réduite. Ce qui est étonnant, c'est que parallèlement à cette (re)découverte, des chercheurs de l'Université de Chicago on mis en évidence il y a peu de temps que l'alcool et la nicotine agissent sur les mêmes récepteurs nerveux...

Mais plus loin encore, d'autres études en cours laisseraient supposer une action de cette plante sur le système nerveux central, notamment la glande pinéale, ce qui expliquerait son action calmante, anti stress, peut-être anti dépressive comme le millepertuis. Déjà on soupçonne une action bénéfique de cette plante sur le système immunitaire et un facteur favorisant les équilibres hormonaux.

Dans la désintoxication aux drogues, on conseille généralement un à deux grammes de poudre de racine par jour sous forme de gélules.

Le kudzu est un bel exemple de ce que la vie est capable : développer une forte vitalité, régénérer un sol appauvri ou brûlé, nous ravir de ses grappes de fleurs aux couleurs pourpres autant que lumineuses. Jusqu'en son intérieur elle nous étonne, car sa racine (partie médicinale) est d'une couleur blanche étonnante... Tous ces signes ne nous rappellent ils pas que Paracelse, le père de notre sacro-sainte chimie, nous avait proposé de nous soigner par la théorie des signatures ?

Les poètes humanistes connaissaient le chêne et le roseau, les thérapeutes connaissent maintenant le tabac et le kudzu...

 

La mélatonine, souvent dénommée hormone du sommeil

 

est surtout connue comme étant l'hormone centrale de régulation des rythmes chronobiologiques, et d'un certain point de vue, de pratiquement l'ensemble des sécrétions hormonales, chez l'homme, chez tous les mammifères et semble-t-il chez la plupart des espèces animales complexes. Cette neurohormone est synthétisée à partir d'un neurotransmetteur, la sérotonine, qui dérive elle-même du tryptophane, un acide aminé essentiel. Elle est sécrétée par la glande pinéale (dans lecerveau) en réponse à l'absence de lumière.

 

La mélatonine est une hormone sécrétée par la glande pinéale, c'est-à-dire l'épiphyse située au milieu du cerveau à proximité de l'hypothalamus, dérivant de la sérotonine, hormone sécrétée dans le tissu cérébral. Cette hormone, en dehors de posséder une action vasoconstrictrice (fermeture des vaisseaux) et antidiurétique (diminuant la fabrication d'urine) présente également des propriétés variables selon l'éclairage : elle est d'autant plus forte que celui-ci est faible. Le sommeil pourrait ainsi être modifié par la sécrétion de mélatonine.

 
 
Un somnifère naturel

2008 est une année sombre, au sens physique du terme. Or, expliquent les spécialistes, la lumière naturelle agit directement sur notre cerveau par l'intermédiaire de l'épiphyse ou la glande pinéale qui sécrète la mélatonine. Cette hormone est très importante car elle régule notamment le rythme biologique de l'organisme, notre horloge interne et « commande » le sommeil.

La lumière naturelle, transmise au travers de la rétine de l'œil à la glande pinéale par un système de signaux nerveux énergétiques, influence la durée et les cycles du sommeil, la sécrétion de différentes hormones, et d'une façon générale le système immunitaire.

Originaire des Etats-Unis, la racine de kudzu peut vous aider à « décrocher » de la dépendance au tabac, mais aussi à l'alcool ou autre dépendance. Mais ce n'est pas là sa seule vertu, la racine de kudzu apporte aussi de la mélatonine et des oestrogènes, calmant rapidement le système digestif, la faim et la nausée, augmente la résistance au stress et provoque le sentiment de satiété.

 

Sommeil : ouvrez les yeux sur la nature

Le sommeil :un phénomène « lumineux »

Le sommeil est un phénomène cyclique qui se déclenche à phase régulière. Il est directement lié à la variation de la lumière du jour. L’épiphyse enregistre ce cycle et chaque soir déclenche le besoin de dormir. Les recherches du Dr Reiter ont révélé que c’est la quantité et l’intensité de lumière reçue pendant la journée qui détermine la force selon laquelle ce phénomène agit. Une forte quantité de lumière le jour favorisera un meilleur déclenchement du sommeil. C’est que l’épiphyse sécrète de la mélatonine, qu’elle fabrique et stocke dans la journée, et qu’elle libère le soir en lien avec la baisse de la luminosité.

 

http://www.fibrochat.net/pages/plantes-medicinales/kudzu.html

 

 

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Kouzou (Kudzu) 

 

En bref : 

Fécule blanche d'amidon extraite d'une racine de plante sauvage, le Kouzou est très efficace pour épaissir vos sauces, compotes et gelées.

Il est aujourd'hui agréé et vendu comme complément alimentaire notamment pour le sevrage du tabac. Le kouzou, à la différence d’autres fécules, est apprécié pour son pouvoir gélifiant, son goût, sa texture et ses qualités curatives.

 

Description et origine : 

Le kouzou est une plante vivace de la famille des légumineuses originaire du Japon où elle y est cultivée pour ses racines fournissant une fécule alimentaire. Le kouzou, doté d’une excellente réputation, fait partie de la cuisine et de la pharmacopée chinoise et japonaise depuis plus de 2000 ans. La fécule obtenue à partir du kouzou est un exceptionnel gélifiant et épaississant en cuisine. Elle confère également des vertus médicinales aux préparations la contenant.

Cette légumineuse sauvage grimpante est capable de déraciner les arbres qu'elle entoure. On extrait de sa racine une fécule sous la forme d'une fine farine d'un blanc éclatant.

Les fibres dures de la tige étaient utilisées comme liens à tresser pour fabriquer des paniers mais ensuite, les feuilles et les racines ont été utilisées dans l’alimentation. Au Japon, la cuisine du kouzou est devenue tout un art. La poudre de kouzou blanche et pure est très recherchée par les fabricants de produits alimentaires de grande qualité ainsi que par les chefs de grands restaurants.


Comment est fabriquée la poudre de kouzou ?

Les techniques d’élaboration de la poudre de racine de kouzou ont probablement été héritées de la Chine pour arriver au Japon. C’est au XIIème siècle que des fermiers autour de la ville de Kyoto ont découvert comment procéder afin d’extraire la fécule de cette racine et de la séparer de ses fibres non comestibles.

Le procédé traditionnel de fabrication dure 120 jours et commence en décembre, quand la plante du kouzou a concentré toute son énergie dans le sol et que ses racines se sont « gonflées » en amidon. A l’aide d’outils peu sophistiqués, le sol est creusé pour pouvoir récolter les racines qui seront ensuite amenées jusqu’aux routes les plus proches en les portant sur le dos. Ce travail éreintant continue jusqu’à ce que les racines commencent à montrer leurs premières pousses au printemps. La méthode qui consiste à séparer la fécule des fibres de la racine de kouzou demande que la racine soit propre, puis elle est coupée et écrasée jusqu’à l’obtention d’une pâte grise. Après l’avoir compressée, celle-ci est dissoute dans de l’eau froide et filtrée plusieurs fois à travers des tamis en soie pour retirer les fibres de la plante et les tanins amers. Suivent alors les mêmes étapes : lavage, filtrage et tassement, cela jusqu’à l’obtention d’une substance d’un blanc pur et qu’une fécule semblable à de l’argile se forme.

La fécule est coupée en morceaux d’environ 15 cm puis est rangée et placée dans des caisses protégées par un film pour sécher  pendant environ 60 jours. Le séchage est un point critique. Le kouzou ne peut être séché directement au soleil ou à la chaleur dans un four ; cela affecterait la pureté de sa couleur et diminuerait son pouvoir gélifiant. Le séchoir rendrait le kouzou trop cassant et difficile à dissoudre dans l’eau. Le kouzou sèche ici de lui-même, sous des appentis de bois avec de larges fenêtres. Ces dernières sont ouvertes pour faire circuler l’air. Régulièrement, les caisses de kouzou sont déplacées afin de s’assurer que le kouzou sèche uniformément.

Si l’eau utilisée lors du filtrage n’est pas fraîche et pure, le kouzou commencera à fermenter pendant le séchage. En effet, trop d’humidité entraînera une fermentation bactérienne et anéantira le séchage du kouzou. Lorsqu’il est correctement séché, chaque bloc de kouzou doit contenir environ 16% d’humidité. Une fois sec, le kouzou est épousseté avec une brosse, effrité puis emballé. (...)

Pour lire la suite : http://celnat.fr/produits-japonais-et-macrobiotiques/extraits-naturels/1161-kouzou-kudzu-

 

 

 

 

 

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