L'U.N.A.C.S est née en juin 2001, à l'initiative de plusieurs associations de « santé alternative », réparties sur toute la France. Ces associations avaient toutes pour objectifs principaux, à différents titres, d'informer le public sur les possibilités d'accès à des thérapies « alternatives », c'est à dire autres que celles proposées par la médecine conventionnelle. Cette information pouvait passer par l'organisation de conférences-débats ou d'expositions, ainsi que par l'édition de documents destinés aux adhérents de ces associations.
L'idée fondatrice des créateurs de l'U.N.A.C.S. était basée sur l'adage selon lequel « l'Union fait la force ». Il fallait s'unir pour créer des synergies entre toutes ces associations isolées, dont certaines ne disposaient que de peu de moyens. Concernant le volet « Information », l'U.N.A.C.S. pouvait proposer, pour exemples, d’initier des projets de création et de publication d’un bulletin d’information commun à toutes les associations adhérentes, un site internet commun, ou encore l’organisation de « circuits » de conférenciers… Mais très vite, en plus de ces aides à la diffusion d'information, l'U.N.A.C.S. s'est trouvée confrontée à la nécessité de proposer aux associations adhérentes, un volet juridique, afin de pouvoir défendre en justice plusieurs dossiers concernant tant le libre choix thérapeutique du patient que la liberté de prescrire du médecin ou du thérapeute.
Car beaucoup de patients et de thérapeutes sont désormais confrontés à la justice pour s’expliquer sur leurs choix en matière médicale. Les uns et les autres font souvent appel à leurs associations locales, lesquelles ne disposent pas toujours de la compétence juridique ni des moyens nécessaires pour aider leurs adhérents.
Peu à peu jusqu'en 2007, les éléments constitutifs de l'U.N.A.C.S. se mettent en place, et des associations nous rejoignent. Un bulletin trimestriel de qualité, commun aux associations adhérentes, est proposé dès à présent. Des circuits de conférenciers s’organisent. Le site internet à vu le jour et se veut devenir et être un outil performant d’information et de communication en matière de droit à la santé et de thérapies alternatives.
Concernant le volet juridique, plusieurs actions en justice ont déjà été menées, avec succès (voir détails dans les pages du "Pôle juridique"). D’autres sont en cours… Après avoir cherché sa voie, l'U.N.A.C.S. a décidé, lors de son Conseil d’Administration de juin 2006, de se doter d’une véritable capacité juridique, apte à peser sur le débat médical ainsi qu’à accompagner les adhérents de nos associations dans l’épreuve qu’ils traversent. Ce qui veut dire :
Nous appelons à nous rejoindre toutes les associations de santé alternative qui se reconnaissent dans la dynamique, les principes et les actions évoqués ci-dessus, afin que tous ensemble nous pesions de plus en plus fort sur le débat médical dans notre pays.
Que les médecines conventionnelles puissent enfin œuvrer,
comme cela se fait déjà dans de nombreux pays d’Europe,
en synergie avec les thérapies alternatives, avec pour seul objectif…
La Santé Publique !
Vidéo diffusée par Augustin de Livois, président de l'Institut pour la protection
de la santé naturelle, dans sa lettre d'information du 7 février 2012 que vous pouvez retrouver en cliquant sur le ce lien :http://etoileblue.wordpress.com/2012/...
http://institut-protection-sante-natu...
La médecine officielle cause souvent plus de tort que de bien
Il est clair que les défaillances de notre système de santé constituent la première cause de décès et de maladie en France.
Selon une étude de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), entre 350 000 et 460 000 événements indésirables graves se produisent chaque année à l’hôpital.
Ils sont essentiellement produits par des actes invasifs : médicaments, chirurgie, implants…
On pourrait en éviter jusqu’à 190 000.
On estime à 750 000 le nombre d’infections nosocomiales par an. (nosocomiales = causées par l’environnement hospitalier)
30% pourraient être évitées.
1 patient sur 10, rentrant à l’hôpital, subit un événement indésirable lié aux soins.
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, 30 000 patients décèdent tous les ans d’accidents médicaux dans nos hôpitaux.
La Fédération Hospitalière de France estime qu’il y aurait entre 200 000 et 400 000 opérations chirurgicales inutiles en France, tous les ans.
144 000 patients sont hospitalisés inutilement chaque année en raison des médicaments prescrits, selon l’AFSSAPS.
Les médicaments prescrits sur ordonnance tuent plus que les accidents de la route, la pneumonie ou le diabète.
La plupart des effets secondaires sont pris pour de nouvelles maladies ou de nouveaux symptômes aboutissant à l’administration de soins et de médicaments supplémentaires ce qui augmente encore le risque de décès.
Le coût des effets secondaires représente 79 milliards d’euros au sein de l’Union européenne. Ils tuent près de 200 000 Européens tous les ans.
S’il y a autant de réactions négatives aux médicaments en France et en Europe, c’est en raison du nombre de médicaments consommés et prescrits.
De nombreux patients se voient prescrire une foule de médicaments aux dosages variés et aux effets contradictoires, qui peuvent interagir et provoquer des réactions bien plus graves lorsqu’ils sont combinés.
Nous avons atteint le point de saturation pour la prescription des médicaments.
Nous sommes arrivés au stade où toutes les eaux testées contiennent des restes mesurables de médicaments.
Les tonnes d’antibiotiques utilisés dans l’élevage de ferme, qui se répandent dans toutes nos rivières, donnent aux bactéries présentes dans les systèmes de traitements des eaux, une résistance accrue aux antibiotiques. On retrouve ces bactéries dans nos réserves d’eau.
La France détient le record de la consommation de médicaments en Europe.
Les pharmacies distribuent tous les ans plus 1500 unités de médicaments, par patient contre 1000 en Allemagne et 750 en Italie.
En 2010, 50 boîtes de médicaments ont été prescrites par personne en France, ce qui fait plus de 3 milliards de boîtes de médicaments vendues dans l’année.
50 % des Français âgés de plus de 65 ans prennent entre 1 et 4 médicaments chaque jour
38 % de ces Français prennent de 5 à 10 médicaments par jour
1 % de ces Français prennent plus de 10 médicaments différents par jour.
“Les médecins français prescrivent quatre fois plus que les médecins Britanniques, Irlandais, Italiens ou Grecs, et six fois plus que le danois, belge et allemand» selon le chercheur Berthod Wurmser, un expert européen sur les questions de santé.
À âge égal, beaucoup de Français ont des problèmes de santé qu’ils n’avaient pas il y a 20 ans.
Les maladies dégénératives sont de plus en plus répandues. L’incidence de plusieurs cancers a doublé. 12% des personnes âgées de 80 ans sont atteintes de démences séniles que l’on pourrait éviter.
Nos personnes âgées sont assommées de médicaments et ne s’en portent pas mieux.
Le système de santé en France privilégie le traitement de la maladie et non la prévention.
Si l’on en juge par les seules dépenses de santé, la France devrait être le pays où l’on vit le plus longtemps en bonne santé. Mais ce n’est pas le cas.
Le pire c’est que nous savons pourquoi :
La médecine moderne ne s’occupe plus de la santé.
C’est une industrie mercantile de la maladie qui ne peut survivre que si des millions de personnes deviennent malades et le restent.
C’est une industrie qui refuse de prendre en compte des aspects vitaux de la santé comme : le fait que le stress affaiblit le système immunitaire.
Ou que la nourriture industrielle, le tabac, l’excès de calories et le manque d’exercice sont des causes directes de la maladie.
Ou encore que le contact avec des milliers de toxines présentes dans notre environnement et dans notre alimentation, ont un lien direct avec nos maladies.
On nous dit de faire attention au soleil, mais de plus en plus de personnes meurent chaque année de cancer en raison du manque d’exposition au soleil.
Le marketing mensonger a changé nos habitudes alimentaires. Les consommateurs se sont massivement tournés vers des produits alimentaires industriels ou mauvais pour la santé.
Tant que nous ne changerons pas l’orientation de notre système de santé, rien ne changera.
Nous devons mener une vie plus saine, faire plus d’exercice et adopter des régimes alimentaires adaptés à nos systèmes immunitaires.
Nous devrions combattre la maladie, prévenir la maladie et éviter au maximum tous les dommages collatéraux pour les patients.
Mais une analyse attentive et objective des faits montre que ce n’est pas le cas.
Il est temps d’arrêter de bombarder notre organisme de médicaments et d’aller chercher une bonne santé en vivant de manière saine et équilibrée.
Le temps est venu de reprendre le contrôle sur notre santé!
LA SANTE A LA CLEF est une association selon la loi de 1901 qui a son siège, sis en LANGUEDOC (30500 ST AMBROIX), propose à ses adhérents des réunions, des conférences, des conseils sur des
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