La Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations, créée le 8 juillet 1954,
se bat depuis cette date pour obtenir la liberté vaccinale pour tous.
La France est un des seuls pays d'Europe à avoir
encore des obligations vaccinales.
CF aussi le site d'un naturopathe EXCEPTIONNEL qui lutte CONTRE les VACCINS
http://www.bienetravie.com/vous-avez-decide-de-ne-pas-faire-vacciner-votre-enfant/
On a retenu les sommes colossales dépensées pour sauver le système bancaire. Elles sont dérisoires à côté du pactole que se partagent les 4 grands cartels mondiaux : chimie, biotechnologie, agro-alimentaire et médico-pharmaceutique. Les consortiums de l'agro-alimentaire ont réussi à faire disparaître toute l'agriculture vivrière, tout l'artisanat des métiers de bouches, toutes les particularités gastronomiques régionales, tout ce que les consommateurs pouvaient mettre dans leurs assiettes sans passer à leur caisse, avec la complicité des cartels de la distribution.
Comment l'énorme comédie des normes alimentaires a-t-elle transformé notre nourriture en poison ? A qui sert réellement le codex Alimentarius ? Et pour qui tourne réellement l'OMC ? Depuis des
décennies les grands groupes pharmaceutiques sont les financiers des plus grandes écoles et des formations de médecins, ils occupent en sous-mains les commissions sanitaires des pays et des
instances internationales, ils sont partout, mais on ne les voit nulle part, comment opèrent-ils ?
Comment étouffent-ils les scandales sanitaires ? De la naissance à la mort, chaque individu est une mine d'or pour eux, les pandémies des périodes fastueuses ! Et la "vraie-fausse" pandémie de
grippe A en est un exemple de plus.
Pour comprendre les interconnections de ces systèmes mafieux il fallait dresser leurs portraits et pratiques dans un même ouvrage. C'est désormais chose faite : après des mois d'enquête, Claire Séverac nous démontre, dans ce réquisitoire implacable, pourquoi et comment notre santé est en danger.
Les vaccins... La face cachée des vaccins... |
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Sommaire :
Fabrication et contaminants des vaccins Interview du Docteur Vercoutère Gestes si vous ne pouvez éviter un vaccin |
Fabrication et contaminants des vaccins :
J'ai trouvé un témoignage sur internet publié à plusieurs endroits, et qui me paraît suffisamment intéressant pour vous le proposer. Bien entendu, c'est à chacun d'accepter ou de rejeter ce qui suit, et je ne peux en aucun cas vous affirmer l'authenticité de cet article, même si ce dernier me paraît honnête.
Pour mon avis personnel, chacun devrait avoir la liberté de choisir ou non de se faire vacciné. Mais la question qui se pose est la suivante : sommes-nous vraiment libres de choisir, ou influencés pour ensuite croire que l'on a fait un choix ? |
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Pour revenir à ce qui suit, il s'agit d'un chercheur en vaccinologie qui a vu son collègue perdre son enfant, à la suite d'une vaccination. Suite aux recherches approfondies de ce chercheur, le doute s'est peu à peu insinué dans son esprit, jusqu'à devenir pour ce dernier une évidence sur la réalité de ce que sont réellement les vaccins.
Voici donc l'interview entre Jon Rappoport et le Dr Mark R. (aujourd'hui à la retraite), issu du magazine Nexus, et traduit par Christèle Guinot :
Jon Rappoport : Combien de temps avez-vous travaillé sur les vaccins ?
Dr Mark R. : Longtemps. Plus de dix ans.
JR : Vous étiez jadis convaincu que les vaccins étaient le signe d´une
bonne médecine.
Dr Mark R. : Oui, c´est vrai. J´ai contribué à l´élaboration de quelques vaccins. Je ne vous dirai
pas lesquels.
JR : Pourquoi ?
Dr Mark R. : Je veux préserver ma vie privée.
JR : Vous pensez donc que vous pourriez avoir des problèmes si vous vous
montriez au grand jour ?
Dr Mark R. : Je pense que je pourrais perdre ma retraite.
JR : Pour quelles raisons ?
Dr Mark R. : Les raisons importent peu. Ces gens ont les moyens de vous attirer des ennuis, quand vous avez jadis été « membre du
Club ». Je connais une ou deux personnes qui ont été placées sous surveillance,
qui ont été harcelées.
JR : Harcelées par qui ?
Dr Mark R. : Le FBI.
JR : Vraiment ?
Dr Mark R. : Bien sûr.. Le FBI utilisait d´autres prétextes. Et le fisc peut débarquer, lui
aussi.
JR : Vive la liberté d´expression.
Dr Mark R. : Je faisais « partie du petit cercle fermé ». Si maintenant je me mettais à citer des noms et à porter
des accusations contre tel ou tel chercheur, je risquerais d´avoir des ennuis.
JR : Croyez-vous que les gens devraient avoir le droit de choisir de se faire vacciner ou pas ?
Dr Mark R. : Sur un plan politique, oui. Sur un plan scientifique, les gens ont besoin d´être informés de façon à
pouvoir faire le bon choix. C'est une chose de dire qu'il est bon de laisser le
choix. Mais si tout n'est que mensonge, comment choisir ? D´autre part, si la FDA était dirigée par des gens honorables, ces vaccins ne seraient jamais autorisés. Ils seraient étudiés jusque dans
leurs moindres détails.
JR : Il y a des historiens médicaux qui affirment que le déclin global des maladies n´est pas dû aux vaccins.
Dr Mark R. : Je sais. Pendant longtemps je n´ai pas tenu compte de leur travail.
JR : Pourquoi ?
Dr Mark R. : Parce que j´avais peur de ce que j´allais découvrir. Ma tâche consistait à mettre au point des vaccins.
Mon gagne-pain dépendait de la poursuite de ce travail.
JR : Et ensuite ?
Dr Mark R. : J´ai mené ma propre enquête.
JR : Quelles conclusions en avez-vous tirées ?
Dr Mark R. : Le déclin de la maladie s´explique par l´amélioration des conditions de vie.
JR : Quelles conditions ?
Dr Mark R. : De l´eau plus propre. Des systèmes d´égout élaborés. La nutrition. Des aliments plus frais. Une baisse
de la pauvreté. Il y a beau y avoir des germes partout, quand on est en bonne santé on ne contracte pas les maladies aussi facilement.
JR : Qu´avez-vous ressenti au terme de votre enquête ?
Dr Mark R. : Du désespoir. J´ai pris conscience que je travaillais dans un secteur basé sur un tissu de
mensonges.
JR : Y a-t-il des vaccins plus dangereux que d´autres ?
Dr Mark R. : Oui. Le DTC (diphtérie-tétanos-coqueluche), par exemple. Le ROR (rougeole, oreillons, rubéole). Mais
certains lots sont plus dangereux que d´autres. En ce qui me concerne, je pense que tous les vaccins sont dangereux.
JR : Pourquoi ?
Dr Mark R. : Pour plusieurs raisons. Ils entraînent le système immunitaire humain dans un processus qui a tendance à
affaiblir l´immunité. Ils peuvent véritablement provoquer la maladie qu´ils sont censés prévenir.
JR : Pourquoi citons-nous des statistiques qui semblent prouver que les vaccins ont brillamment réussi à éradiquer des maladies ?
Dr Mark R. : Pourquoi ? Pour donner l´illusion que ces vaccins sont utiles. Si un vaccin supprime les symptômes
visibles d´une maladie telle que la rougeole, tout le monde s´imagine que ce vaccin est une réussite. Mais, sournoisement, le vaccin peut porter atteinte au système immunitaire lui-même. Et s´il
provoque d´autres maladies, par exemple, une méningite, ce fait est dissimulé, parce que personne ne croit le vaccin capable d´une telle chose. Le lien passe inaperçu.
JR : On dit que le vaccin contre la variole a éradiqué la maladie en Angleterre.
Dr Mark R. : Oui. Mais lorsque vous étudiez les statistiques disponibles, les choses apparaissent sous un jour
différent.
JR : C´est-à-dire ?
Dr Mark R. : Il y avait des villes d´Angleterre où des gens non vaccinés n´attrapaient pas la variole. Il y avait des
endroits où des gens vaccinés connaissaient une épidémie de variole. Et la variole était déjà en voie de disparition avant que le vaccin ne soit introduit.
JR : Vous êtes donc en train de dire que l´on nous a raconté des histoires.
Dr Mark R. : Oui. C´est exactement ce que je suis en train de dire. C´est une histoire montée de toutes pièces pour
convaincre les gens que les vaccins sont invariablement efficaces et inoffensifs.
JR : Bon, vous avez travaillé dans des laboratoires où la pureté est un aspect dont il faut tenir compte.
Dr Mark R. : Le public pense que ces laboratoires, ces unités de production, sont les endroits les plus propres du
monde. C´est faux. La contamination est omniprésente. Vous avez toutes sortes de débris qui s´introduisent dans les vaccins.
JR : Par exemple, le virus simiesque SV4O se glisse dans le vaccin antipoliomyélitique.
Dr Mark R. : Eh bien oui, cela est arrivé. Mais ce n´est pas de cela que je veux parler. Le SV4O s´est introduit dans
le vaccin antipoliomyélitique parce que ce vaccin a été fabriqué à partir de reins de singes. Mais je veux parler d´autre chose. Des réelles conditions de travail en laboratoire. Des erreurs. Des
erreurs dues à un manque d´attention. Le SV40, que l´on a plus tard trouvé dans
des tumeurs cancéreuses... était ce que j´appellerais un problème structurel. C´était un élément reconnu du processus de fabrication. Si vous utilisez des reins de singes, vous ouvrez la porte à
des germes dont vous ignorez la présence dans ces reins.
JR : D´accord, mais laissons provisoirement de côté cette distinction entre les différents types de contaminants. Quels contaminants avez-vous découverts au
cours de vos longues années d´activité au sein de l´industrie des vaccins ?
Dr Mark R. : Je vais vous donner quelques exemples de ce que j´ai trouvé, et aussi de ce que certains de mes
collègues ont découvert. En voici une liste partielle.
Dans le vaccin
contre la rougeole Rimavex, nous avons trouvé divers virus aviaires. Dans le vaccin antipoliomyélitique, nous avons trouvé l´acanthamoeba, qui est une amibe dite « dévoreuse de
cerveau ». Le cytomégalovirus simiesque dans le vaccin antipoliomyélitique. Le
virus spumeux simien dans le vaccin antirotavirus. Des virus de cancers aviaires dans le vaccin ROR. Divers micro organismes dans le vaccin contre l´anthrax. J´ai trouvé des inhibiteurs
enzymatiques potentiellement dangereux dans plusieurs vaccins. Des virus de canard, de chien et de lapin dans le vaccin contre la rubéole. Le virus de la leucose aviaire dans le vaccin contre la
grippe. Un pestivirus dans le vaccin ROR.
JR : Entendons-nous bien sur ce point. Il s´agit là de contaminants n´entrant pas dans la composition des vaccins.
Dr Mark R. : Exact. Et si vous essayez de chiffrer les préjudices que ces contaminants peuvent causer, eh bien, c´est
difficile de le savoir parce qu´aucun essai n´a été réalisé, ou alors très peu. C´est la roulette russe. Vous prenez le risque. Par ailleurs, la plupart des gens ignorent que certains vaccins
antipoliomyélitiques, certains vaccins d´adénovirus et certains vaccins contre la rubéole, l´hépatite A et la rougeole ont été fabriqués à partir de tissu de foetus humain avorté. Il m´est arrivé
de découvrir ce que je croyais être des fragments bactériens ainsi que le virus de la polio dans ces vaccins, qui pouvaient très bien provenir de ce tissu foetal. Lorsque vous recherchez des
contaminants dans les vaccins, vous pouvez tomber sur des choses qui sont étonnantes. Vous savez qu´elles ne devraient pas se trouver là, mais vous ne savez pas exactement de quoi il s´agit. J´ai
trouvé ce que j´ai cru être un tout petit « fragment » de cheveu humain et aussi du mucus humain. J´ai découvert ce qui ne peut être appelé autrement que «protéine étrangère», ce qui pourrait
vouloir dire à peu près tout et n´importe quoi. Il pourrait s´agir d´une protéine d´origine virale.
JR : Comment vos découvertes
ont-elles été accueillies ?
Dr Mark R. : En gros, on m´a dit « Ne t´en fais pas ; c´est inévitable ». Dans la fabrication des vaccins, on utilise
divers tissus animaux, et c´est là que ce genre de contamination intervient. Bien entendu, je ne parle même pas des produits chimiques classiques tels que le formaldéhyde, le mercure et
l´aluminium qui sont délibérément introduits dans les vaccins à titre de conservateurs.
JR : Ces informations sont pour le moins atterrantes.
Dr Mark R. : Oui. Et je ne parle là que de certains contaminants biologiques. Qui sait combien, encore, peuvent être
décelés ? Les autres, nous ne les trouvons pas parce qu´il ne nous vient pas à l´idée de les chercher. Si l´on utilise du tissu, disons d´oiseau, pour fabriquer un vaccin, combien de germes
potentiels peut-il y avoir dans ce tissu ? Nous n´en avons aucune idée. Nous n´avons pas la moindre idée de leur nature, ni des effets qu´ils pourraient avoir sur l´homme. Faux postulats sur leur
innocuité.
JR : Et au-delà de la question de la pureté ?
Dr Mark R. : Là, nous retombons sur cette idée erronée que se font les gens à propos des vaccins : à savoir qu´ils
stimulent de façon complexe le système immunitaire afin de créer les conditions d´immunisation contre la maladie. C'est là que nous faisons erreur. Ça ne marche pas comme ça. Un vaccin est
supposé « créer » des anticorps qui, indirectement, offrent une protection contre la maladie. Toutefois , le système immunitaire est bien plus vaste et va bien au-delà des anticorps et de leurs
cellules « tueuses » respectives.
JR : Le système immunitaire,c´est quoi au juste...?
Dr Mark R. : C´est vraiment le corps tout entier. Plus l´esprit. On pourrait dire que tout cela forme le système
immunitaire. C´est pour ça, qu´au beau milieu d´une épidémie, on peut trouver des personnes qui restent en bonne santé.
JR : L´état de santé général est donc important.
Dr Mark R. : Plus qu´important. Vital.
JR : Comment s´arrange-t-on pour nous présenter les statistiques des vaccins de façon trompeuse ?
Dr Mark R. : Il y a de nombreuses façons de procéder. Par exemple,supposez que 25 personnes ayant été vaccinées contre l´hépatite B contractent l´hépatite. Eh bien, l´hépatite B est une maladie du foie. Mais bien des choses peuvent être appelées "maladie du foie". On peut modifier le diagnostic. On a alors dissimulé la cause profonde du problème.
JR : Et ça arrive ?
Dr Mark R. : Tout le temps. Il faut que ça arrive, si les médecins partent automatiquement du principe que les
personnes vaccinées ne contractent jamais la maladie contre laquelle elles sont désormais censées être protégées. Et c´est exactement de ce principe que partent les médecins. Vous savez, c´est un
raisonnement circulaire. C´est un circuit fermé. Il n´admet pas d´erreur. Pas d´erreur possible. Si une personne qui a été vaccinée contre l´hépatite contracte l´hépatite ou quelque autre
maladie, on exclut automatiquement tout lien avec le vaccin.
JR : Durant vos années de travail dans l´industrie des vaccins,combien de médecins de votre entourage ont admis que les vaccins posaient problème
?
Dr Mark R. : Aucun. Il y avait quelques chercheurs travaillant dans des compagnies pharmaceutiques, qui en privé, remettaient en question ce qu´ils faisaient. Mais ils n´auraient jamais fait de révélations, pas même au sein de leur compagnie. Pas de doutes, pas d´enquête.
JR : Quel a été le tournant décisif pour vous ?
Dr Mark R. : J´avais un ami dont l´enfant est mort après une injection du vaccin DTC.
JR : Avez-vous mené l´enquête ?
Dr Mark R. : Oui, de façon informelle. J´ai découvert que cet enfant se portait à merveille avant la vaccination.
Rien ne pouvait expliquer son décès, si ce n´est le vaccin. C´est là que j´ai commencé à avoir des doutes. Bien entendu, je voulais croire que l´enfant avait reçu un mauvais vaccin provenant d´un
mauvais lot. Mais en examinant les choses plus en détail, j´ai découvert que ce n´était pas le cas dans cet exemple précis. J´étais aspiré dans une spirale de doutes qui ne faisaient que grandir au fil du temps. J´ai poursuivi mon enquête.
J´ai découvert que, contrairement à ce que je pensais, les vaccins n´étaient pas testés de façon scientifique.
JR : Que voulez-vous dire ?
Dr Mark R. : Par exemple, on ne réalise jamais d´étude à long terme sur un vaccin à l´aide d´un groupe témoin. Ce que
je veux dire, c´est qu´il n´y a pas de suivi correct et approfondi, prenant en compte le fait que les vaccins peuvent provoquer, avec le temps, divers symptômes et de graves problèmes sortant du
cadre de la maladie contre laquelle la personne a été vaccinée. Une fois encore, on part du principe que les vaccins ne peuvent pas entraîner de problèmes. Alors pourquoi se donner la peine de le
vérifier ? En outre, ce que l´on appelle "réaction au vaccin" est bien défini, de sorte que toutes les réactions indésirables sont censées survenir très vite après l´injection du vaccin.
Mais cela n´a aucun sens.
JR : Pourquoi cela n´a-t-il aucun sens ?
Dr Mark R. : Parce que le vaccin continue de toute évidence à agir dans le corps pendant une longue période après
l´injection. Une réaction peut être progressive. La détérioration peut être graduelle. Des problèmes neurologiques peuvent apparaître au fil du temps. C´est d´ailleurs ce qui se passe, selon les
dires mêmes d´une analyse traditionnelle. Alors pourquoi cela ne pourrait-il pas être le cas avec les vaccins ? Si un empoisonnement chimique peut survenir de façon progressive, pourquoi ça ne
pourrait pas être le cas d´un vaccin qui contient du mercure ?
JR : Et c´est ce que vous avez découvert ?
Dr Mark R. : Oui. On trouve des liens la plupart du temps. Ces liens ne sont pas parfaits. Mais si vous avez cinq cents parents dont les enfants présentent des lésions neurologiques dans
l´année qui suit une vaccination, cela devrait suffire à déclencher une enquête intensive.
JR : Cela a-t-il suffi ?
Dr Mark R. : Non. Jamais. Cela est très révélateur.
JR : C´est-à-dire ?
Dr Mark R. : Les personnes qui mènent l´enquête ne cherchent pas vraiment à examiner les faits. Elles partent du
principe que les vaccins sont inoffensifs. Par conséquent, lorsqu´elles daignent enquêter, elles mettent invariablement les vaccins hors de cause. Elles déclarent, « Ce vaccin est sans danger ».
Mais sur quoi basent-elles leur jugement ? Sur des définitions et des idées qui lavent automatiquement le vaccin de tout soupçon.
JR : Il y a de nombreux cas où une campagne de vaccination a échoué, où les gens ont contracté la maladie contre laquelle ils ont été
vaccinés.
Dr Mark R. : Oui, il y a beaucoup d´exemples de ce genre. Et là on fait tout simplement abstraction des preuves. On
n´en tient pas compte. Les spécialistes disent, et encore quand ils daignent s´exprimer, qu´il s´agit de cas isolés mais que globalement le vaccin s´est avéré sans danger. Mais si vous
additionnez toutes les campagnes de vaccination où il y a eu des préjudices et des maladies, vous vous rendez compte qu´il ne s´agit pas de cas isolés.
JR : Avez-vous déjà abordé le sujet dont nous parlons avec des collègues lorsque vous étiez encore en activité dans l´industrie des vaccins ? Comment
ont-ils réagi ?
Dr Mark R. : Plusieurs fois, on m´a dit de me tenir tranquille. On m´a clairement fait comprendre que je ferais mieux
de me remettre au travail et d´oublier mes états d´âme. Il m´est arrivé de susciter des réactions de peur. Certains collègues cherchaient à m´éviter. Ils redoutaient d´être déclarés «
coupables par association ». Dans l´ensemble, cependant, je me suis tenu à carreaux. J´ai veillé à ne pas m´attirer de problèmes.
JR : Si les vaccins sont nocifs, pourquoi les administre-t- on ?
Dr Mark R. : Tout d´abord, il n´y a pas de « si ». Ils sont nocifs. Ce qui est plus difficile, c´est de savoir s´ils
font du mal aux personnes qui ne semblent pas en pâtir. Ensuite, on en arrive au genre de recherches que l´on devrait faire, mais que l´on ne fait pas. Les chercheurs devraient s´efforcer de
découvrir une sorte de carte, ou d´organigramme, montrant exactement ce que les vaccins font dans le corps à partir du moment où ils y pénètrent. Ces recherches n´ont pas été menées. Quant à la
raison pour laquelle on administre les vaccins, nous pourrions passer deux jours entiers rien qu´à énumérer toutes ces raisons. Comme vous l´avez souvent dit, à différents niveaux du système,
chacun a une bonne raison : l´argent, la peur de perdre son travail, le désir de gagner des bons points, le prestige, les récompenses, la promotion, un idéalisme mal inspiré, un certain
automatisme, etc.
JR : Le battage entourant le vaccin de l´hépatite B semble un bon filon.
Dr Mark R. : Je le pense, en effet. Affirmer que les bébés doivent se faire vacciner et puis, l´instant d´après,
admettre qu´une personne contracte l´hépatite B en ayant des relations sexuelles et en partageant des seringues est une juxtaposition ridicule. Les autorités médicales essaient de se couvrir en
disant qu´aux États-Unis environ 20.000 enfants contractent chaque année l´hépatite B par des « voies inconnues », c´est pourquoi tous les bébés doivent se faire vacciner. Je conteste ce chiffre
de 20.000 et les prétendues études qui l´étayent.
JR : Andrew Wakefield, le médecin britannique qui a divulgué le lien entre le vaccin ROR et l´autisme, vient de se faire licencier de l´hôpital londonien où
il travaillait.
Dr Mark R. : Oui. Wakefield a fait un sacré bon boulot. Les liens qu´il a établis entre le vaccin et l´autisme sont
stupéfiants...
JR : Je sais qu´à Hollywood, si une célébrité affirme publiquement qu´elle ne veut pas d´un vaccin, elle fiche sa carrière en l´air.
Dr Mark R. : Hollywood est très étroitement lié au cartel médical. Il y a plusieurs raisons à cela, mais l´une
d´entre elles est simplement que, dès qu´un acteur est célèbre, la moindre de ses déclarations peut avoir un énorme retentissement médiatique. En 1992, j´ai assisté à votre manifestation contre
la FDA au centre ville de Los Angeles. Un ou deux acteurs se sont élevés contre la FDA. Depuis , rares sont les acteurs qui ont osé critiquer d´une façon ou d´une autre le cartel
médical.
JR : Au sein des National Institutes of Health, quelle humeur règne-t-il, quel est l´état d´esprit général ?
Dr Mark R. : Les gens se battent pour obtenir des subventions de recherche. Remettre en question le statu quo est
bien la dernière chose qui leur viendrait à l´esprit. Ils se livrent déjà à une guérilla interne pour cet argent. Ils n´ont pas besoin de problèmes supplémentaires. C´est un système très isolé.
Il repose sur l´idée que, somme toute, la médecine moderne est une formidable réussite sur tous les fronts. Admettre l´existence de problèmes systémiques dans un domaine ou un autre revient à
jeter le doute sur l´entreprise toute entière. On pourrait alors penser que le NIH est le dernier endroit où l´on songerait à organiser des manifestations. Mais c´est exactement le contraire. Si
cinq mille personnes venaient demander des comptes sur les véritables avantages de ce système de recherche, exigeant de savoir quels réels avantages les milliards de dollars engloutis dans cet
organisme ont apporté au public en terme de santé, ce pourrait être le début de quelque chose. Cela risquerait de mettre le feu aux poudres. On pourrait avoir, si les manifestations se
multipliaient, toutes sortes de retombées. Des chercheurs, quelques-uns du moins, commenceraient peut-être à laisser filtrer des informations.
JR : Que dire du pouvoir destructeur combiné d´un certain nombre de vaccins administrés aujourd´hui aux bébés ?
Dr Mark R. : C´est une mascarade et un crime. Aucune étude approfondie n´a jamais été réalisée là-dessus. Là
encore, on part du principe que les vaccins sont sans danger et, par conséquent, que n´importe quelle association de vaccins est elle aussi sans danger. Mais la vérité, c´est que les vaccins ne
sont pas sans danger. Par conséquent, les dommages potentiels augmentent lorsque l´on administre beaucoup de vaccins sur une courte période.
JR : Ensuite, nous avons la saison de la grippe, en automne.
Dr Mark R. : Oui. Comme s´il n´y avait qu´en automne que ces germes en provenance d´Asie affluaient vers les
États-Unis ! Le public avale ça. Si ça arrive en avril, c´est un mauvais rhume. Si ça arrive en octobre, c´est la grippe.
JR : Regrettez-vous d´avoir travaillé toutes ces années dans l´industrie des vaccins ?
Dr Mark R. : Oui. Mais après cette interview, je le regretterai un peu moins. Et je travaille autrement. Je divulgue
des informations à certaines personnes lorsque je pense qu´elles en feront bon
usage. Aux fabricants de prouver l´innocuité des vaccins
JR : Quel message adressez-vous au public ?
Dr Mark R. : Que la responsabilité d´établir l´innocuité et l´efficacité des vaccins incombe à ceux qui les
fabriquent et autorisent leur usage. Tout simplement. Ce n´est ni à vous ni à moi d´en apporter la preuve. Et pour avoir des preuves, il faut des études à long terme bien conçues. Il faut un
suivi approfondi. On doit interroger les mères et prêter attention à ce qu´elles disent sur leur bébé et sur ce qui leur est arrivé après une vaccination. On a besoin de tout ça - de choses qu´on
n´a pas.
JR : Existe-t-il un moyen de comparer la fréquence relative de ces différents effets ?
Dr Mark R. : Non. Parce que le suivi est insuffisant. On ne peut que spéculer. Sur une population de cent mille
enfants qui se font vacciner contre la rougeole, si vous demandez combien attrapent la rougeole et combien développent d´autres problèmes dus au vaccin, vous n´avez pas de réponse fiable. C´est
exactement ce que je suis en train de dire. Les vaccins sont des superstitions. Et avec les superstitions, on ne dispose pas de faits exploitables. On ne recueille que des histoires, dont la
plupart ont pour but de conforter les gens dans leurs croyances. Mais, à partir
de nombreuses campagnes de vaccination, nous pouvons reconstituer un récit qui révèle des choses très inquiétantes. Des gens ont subi des préjudices. Le préjudice est réel, il peut être profond
et il peut conduire à la mort. Le préjudice ne se limite pas à quelques cas comme on a voulu nous le faire croire. Aux États-Unis, il y a des groupes de mères qui témoignent sur l´autisme et les
vaccins pour enfants. Elles se font connaître et se lèvent lors des réunions. Elles essaient ni plus ni moins de combler le vide qui a été créé par les chercheurs et les médecins qui s´en lavent
les mains.
JR : Avec du recul, pouvez-vous vous remémorer une bonne raison de dire que les vaccins sont une réussite
?
Dr Mark R. : Non, aucune. Si j´avais un enfant aujourd´hui, la dernière chose que je permettrais serait bien de le
faire vacciner. J´irais vivre dans un autre État s´il le fallait. Je changerais de nom. Je disparaîtrais avec ma famille. Je ne dis pas que je serais obligé d´en arriver là. Il y a des moyens
plus distingués de contourner le système, si l´on sait s´y prendre. Vous pouvez être dispensé, dans chaque état, pour des raisons religieuses et/ou philosophiques. Mais si les choses se
corsaient, je n´hésiterais pas à partir.
JR : Et pourtant il y a partout des enfants qui se font vacciner et semblent en bonne santé.
Dr Mark R. : C´est le mot ! Qui « semblent » ! Qu´en est-il des enfants incapables de se concentrer sur leurs études
? Qu´en est-il des enfants qui piquent régulièrement des colères ? Qu´en est-il des enfants qui ne sont pas vraiment en possession de toutes leurs facultés mentales ? Je sais que ces choses ont
diverses origines, mais les vaccins en sont une. Je ne prendrais pas le risque. Je ne vois aucune raison de prendre ce risque. Et franchement, je ne vois aucune raison de laisser le gouvernement
avoir le dernier mot. Au vu de mon expérience, l´expression "médecine étatique" est en soi contradictoire. C´est l´un ou l´autre, mais pas les deux.
JR : Les règles du jeu sont donc équitables.
Dr Mark R. : Oui. Laissez ceux qui le veulent se faire vacciner. Laissez ceux qui s´y opposent les refuser. Mais, comme je l´ai dit plus tôt, on ne peut parler de règles
équitables si les dés sont pipés. Et lorsqu´il s´agit des bébés, ce sont les parents qui prennent toutes les décisions. Ces parents ont besoin d´une bonne dose de vérité. Que dire de l´enfant
dont j´ai parlé, qui est mort du vaccin DTC ? Sur quelles informations ses parents se sont-ils basés ? Je peux vous dire qu´ils y ont longuement réfléchi. Ce n´étaient pas des informations
authentiques.
JR : Les responsables de la communication médicale, de concert avec la presse, effraient les parents à coup de scénarios catastrophes sur ce qui va arriver
si leurs enfants ne se font pas vacciner.
Dr Mark R. : Ils laissent entendre que c´est criminel de refuser le vaccin. Cela équivaut à être de mauvais parents. C´est en étant mieux informé que l´on peut combattre cela. Ce n´est jamais facile de lutter contre les autorités. Et il n´y a que vous pour décider de le faire ou pas. À chacun de choisir son camp. Le cartel médical aime ce genre de pari. Il est à peu près certain que la peur l´emportera.
Interview de Docteur Vercoutère :
Renseignez-vous également sur internet des nombreux adjuvants utilisés pour la fabrication des vaccins (détergent, formol (classé en 2004 comme cancérigène), mercure, aluminium, squalène, etc.), et de leur impact sur la santé. Demandez-vous également si le portefeuille de certains, ainsi que d'autres intérêts dans les sphères décisionnaires, ne se fait pas aux dépens de la véritable santé des citoyens. Faites-vous une idée par vous-même avec des recherches des deux côtés, afin de construire votre propre raisonnement, en toute indépendance de manipulation éventuelle.
Geste santé si vous ne pouvez échapper à une vaccination :
(source internet trouvée à plusieurs endroits)
Que faire pour neutraliser un vaccin ? (non expérimenté)
> En cas d’impossibilité totale d’échapper à un vaccin, se munir d’un tube d’argile en pâte (vendu en diététique), d’une bande de gaze et de sparadrap. |
|
> Gagner les toilettes aussitôt après l’injection et étaler abondamment l’argile à l’emplacement du vaccinavant de fixer le pansement.
> Garder au
moins deux heures. Le vaccin sera absorbé presque en totalité par l’argile.
Toutes les opérations de ce genre qui ont été effectuées sur des bébés, des chiens et des chats se sont avérées efficaces à près de 100 %, sans apparition des manifestations courantes
(température, abattement, etc.).
---------------------
> Complèter la neutralisation avec l’homéopathie :
- Thuya occidentalis 15 ch |
|
5 granules de chaque à prendre avant et après l’injection. A renouveler une fois par semaine pendant huit semaines.
---------------------
Par mesure de sécurité, il est possible, en plus, de stimuler les défenses par les différentes méthodes qui suivent, au choix ou en association :
|
> Extrait de pépin de pamplemousse : 30 gouttes dans de l’eau, 3 fois par jour pendant 2 à 3 jours. |
|
> Chlorure de magnésium : 40 ml de solution pour un adulte - 25 ml pour un enfant, trois fois par jour, le jour de la vaccination et le lendemain. Préparation 20g (1 sachet) dans 1 litre d’eau (en pharmacie). |
Des milliers de cas de narcolepsie après le vaccin H1N1 :
Le British Medical Journal (BMJ), une des plus presti-gieuses revues médicales au monde, a publié une étude prouvant une specta-culaire hausse de la narco-lepsie provoquée par le vaccin Pandemrix, très largement utilisé contre la grippe H1N1 en 2009. (1) |
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Le problème avait été signalé par les autorités finlandaises et suédoises dès le mois d’août 2010, qui avaient constaté une multiplication par 13 du risque de narcolepsie chez les enfants et les jeunes vaccinés. (2) Le Pandemrix est un produit de la société pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK).
La narcolepsie est un trouble neurologique dévastateur. Les personnes atteintes peuvent s’effondrer endormies après la moindre émotion, comme par exemple un simple éclat de rire. Peut-on imaginer pareille vie où le fait de rire devient dangereux ? Ce n’est malheureusement pas là le seul symptôme de la narcolepsie. Elle peut également provoquer des hallucinations, des paralysies, des difficultés de concentration, de l’agitation, des difficultés à s’endormir normalement, de terribles cauchemars, de la catalepsie : la personne s’écroule alors qu’elle est en train de vaquer à ses occupations quotidiennes. Les personnes atteintes ne peuvent donc plus faire aucune activité potentiellement dangereuse, y compris conduire une voiture.
Il n’existe aucun remède connu. On administre généralement aux victimes de puissants médicaments pour contrôler les symptômes. Il s’agit notamment d’amphétamines ou de médicaments apparentés comme l'Adderall. Tous ces médicaments peuvent provoquer de graves effets secondaires comme la tachycardie, de la diarrhée, de la nervosité, de la fatigue, des vomissements, de l’anxiété, des palpitations, des tremblements et des épisodes maniaques.
Le déni… puis l’aveu :
Devant cette catastrophe sanitaire, il a d’abord été expliqué que la hausse de la narcolepsie observée en Finlande et en Suède était probablement liée à des particularités locales.
D’importantes études furent néanmoins entreprises dans d’autres pays. Et de fait, une étude française coordonnée par le Dr Antoine Pariente, faisant partie d’une série d’études européennes rendues publiques le 20 septembre 2012, évoqua à son tour un risque multiplié par quatre chez les personnes vaccinées de développer une narcolepsie, et ce sur des patients français.
La nouvelle fit quelques entrefilets dans les journaux en septembre dernier, (2) mais, aujourd’hui, c’est le British Medical Journal lui-même qui tire la sonnette d’alarme. Et l’étude sur laquelle il s’appuie, réalisée sur des patients en Grande-Bretagne, fait état d’une hausse plus forte encore qu’en Finlande et en Suède, le risque étant multiplié par 14,4 !
Selon les chercheurs, les cas de narcolepsie provoqués par le Pandemrix devraient se compter par milliers.
Une étude rigoureuse :
Les chercheurs ont examiné les dossiers des enfants dont le diagnostic de narcolepsie avait été établi au cours de la période où le vaccin fut administré. Ils se sont procuré les listes des 23 centres spécialisés en narcolepsie auprès de la British Sleep Society et de la British Paediatric Neurology Association. Ils ont fixé des normes strictes pour exclure de l’étude tout enfant dont le diagnostic de narcolepsie n’avait pas été clairement établi.
Des questionnaires furent envoyés aux différents médecins traitants pour s’assurer que ces enfants avaient bien reçu le vaccin Pandemrix et à quelle date. Ces informations furent comparées aux dates d’apparition des narcolepsies. Ce que ces chercheurs ont trouvé est net :
« Cette étude montre une augmentation significative du risque de narcolepsie chez les enfants ayant, en Angleterre, reçu la souche du vaccin pandémique Pandemrix avec l’adjuvant AS03 (squalène). Notre étude a donné un quotient de probabilité de 14.4 (4.3 à 48.5) pour l’analyse primaire. Ces chiffres sont compatibles avec le risque relatif de 13 trouvé en Finlande dans une étude rétrospective (de cohorte). »
Leurs résultats indiquent que le Pandemrix a provoqué 14,4 fois plus de cas de narcolepsie que ce à quoi on aurait normalement dû s’attendre !
Une des raisons qui pourrait expliquer que l’augmentation de la narcolepsie n’a pas été notée en Angleterre est le fait que la vaccination Pandemrix chez les enfants n’avait pas été généralisée, alors qu’en Finlande où la tragédie a été rapidement signalée, la couverture vaccinale était généralisée. En Angleterre, la couverture vaccinale générale était de 27,3% ; de 43,9% dans les groupes à risques (les personnes infectées par le H1N1 étaient considérées à haut risque) et de 26,2% pour les enfants qui n’étaient pas à risque.
Des milliers de cas de narcolepsie :
Ce qui est maintenant tout à fait clair, c’est que partout dans le monde, le Pandemrix a provoqué des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants en l’espace de quelques années.
Il n’y a aujourd’hui plus moyen de nier la réalité de ces drames provoqués par un vaccin qui a été imposé aux populations dans la précipitation, après une campagne alarmiste pour une maladie qui était en fait bénigne.
Les chercheurs ont déclaré encore plus explicitement :
« Le risque accru de narcolepsie après une vaccination avec l’adjuvant ASO3 du vaccin pandémique A/H1N1 indique une association causale, conformément aux conclusions de la Finlande. »
Il n’y a donc plus moyen d’échapper à la réalité : l’adjuvant ASO3 du Pandemrix provoque la narcolepsie. La question est maintenant de savoir quelles autres maladies auto-immunes risquent d’apparaître au cours des prochaines années à la suite de ce vaccin ?
Squalène : l’adjuvant qui détruit des vies :
Les chercheurs ont également clarifié le fait que c’était l’adjuvant ASO4 utilisé dans le Pandemrix qui a provoqué la narcolepsie. Nombreuses sont les voix qui ont voulu mettre en garde contre les risques du fait que l’ingrédient actif du ASO4 est le squalène.
Même si le squalène était interdit, le problème des adjuvants dangereux resterait entier. Les chercheurs ont démontré que l’aluminium, un autre adjuvant pour les vaccins, est à l’origine d’une vaste palette d’effets indésirables comme le lupus érythémateux, la myofasciite à macrophages, l’arthrose rhumatoïde, le syndrome des antiphospholipides, ainsi que d’autres troubles gravement débilitants.
Enfin, il y a la nouvelle génération d’adjuvants transgéniques réalisée avec des bactéries qui fabriquent des particules de type antigène. Ces dernières jouant le rôle d’antigènes et d’adjuvants, comportent des risques similaires à ceux du squalène. Ce sont tous des lipides. Depuis des décennies, on sait que l'injection d’un lipide est susceptible de provoquer des maladies auto-immunes. Au cours des premières années d’expérimentation de ces types d’adjuvants, on avait pu déterminer qu’ils étaient trop dangereux pour être utilisés dans les vaccins. En fait, ces adjuvants sont utilisés dans des expérimentations animales pour provoquer des troubles auto-immuns afin de permettre la mise au point de traitements pour les maladies humaines qu’ils répliquent.
Comment est-il possible de prétendre que pareils adjuvants sont sans danger ?
Le fait est que la tragédie évoquée ici était tout à fait évitable. Les dangers de l’injection de squalène sont connus depuis des dizaines d’années. Aucune excuse n’existe pour leur utilisation dans les vaccins.
Le prix payé :
Ces enfants atteints de narcolepsie sont condamnés à une vie de handicap, en conséquence de la narcolepsie mais aussi des médicaments qui leur seront prescrits contre la narcolepsie. Quand, en outre, on réalise que la maladie contre laquelle ils étaient censés être protégés s’est avérée bénigne, on réalise que la tragédie est totalement inexcusable.
Il devient également très clair que ces enfants auront à souffrir pour le restant de leur vie, sans avoir jamais la chance de jouir pleinement de la vie et cela pour une seule et unique raison : la cupidité. Car les personnes souffrant de narcolepsie suite à l’utilisation du Pandemrix payent en fait le prix fort pour la cupidité de GSK, celle des agences gouvernementales et des médecins.
Jean-Marc Dupuis, d’après un texte de Heidi Stevenson, publié sur http://gaia-health.com/gaia-blog/2013-03-06/swine-flu-vaccine-caused-narcolepsy-in-thousands-bmj-claim/
Sources :
(1) Risk of narcolepsy in children and young people receiving AS03 adjuvanted pandemic A/H1N1 2009 influenza vaccine: retrospective analysis, BMJ; Elizabeth Miller, Nick Andrews, Lesley Stellitano, Julia Stowe, Anne Marie Winstone, John Shneerson, Christopher Verity...
(3) http://www.thl.fi/en_US/web/en/pressrelease?id=22930
La disparition des maladies infectieuses n'est pas
due aux vaccins :
Les chiffres le prouvent, les courbes le montrent: les vaccins n'ont pas éradiqué les épidémies. Bien au contraire, ils ont favorisé l'émergence de maladies d'autant plus redoutables qu'elles surviennent sur des sujets adultes au système immunitaire affaibli. |
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Il existe actuellement un rejet très net du principe vaccinal à cause des nombreux effets secondaires graves qu'il génère. Cependant, même les victimes de l'obligation vaccinale persistent à affirmer que, malgré les risques, les vaccins ont « éradiqué » les maladies infectieuses de la planète.
Or, dès que l'on se penche sur la question, on s'aperçoit qu'il n'en est rien et que certaines épidémies qui ont ravagé nos pays ont disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins semblent ignorer. Ainsi, en 1348, la peste noire fit périr la majorité de la population française, puis elle a sévi pendant des siècles à travers le monde pour s'éteindre totalement sans aucune vaccination. Le choléra a, lui aussi, semé la terreur dans notre pays pour disparaître totalement sans aucun vaccin. Si la vaccination contre ces maladies avait existé et avait été obligatoire durant ces périodes critiques, il est probable que l'on aurait attribué cette disparition aux bienfaits des vaccins. Or, il faut imputer ces régressions à d'autres facteurs. Quant à la lèpre, qui existe encore dans certains pays à l'état endémique, elle ne cause plus de ravages comme elle le fit par le passé, et les grandes épidémies ne sévissent plus, bien qu'il n'existe aucun vaccin contre cette maladie.
D'une manière générale, il suffit d'observer les courbes de déclin des maladies pour s'apercevoir que ce déclin a toujours commencé bien avant l'introduction des vaccins.
Tuberculose et BCG :
L'un des exemples les plus spectaculaires est celui du BCG. En 1812, à New York, le taux de mortalité par la tuberculose était de 700 pour 100000. En 1882, l'année où Koch découvrit son fameux bacille, il était tombé à 370. En 1904, le taux de mortalité avait encore chuté à 180 et, après la Seconde Guerre mondiale, il n'était plus que de 48 pour 100000, sans aucune vaccination, il est important de le signaler.
Et si l'on observe la courbe de mortalité en Allemagne entre 1750 et 1950, on remarque que les cas ont diminué bien avant la vaccination. Quant à la courbe de mortalité en Grande-Bretagne entre 1865 et 1964, elle permet de constater une diminution régulière et spectaculaire des cas, avec des paliers durant les deux guerres, bien avant l'introduction du vaccin en 1955.
En outre, selon le document sur la tuberculose publié par l'OMS en 2003, on note qu'en 1980, il y avait 29991 cas en Allemagne et 17199 cas en France. Or, la RFA a supprimé en 1973 l'utilisation du BCG, et la RDA en 2001; il n'y a plus que 6959 cas de tuberculose, soit 84 cas par million d'habitants en Allemagne, mais en France, malgré (ou à cause de) l'obligation vaccinale qui n'a été supprimée qu'en 2007, on trouve encore 96 cas par million d'habitants, soit un total de 5814 cas. D'ailleurs, contrairement aux «craintes» des services de santé, lorsque ce vaccin n'a plus été obligatoire et que l'incidence du vaccin a très fortement chuté, on a pu déceler le moindre signe d'augmentation des cas liée à cette diminution. Au contraire, il s'est produit une nette diminution des méningites tuberculeuses et moins de cas de tuberculose chez les enfants, même dans les régions les plus exposées. L'un des arguments avancés pour le maintien du BCG est qu'il protégerait efficacement de la méningite tuberculeuse. Or, dès 1973, le Dr F. Freerksen, directeur de l'Institut de biologie expérimentale allemand, précisait: « Le dogme de l'absence de méningite tuberculeuse chez les vaccinés doit être abandonné (entre 1964 et 1968, à Vienne, sur quatre méningites tuberculeuses, deux se sont produites chez des sujets vaccinés). » L'année même, la République fédérale allemande supprimait ce vaccin. Pour sa part, le Pr Jean Costil, de l'hôpital Trousseau à Paris, a pu observer huit cas de méningite tuberculeuse, survenus entre 1978 et 1988, chez des enfants vaccinés avec le BCG.
On cite souvent le décès de 6 enfants âgés de moins de 5 ans par la tuberculose en 1995, mais on «oublie» toujours de dire que, sur les 6 enfants, 3 étaient correctement vaccinés par ledit BCG.
Le cas de la diphtérie :
La diphtérie est aussi un exemple frappant de la disparition de la maladie avant la vaccination systématique. En Australie, dès 1923, K. R. Morre avait remarqué que la diphtérie avait autant régressé dans les localités non vaccinées que dans celles où les vaccinations avaient été recommandées. Son étude a paru dans le Bulletin de l'office intérieur d'hygiène publique en 1926. Depuis cette époque, de nombreuses observations basées sur les chiffres fournis par l'OMS ont montré une décroissance identique de la diphtérie en Allemagne, en Hongrie, en Suisse, en Pologne et aux États-Unis. Quant au japon non vacciné et au Canada vacciné, l'incidence n'est pas la même, mais la diminution des cas est tout aussi spectaculaire. Entre 1944 et 1952, le Japon, qui avait entrepris une campagne vaccinale, l'arrêta à la suite d'une quarantaine d'accidents vaccinaux mortels. Pourtant, le déclin de la maladie fut remarquable, de onze à quinze fois moins de morbidité et de mortalité, alors que le pays souffrait encore des conséquences de sa défaite: sous-alimentation et misère extrême. Comme le signale Fernand Delarue dans son ouvrage L'Intoxication vaccinale, « si la vaccination a semblé faire merveille au Canada, la non-vaccination a elle aussi réalisé des prodiges au Japon ».
En France, de 1945 à 1950, le nombre de décès est tombé de 1839 à 121 chez les enfants de 1 à 14 ans (vaccinés) et de 517 à 34 chez les moins de 1 an (non vaccinés), soit une baisse de 93 % dans les deux cas.
Le déclin naturel de la diphtérie est inscrit au crédit de l'action vaccinale, alors qu'il s'agit d'un phénomène spontané de régression épidémique dans tous les pays d'Europe, qu'il y ait eu vaccination ou pas. L'étude la plus complète sur l'incidence de la vaccination antidiphtérique a été faite en 1954 par le Pr Robert Rendu et est parue le 20 février de la même année dans le Journal de médecine de Lyon. « Comme cette régression "spectaculaire" a plus ou moins coïncidé avec l'extension de la vaccination dans tous les pays civilisés du monde, on a en a conclu que c'était l'anatoxine qui avait fait reculer la diphtérie. »
Par ailleurs il ne faut pas oublier que la vaccination contre la diphtérie a été suivie par des épidémies de poliomyélite directement liées à la vaccination antidiphtérique.
Poliomyélite et tétanos :
Vers la fin des années 40, on dénombra en Angleterre et au pays de Galles de nombreux cas de poliomyélite après l'injection du vaccin antidiphtérique, ce qui mena à interdire le vaccin dans ces pays en avril 1950. Et sur 1308 cas de paralysie survenus à cette époque chez des enfants âgés de 6 mois à 2 ans, 170 cas étaient liés à une injection antidiphtérique.
Pour le tétanos, la situation est différente. La maladie n'étant pas contagieuse, elle ne se transmet donc pas par contact d'individu à individu, et elle n'est pas immunisante. « Puisqu'un malade guéri du tétanos n'est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux protéger de la maladie ? » demandait en 1949 le Dr Robert Rendu, de la faculté de médecine de Lyon, dans La Presse médicale. Entre 1943 et 1947, cinq millions au moins d'enfants ont été vaccinés, soit plus de la moitié de la population âgée de 1 à 14 ans. « Cette vaccination massive aurait dû entraîner une diminution considérable du nombre de décès, or les statistiques officielles montrent que le nombre de décès infantiles par tétanos n'a guère varié de 1943 à 1947 (un décès en moyenne par département et par an). »
La courbe de la mortalité moyenne annuelle due au tétanos en Grande-Bretagne et au pays de Galles montre que celle-ci avait amorcé sa descente des décennies avant le début de la vaccination.
En résumé, ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, alors que dans ces deux pays, cette vaccination est obligatoire.
Chlorure de magnésium :
L'enseignement médical nous prévient que la maladie succède à une plaie profonde, souillée de terre ou à une brûlure profonde. Mais il existe des tétanos en l'absence de plaie. Quant au tétanos néonatal qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est dû au manque d'hygiène ombilicale à la naissance. Il semblerait que le tétanos, comme la diphtérie, soit une conséquence d'un manque de magnésium.
Il faut savoir que les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l'efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu et du Pr Delbet. Nicolas Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu'il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie. Pierre Delbet voulut présenter ce rapport à l'Académie de médecine, mais il se heurta à une opposition farouche de la part du corps médical. C'est dans une lettre adressée au Dr Neveu en date du 16 novembre 1944 qu'il révèle: « La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l'académie a trouvé, après 6 mois de réflexion, l'argument suivant: en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie on empêcherait les vaccinations et l'intérêt général est de généraliser ces vaccinations. »
Il ressort de ce rapport que l'Académie de médecine a décidé délibérément d'étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vies, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins.
Les cahiers de biothérapie (n° 39, septembre 1973) ont publié les résultats des docteurs Fumeron et Neveu, confirmés par le Dr Chevreuil, de Nantes, concernant des personnes atteintes de tétanos et considérées comme perdues: ils ont obtenu des résultats spectaculaires en injectant 5 grammes de chlorure de magnésium dans 20 cm de sérum physiologique par voie intraveineuse.
Selon l'OMS, le taux d'anticorps (ou antitoxine) de 0,01 UI/ml est considéré comme protecteur. Mais la présence d'anticorps n'est pas une garantie de sécurité, aussi impose-t-on des rappels tous les cinq ans aux enfants et tous les dix ans aux adultes pour « assurer » la restauration de l'immunité. Or, dans le journal médical Neurology (t, 42, 1992), Crone et Rider citent le cas d'un patient âgé de 29 ans atteint d'un tétanos sévère alors qu'il avait été hyper-immunisé en vue de produire une immunoglobuline antitétanique. Son taux d'anticorps était de 3 300 fois le taux considéré comme protecteur. De même, en 1991 à l'hôpital de Dar es-Salaam, en Tanzanie, sur 10 cas de tétanos chez les nouveau-nés, 9 mères avaient des taux d'anticorps suffisants pour protéger le bébé (jusqu'à 400 fois le taux protecteur).
En août 1987, eut lieu à Leningrad la VIlle conférence internationale sur le tétanos. Ce fut l'occasion de faire le point sur le vaccin que les représentants de l'OMS voulaient inclure dans un vaste programme de vaccination. Le Dr Masar démontra alors que sur 28 cas de tétanos en Slovaquie, 20 malades avaient été correctement vaccinés. D'ailleurs, l'Unicef a acheté 4,3 milliards de doses en quinze ans sans faire baisser le moins du monde l'incidence de la maladie.
Armées vaccinées :
Dans l'armée française, la plus vaccinée des armées alliées (plus de quatre millions de vaccinations d'octobre 1936 àjuin 1940), le taux de morbidité tétanique par mille blessés est resté le même pendant la campagne de 1940 qu'avant ces vaccinations massives. Dans l'armée grecque, non vaccinée, la fréquence du tétanos au cours de la dernière guerre a été sept fois moindre que dans l'armée française.
Dans l'armée américaine, pendant la Deuxième guerre, il y eut 10 millions de mobilisés, un demi-million de blessés et 12 cas de tétanos, 6 chez les non-vaccinés et 6 chez les vaccinés. En Belgique, le Dr Kris Gaublomme a rassemblé toute une série d'articles, publiés dans The International Vaccination Newsletter de septembre 1996, qui corroborent les observations précédentes.
On proclame volontiers que ce vaccin est le mieux toléré et le plus anodin, mais son innocuité est loin d'être démontrée. Les effets indésirables ne sont pas rares et peuvent être graves sur le court ou le long terme.
Vaccin anti-hépatite B :
Il en est de même pour le vaccin anti-hépatite B. Lors de la folie vaccinale de 1994 qui a permis de vacciner la moitié de la population française, la courbe de la Courly, qui réunissait les échantillons sanguins provenant de la surveillance épidémiologique de 70 laboratoires d'analyses biologiques dans la région lyonnaise, montrait que l'on avait douze fois plus de cas d'hépatite Ben 1978 qu'en 1992. Cette courbe confirmait une nette diminution des cas observés depuis cette époque, donc avant la campagne publicitaire de 1994 en faveur du vaccin. Entre 1963 et 1979, la fréquence de l'hépatite B était déjà réduite de 90 %, mais cette amélioration est évidemment attribuée aux seules vaccinations, alors que la baisse des cas correspond aux mesures prises pour éviter les transmissions par seringues chez les drogués et des contaminations par le sang chez les transfusés. Un constat devrait nous surprendre: depuis l'obligation vaccinale pour le personnel de santé, la décroissance des cas aurait dû être deux fois plus rapide chez eux que dans la population générale, or elle est identique.
Flambée de rougeole :
Aux États-Unis, en 1958, on répertoriait environ 800000 cas de rougeole, mais en 1962, une année avant l'introduction du vaccin, ce chiffre était brusquement tombé à 3000. Pendant les quatre années suivantes, ce chiffre a continué à baisser alors que les vaccins administrés pendant cette période furent jugés par la suite parfaitement inutiles au point d'être abandonnés. Cependant, les vaccinations ont repris de plus belle dès 1978 et, d'après le Dr Mendelsohn, « la mortalité par rougeole a été multipliée par 25 depuis ces campagnes vaccinales ». En résumé, aux États-Unis, la rougeole est en constante augmentation depuis les vaccinations. Et un constat alarmant a été publié en 1995 par les laboratoires SmithKline Beecham, pourtant fabricants de vaccins: « Les rougeoles ont été 18 fois plus nombreuses aux USA en 1990 (27672 cas) qu'en 1983, malgré une vaccination systématique contre la maladie depuis 1978. » Et en 2006, les CDC (Centers for Desease Control and Prevention) signalaient que 89 % des enfants d'âge scolaire qui avaient contracté la rougeole étaient vaccinés.
En 1986, au Canada, le nombre de cas de rougeole était sept fois plus élevé qu'en 1985. La Suède a abandonné ce vaccin dès 1970 et l'Allemagne dès 1975.
La France incrimine paradoxalement le faible taux de couverture vaccinale, alors qu'elle atteint pourtant en moyenne plus de 95 %, et des chiffres alarmistes sont avancés pour pousser les gens, y compris les adultes, à se faire vacciner.
Oreillons, coqueluche et variole :
Il en est de même pour les oreillons, car on a constaté que les fortes couvertures vaccinales (environ 97,6%) n'empêchent pas l'apparition de la maladie. En avril 2006, une sérieuse épidémie d'oreillons s'est déclarée dans huit États du centre des États-Unis. Ce fâcheux « incident » n'a pas empêché les CDC de persister à affirmer que « le vaccin est efficace à 90 ou 95 % et que l'immunité dure alors plus de 25 ans, sans doute la vie entière ».
Au Royaume-Uni, la mortalité par les oreillons a chuté à partir de 1915, alors que la vaccination n'est intervenue qu'à la fin des années 60.
Pour ce qui est de la coqueluche, des épidémies se sont déclarées dans des populations à couverture vaccinale très élevée (entre 81 % et 91 %), notamment en Afrique du Sud en 1988-1989 ou aux États-Unis, où le nombre de cas a doublé. Ainsi, en 1993, dans le Massachusetts, 218 étudiants furent atteints par la coqueluche, alors que 96 % d'entre eux étaient vaccinés.
Le British Medical Journal of Medicine (n° 19 de 1995) mentionne des flambées épidémiques dans les pays où s'est généralisée la vaccination, et en 1998, le même journal signalait des épidémies de coqueluche en Hollande, Norvège et Danemark, malgré une couverture vaccinale de 96 %.
De son côté, Le Quotidien du médecin du 5 janvier 1994 signalait que des élèves avaient été contaminés par des camarades vaccinés, et non le contraire comme on le prétend souvent.
Le vaccin a fait disparaître les symptômes de la coqueluche, qui n'existe presque plus sous sa forme habituelle, mais il a fait apparaître des formes différentes de la maladie qui atteignent à présent les adultes et les adolescents avec plus de gravité la plupart du temps. La coqueluche est devenue une maladie de l'adulte.
En 1980, l'OMS claironnait l'éradication de la variole après avoir lancé en 1962 une dernière campagne «d'éradication» à l'échelle mondiale. Consciente que cette vaccination ne parvenait pas à enrayer le mal, l'OMS préconisa alors d'abandonner la vaccination de masse au profit d'une stratégie dite de «surveillance-endiguement». Ces déclarations officielles du 28 novembre 1972 émanaient du chef du service d'éradication de la variole à l'OMS, le Dr Donald A. Henderson. Elles furent ensuite reprises par Le Monde du 21 décembre 1977 et par les Affiches parisiennes et départementales. Ainsi, l'OMS reconnaît que la disparition de la variole n'est pas due à la vaccination systématique, mais bien à des mesures «d'hygiène» au sens large, seul rempart efficace à la propagation des germes. Mais combien de personnes savent aujourd'hui que la disparition de cette maladie n'est pas due à la vaccination de masse ?
Des facilitateurs de maladies :
En résumé, pour attester de l'action bénéfique des vaccins, on se base sur le taux d'anticorps obtenu après une injection. Certes, tout antigène introduit dans l'organisme produit une réaction. La plupart du temps, le système immunitaire exprime cette réaction par la production d'anticorps, mais leur présence ne prouve pas qu'ils vont immuniser l'individu. Leur augmentation signe souvent un affolement des défenses immunitaires. Dans certains cas, ils fortifient la maladie et sont « facilitants ». Leurs mécanismes de régulation se trouvent souvent débordés, ce qui fait que des combinaisons anticorpsantigène, appelées «complexes immuns», restent en circulation dans l'organisme, occasionnant des maladies graves. Quant à leur durée de vie produite par un antigène vaccinal, elle est toujours plus courte que celle des anticorps naturels, ce qui indique que la vaccination met en jeu des mécanismes très différents de ceux que provoque la maladie naturelle.
Les vaccins facilitent l'émergence d'autres maladies d'autant que le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents. C'est à ce phénomène que Mirko D. Grmek, professeur d'histoire de la médecine à l'Ecole des hautes études, donne le nom de « pathocénose », qui peut expliquer les apparitions et les disparitions des épidémies. Ainsi, la vaccination antivariolique a rendu plus virulent le bacille de Koch, ce qui explique le fléau de la tuberculose au XIXe siècle. La vaccination contre la diphtérie couplée avec la vaccination anti-coquelucheuse a rendu virulent le virus de la polio, aussi a-t-on eu des pics épidémiques quelques années après la vaccination systématique contre la diphtérie. Le vaccin contre la polio accompagné du cocktail prévu par le calendrier vaccinal a contribué à l'effondrement du système immunitaire et à l'installation d'un syndrome d'immunodéficience acquise.
Le vaccin contre l'hépatite B complète les ravages causés par les autres vaccins et, s'attaquant au système nerveux de l'individu, il facilite l'installation de maladies auto-immunes qui favorisent un vieillissement prématuré. Les vaccins de même que les antibiotiques ne font que diminuer la vitalité du terrain, sa résistance naturelle, et l'altération du terrain devient une source de cancérisation. Et lorsque l'on considère qu'un enfant vacciné ne développe pas telle ou telle maladie et qu'il est immunisé, la réalité est bien différente: il n'a plus la force de réagir. Les maladies chroniques s'installent chez ceux qui ont un niveau de vitalité, d'énergie, très bas. Ils ne font pas de réactions violentes car l'organisme est sapé de l'intérieur.
Atteintes cérébrales :
D'après Harris Coulter, éminent spécialiste américain de l'histoire des vaccinations, dans son livre Vaccination, social violence and criminality, toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. Ce phénomène s'accompagne d'une détérioration des gaines de myéline dans le cerveau. Ces modifications pathologiques conduisent à des handicaps divers et des problèmes de comportement. On considère qu'aux États-Unis, un enfant sur cinq a subi des atteintes cérébrales. Toute manifestation démyélinisante subite semble être directement imputable aux vaccinations, d'autant que des chercheurs ont découvert une similitude entre certains virus et la structure protéidique de la myéline. Cette découverte capitale explique pourquoi nombre de maladies auto-immunes apparaissent après la vaccination: le corps ne reconnaît plus l'antigène à combattre et s'attaque à ses propres cellules, entraînant des maladies très invalidantes sur le long terme. Actuellement, les immunologistes s'interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées et ce constat est évidemment embarrassant pour eux car, à l'évidence, il s'agit d'une faillite de la vaccination, qui non seulement a de terribles effets pervers mais n'a jamais « éradiqué » une maladie.
Par Sylvie Simon, paru dans le magazine Nexus (mars-avril 2013, n°85)
Renseignez-vous également sur internet des nombreux adjuvants utilisés pour la fabrication des vaccins (détergent, formol (classé en 2004 comme cancérigène), mercure, aluminium, squalène, etc.), et de leur impact sur la santé.
Demandez-vous également si le portefeuille de certains, ainsi que d'autres intérêts dans les sphères décisionnaires, ne se fait pas aux dépens de la véritable santé des citoyens.
Faites-vous une idée par vous-même avec des recherches des deux côtés, afin de construire votre propre raisonnement, en toute indépendance de manipulation éventuelle.