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Depuis plusieurs années, je pratique une approche intuitive et énergétique afin d’aider ma clientèle à se réaliser et optimiser sa santé.
J’ai toujours été sensible au fait que préserver sa santé nécessite souvent un sacrifice monétaire important. Au fond de moi-même, idéaliste que je suis, je demeurais convaincu qu’il était possible de trouver des outils accessibles, simples et efficaces pouvant favoriser la santé.
Il y a plusieurs années, j’ai réalisé ce rêve lorsque j’ai découvert des draps se présentant sous la forme d’un tricot souple et ayant une composition de cuivre et de coton. Ces draps d’apparence esthétique ne laissent pas deviner les bienfaits qu’ils peuvent apporter. L’intérêt de ce drap est qu’il se compose de cuivre, métal très conducteur qui, au contact de notre peau, produit une circulation énergétique entraînant une douce relaxation. Dès ma première expérimentation, j’ai ressenti un grand bien-être qui m’a tout de suite fait comprendre que je venais de découvrir cet outil rêvé. Depuis ce temps, j’expérimente régulièrement les bienfaits qu’il m’apporte.
Plus récemment, j’ai découvert une multitude de produits ayant une composition de cuivre et leurs utilisations créent de véritables circuits énergétiques dans le corps. Il s’agit de différents formats de draps, de matelas, de semelles, de bracelets, de bandes adaptables (pour la tête, les chevilles, les poignets, la taille, le cou) ainsi que des pastilles de cuivre que l’on peut coller sur la peau.
J’ai eu l’idée de nommer l’ensemble de ces produits, des “circuits bioélectriques”, car ils produisent des circuits en créant une conductibilité électrique dans le corps.
L’effet peut d’ailleurs s’apparenter à l’acupuncture, médecine ayant pour but de rétablir l’équilibre bioélectrique du corps. Pour évaluer l’intérêt d’un tel outil sur le grand public, j’ai proposé une expérimentation de ces circuits sur ma clientèle.
Chapitre I
Qu’est-ce qu’un circuit bioélectrique ?
Le cuivre, oligoélément essentiel
Le cuivre est un des métaux les plus anciennement connus. On retrouve en Irak des objets de cuivre datant du IXe millénaire avant J-C.
Les anciens utilisaient le cuivre sous la forme de médicaments pour traiter des maux variés comme:
Le cuivre est aujourd’hui reconnu comme un élément fondamental pour l’organisme humain.
LE RÔLE DU CUIVRE
Le cuivre se trouve dans tous les tissus et c’est un oligoélément essentiel. Il stimule principalement les capacités d’autodéfense de l’organisme, en permettant l’élaboration d’anticorps, et en participant à la régulation du système immunitaire et du cortex surrénal. Il joue de plus, un rôle dans la réparation du processus inflammatoire et il contribue à la synthèse de l’hémoglobine avec le fer. La concentration normale de cuivre dans un organisme humain est évaluée à environ 100 milligrammes, dont un tiers se retrouve dans les muscles, un tiers dans le foie et le cerveau et le dernier tiers réparti dans le reste du corps (os, reins, sang et autres tissus).
LES SOURCES
La dose requise pour une consommation de cuivre est de 1,5 à 3 milligrammes par jour pour un adulte. Les sources alimentaires du cuivre, par ordre décroissant sont : les viandes d’organes comme le foie de veau, les fruits de mer (plus spécialement les huîtres), les noix, les graines, les grains entiers et les légumes.
LES CARENCES
Le manque de cuivre est rare. On le retrouve chez des enfants mal nourris ayant un manque de protéines et une déficience de fer (anémie) entraînant de sérieux troubles de croissance et de métabolisme. Les dangers d’une intoxication au cuivre sont également très rares. Elles sont le plus souvent produites par les tuyaux de cuivre de la robinetterie et les casseroles en cuivre. Il s’ensuit une eau trop chargée en cuivre et des aliments ayant un apport de cuivre trop important. La supplémentation trop importante de cuivre et la consommation importante de cigarettes (une cigarette contient environ 0,19 mg de cuivre) sont d’autres causes d’intoxication au cuivre.
VALEUR THÉRAPEUTIQUE DU CUIVRE
La prise interne du cuivre est reconnue par la médecine classique pour traiter les troubles inflammatoires comme l’arthrite, la sciatique, l’arthrite rhumatoïde, etc. Sous la forme d’oligoéléments, le cuivre est un excellent anti-infectieux et antiviral. Il est également précieux sous sa forme homéopathique pour traiter:
Le cuivre est également reconnu pour équilibrer les émotions et favoriser l’alignement entre la nature mentale et spirituelle. Les bienfaits thérapeutiques de la prise interne d’aliments et de remèdes se composant de cuivre sont donc reconnus par plusieurs approches thérapeutiques.
Le but de ce livre est de vous démontrer que le simple contact avec le cuivre peut également être bénéfique pour l’organisme. En effet, le cuivre est un métal conducteur qui favorise la circulation de l’énergie dans le corps.
Le fonctionnement des circuits
Les bienfaits thérapeutiques de porter sur soi du cuivre sont reconnus depuis très longtemps. Selon Georges Faure, 6 000 ans avant J. C., les prêtres chaldéens faisaient porter aux malades des plaques métalliques. Dans de nombreux pays, les métaux étant utilisés sous diverses formes (petits miroirs, colliers, bracelets…) pour protéger des maladies et éloigner les mauvaises influences. Vers le XVIe siècle, Paracelse, reconnu comme le père de la métallothérapie, attribuait aux métaux des propriétés particulières dans le traitement des affections les plus diverses. Au début du XXesiècle, une croyance populaire reposant résolument sur l’expérimentation attribua des vertus thérapeutiques aux fils de cuivre. Il était en effet reconnu que les fils de cuivre portés comme un bracelet au poignet pouvaient traiter l’arthrite et les crises rhumatismales. Il fallut cependant attendre vers les années 1925 pour que des scientifiques commencent à s’intéresser aux bienfaits que le cuivre procure et qu’ils proposent une explication.
LES CIRCUITS FONT OSCILLER LES CELLULES DU CORPS
En 1925, l’ingénieur russe George Lakhovsky … explique que les cellules vivantes possèdent des systèmes de résonateurs (circuits oscillants) capables d’émettre et de capter des informations selon les mêmes principes qu’un système d’émetteur et récepteur de radiodiffusion. Un organisme vivant est ainsi en liaison permanente avec l’environnement. Mais chose capitale, nous explique Lakhovsky, lorsqu’un organe devient malade, il n’émet plus les mêmes fréquences que l’organe sain. Le “langage” cellulaire n’est plus perceptible par les autres cellules […] Les cellules perdent alors leur coordination et la maladie lésionnelle survient1. George Lakhovsky croit que la vibration du circuit oscillant de la cellule est entretenue par l’énergie rayonnante des ondes électromagnétiques telluriques et surtout cosmiques. Lakhovsky, désireux de vérifier ses théories, se pencha sur le fait qu’une cellule malade est une cellule ne recevant pas assez d’énergie et qu’il était possible de la guérir en augmentant sa réceptivité. Selon lui, une spire circulaire telle qu’un bracelet de cuivre pourrait canaliser de l’énergie et régulariser le champ oscillatoire d’un être humain. Lorsqu’un être humain est suractivé, le bracelet pourrait décharger les énergies accumulées par sursaturation. Il pourrait également capter les énergies comme une antenne lorsque l’organisme est en manque d’énergie. Ainsi donc, un bracelet de cuivre ouvert à ses extrémités agirait selon le besoin de l’organisme pour équilibrer ou stabiliser le champ oscillatoire local. Pour démontrer son hypothèse, Lakhovsky entreprit une série d’expériences dans les laboratoires de l’hôpital de la Salpêtrière. Une spire circulaire en cuivre est disposée autour des tiges de plusieurs géraniums atteints d’une tumeur cancéreuse alors que d’autres géraniums atteints sont laissés intacts. Après une quinzaine de jours, tous les géraniums sont morts à l’exception de ceux ayant bénéficié de la spire de cuivre. Les géraniums sont non seulement vivants, mais la tumeur a disparu. Lakhovsky multiplia les expériences sur des plantes, des aliments (pommes de terre, germinations, végétaux aquatiques, etc.) et des animaux (têtards, chevaux, fourmis, chiens, etc.). Il démontra que les spires de cuivre favorisaient la croissance et la guérison. Devant un tel succès, Lakhovsky pensa qu’il pourrait atteindre des résultats semblables avec les êtres humains. Il fabriqua des bracelets, des ceintures et des colliers répondant aux normes qu’il avait définies. Le port de ces outils par plusieurs personnes permit à Lakhovsky d’observer les effets suivants : en général, suractivité des phénomènes physiologiques et, plus spécialement des facultés de digestion et d’assimilation des aliments. Cette suractivité s’explique par l’augmentation de la circulation de l’énergie. Il observe également une augmentation légère mais appréciable de la chaleur interne chez ses sujets. Elle est le plus souvent expérimentée comme une expérience agréable bien qu’elle soit perçue comme très désagréable par certains sujets. Dans certains cas, le port des colliers et bracelets active des crises rhumatismales, des névralgies, des vertiges, etc. Lakhovsky conclut qu’il est déconseillé d’utiliser ces spires lors d’états inflammatoires ou crises aiguës. Les recherches de Lakhovsky permettent de conclure qu’il y a bel et bien des effets sur les êtres vivants (végétaux, animaux, humains) :
• ils favorisent la croissance et activent très fortement la germination ;
• ils accélèrent la cicatrisation et la reconstitution des tissus ;
• ils semblent mobiliser les énergies de défense, les processus réactionnels en créant en outre des fièvres favorisant la guérison
• ils peuvent servir de protection antiondes nocives et sont efficaces, dans une certaine mesure, contre les effets de la radioactivité croissante de l’atmosphère
• ils calment de nombreuses douleurs
LES CIRCUITS RÉGULARISENT L’ÉNERGIE DU CORPS
Léon Eeman, pilote de guerre durant les années 1920 et victime d’un grave accident, songea à l’imposition des mains pour améliorer sa santé et celles des autres. Puis il eut l’idée de développer des circuits conçus à partir de plusieurs petits rectangles de cuivre tissés pour régulariser l’énergie dans le corps, d’une façon similaire à l’imposition des mains. Devant le succès de ces circuits, Eeman passa le reste de sa vie à soigner des malades à l’aide de ceux-ci (jusqu’en 1958). Sa technique consiste à utiliser des petites trames de cuivre situées d’une façon précise sur le corps, connectées par un fil de cuivre à des cylindres de cuivre que l’on tient dans nos mains afin de produire une circulation énergétique dans tout le corps et soulager les personnes malades (voir photo p. 16).
Eeman observe que les personnes qui utilisent ses circuits ressentent :
Eeman développa plusieurs applications fort intéressantes des produits de cuivre. Je reviendrai sur ces travaux à plusieurs reprises dans ce livre.
LES CIRCUITS PRODUISENT UN MOUVEMENT ÉNERGÉTIQUE PRÉCIS
Les travaux de Lakhovsky et de Eeman mettent en évidence les fonctions thérapeutiques du port du cuivre sur soi. J’aimerais maintenant vous présenter ma compréhension de l’effet thérapeutique du cuivre. Le cuivre est un bon conducteur d’électricité et il peut engendrer un courant électrique lorsqu’il se trouve soumis à un champ électrique. Le port des produits de cuivre créés par Lakhovsky et Eeman augmente donc la conductivité dans des régions très précises du corps et c’est ce qui explique les bienfaits qui y sont associés. Par exemple, les bracelets auront des effets bénéfiques sur le cœur, les bras, les poumons et la circulation cérébrale. Le collier sera particulièrement bénéfique pour stimuler la glande thyroïde et fortifier l’énergie cérébrale. La ceinture procure une douce impression de chaleur qui aura pour effet de stimuler la vitalité et de fortifier la digestion. Chacun de ces produits a un effet tonique et ils créent une circulation énergétique dans le haut du corps. Ceci explique selon moi les symptômes de chaleur désagréable ainsi que l’aggravation d’états inflammatoires et de crises aiguës observées par Lakhovsky. L’utilisation de bracelet, collier et ceinture favorise une trop importante concentration d’énergie dans le haut du corps. Une personne ayant déjà tendance à concentrer trop d’énergie dans le haut de son corps peut ainsi aggraver des symptômes déjà présents en portant du cuivre à ses poignets, à son cou et/ou à sa taille. Pour éviter ce type de déséquilibre, il est nécessaire de régulariser l’énergie en renforçant la circulation énergétique dans le bas du corps. Il sera également judicieux d’éviter de porter du cuivre dans le haut du corps. Nous verrons un peu plus tard qu’il existe aujourd’hui des produits de cuivre pouvant renforcer le bas du corps. Il s’agit de semelles de cuivre que l’on portera dans ses chaussures, des bandes de cuivre que l’on portera aux chevilles. Ces outils seront utilisés plus spécialement pour améliorer la digestion, la circulation dans les organes génitaux et fortifier les jambes. Chez une personne ayant une énergie qui monte trop facilement vers le haut du corps, les semelles et les bandes pour les chevilles permettront d’éviter des réactions trop importantes (crises inflammatoires, chaleur qui monte à la tête, vertiges, etc.). Dans le cas où l’énergie aurait trop tendance à descendre, il sera conseillé de porter du cuivre dans le haut du corps (il existe aujourd’hui des produits variés pour faire monter l’énergie comme des bracelets, des bandes adaptables pour la taille, les poignets, le cou et la tête). Pour rétablir l’équilibre bioélectrique de l’organisme, il est donc nécessaire de créer des circuits ayant le but de répartir adéquatement les flux d’énergie. Pour y parvenir, il faut tenir compte des mouvements énergétiques ascendant et descendant, sujet que nous approfondirons plus loin dans ce livre.
On peut d’ailleurs comparer la fonction des circuits bioélectriques aux aiguilles utilisées en acupuncture. Les circuits de cuivre régularisent la circulation énergétique de l’organisme en répartissant plus adéquatement les flux d’énergie comme le font les aiguilles sur les méridiens d’acupuncture. Vous serez agréablement surpris de constater que l’énergie circule à nouveau dans des régions de votre corps que vous aviez oubliées. Vous redevenez vivant et ressentez un sentiment de bien-être, d’équilibre, de régénération. Une meilleure répartition de l’énergie dans le corps favorise un sentiment de mieux-être, une plus grande vitalité, une meilleure santé, etc. Cet équilibre est objectivé par la relaxation nerveuse qui en résulte.
On peut donc expliquer cet équilibre des flux d’énergie en émettant l’idée que les circuits ont une action thérapeutique sur les méridiens d’énergie ainsi que sur le système nerveux. Les circuits bioélectriques bien utilisés peuvent donc véritablement rétablir la circulation de l’énergie dans le corps de façon similaire à l’acupuncture. J’approfondirai un peu plus tard la façon d’utiliser les circuits pour équilibrer l’énergie vitale. Les produits bioélectriques Plusieurs compagnies dans le monde se sont inspirées des travaux de Lakhovsky et Eeman pour développer des produits de cuivre afin de favoriser le mieux-être. J’ai testé tous les produits existants et j’ai constaté que la puissance de ces produits est étroitement associée : • au pourcentage de cuivre dont le produit se compose. J’ai en effet remarqué que plus le pourcentage de cuivre est élevé, plus le circuit est efficace ; • à la superficie de cuivre, qui est en contact avec la peau. J’ai constaté que le circuit est plus efficace lorsqu’il enveloppe en totalité la région sur laquelle il se trouve. Le cuivre ayant un contact plus important avec la peau produit une circulation plus importante dans la région donnée ; • à la durée de contact avec le produit de cuivre. J’ai observé que les circuits que l’on peut porter pendant une longue période de temps, équilibrent plus en profondeur l’énergie qu’un circuit que l’on utilise, par exemple, durant une période de 30 minutes par jour ; • au fil de connexion permettant au circuit d’être relié à la prise de terre. Il faut ici comprendre que les circuits sont d’abord et avant tout tonifiants. Par exemple, une personne qui dort sur un drap de cuivre non connecté à la prise de terre pourrait avoir un sommeil agité car le cuivre stimulera son énergie. Alors que le drap de cuivre connecté à la prise de terre va au contraire favoriser le sommeil. Il faut savoir ici que l’organisme se charge positivement (acidité) à mesure qu’il effectue des efforts. Lorsque l’organisme a de la difficulté à (...)
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Remettre ce texte d'aplomb en le comparant
au texte du PDF que j'ai COPIE COLLE !!!
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Notes
1. Cf. J.-M. Danze, Le Système MORA, Éd. Encre, 1992.
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