Danses folkloriques

Canada

Les gigues

Gigue québecoise

Deux virtuoses de la gigue québécoise se défient et se répondent sur une musique traditionnelle authentique et enlevante. Ils alternent habilement les rythmes et les figures de danse.

Pierre Chartrand est reconnu au pays et à l'étranger comme danseur et professeur, historien et ethnologue en danse, chorégraphe, gigueur et calleur. Il a mis sur pied le centre d'archives et de documentation Mnémo (www.mnemo.qc.ca) dont il est toujours le directeur général. Avec sa conjointe, Anne-Marie Gardette, il a fondé la compagnie Danse Cadence (www.danse.qc.ca) vouée à la danse traditionnelle et à la danse baroque et Renaissance (incluant la danse de la Nouvelle-France). Plusieurs productions verront le jour dont le groupe-spectacle gigue québécoise Rapetipetam, ainsi que le spectacle de conte La Chasse Galerie. Pierre Chartrand enseigne la gigue de façon régulière depuis la fin des années '70, et s'est joint à l'École des arts de la veillée (espacetrad.org/ecole-2) à la fondation de celle-ci, en 1998.

Après un parcours d'apprentissage de danses folkloriques québécoises et internationales au sein de plusieurs ensembles Montréalais, Yaëlle Azoulay se joint au Zogma Collectif de folklore urbain en 2003 (www.zogma.ca).

En plus de danser Yaëlle pratique le call, l'art de faire danser les gens, et donne des ateliers un peu partout au Québec et aux États-Unis.

Alexis Chartrand (www.danse.qc.ca/alexis.html) est montréalais et joue du violon depuis l'âge de 6 ans. Il a appris principalement avec Diane Plouffe-Plante (musique classique) et Richard Forest (musique traditionnelle). Il a grandi dans les soirées danses, festivals et autres événements du genre via les activités de ses parents (Pierre Chartrand et Anne-Marie Gardette). Il joue régulièrement pour les classes de gigue de son père et, occasionnellement, pour des veillées de danse traditionnelle ou des concerts.


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Italie

La taranta

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la série des 50 vidéos que j'ai reçue par mail le 8/9/13

dans ma boîte mail LAMUSIQUEQUEJAIME    !!!

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Histoire de la taranta

 

LA TARANTELLE

Texte de G. M. Gala - © 1999-2007 [reproduction interdite]

 

NOTES HISTORIQUES et ETNOGRAPHIQUES

 

La tarentelle regroupe une vaste famille de danses traditionnelles des régions de l’Italie méridionale (Pouilles, Campanie, Basilicate, Calabre, Sicile, Molise).
Seules quelques zones conservent encore aujourd’hui une tradition vivante, assidue et authentique de la danse ; en effet, un processus de profonde transformation des formes choréiques traditionnelles est en cours et est dû non seulement à la disparition du besoin de s’exprimer par le langage du corps provenant des générations précédentes mais aussi aux changements radicaux des modèles de vie dans les communautés actuelles. La grande partie des répertoires consiste en des danses en couple (et non nécessairement homme/femme) ; il existe des formes à quatre, en cercle ou en procession. Les formes à un danseur/danseuse sont plus rares. Il y a des endroits où les danseurs, appelés communément au sud de l’Italie, " ballatori ", jouent des " castagnoles " (castagnettes ou " castagnelles "). Il existe aussi des sous-groupes stylistiques qui ont une propre appellation (pizzica pizzica, ballé ncopp’o tammurrè, zumpareddu, pastorale, " trescone ", viddhaneddha, ballarella, zumparella etc.), tout comme il existe une grande variété de répertoires musicaux (en 2/4, 6/8, 4/4, 12/8 etc.) et d’instruments (chant, tambour, musette, " ciaramella ", orgue de Barbarie, accordéon, , " guitarra battente ", violon, mandoline, flûte – fraulo e friscalettu – double flûte, trompette tsiganes ou " marranzanu ", clarinette , tambour à friction etc.).
" Il n’y a plus aucun doute : le terme " tarentelle " est le diminutif, avec suffixe en " elle " (très diffus dans le sud de l’Italie) de " tarente " ; racine qui, dans presque tous les dialectes méridionaux signifie " tarentule " (lat. lycosa tarentule). Par conséquent, le nom de cette danse conduit directement au rituel des thérapies choréo-musicales du " tarentisme ". La tarentelle est depuis ses origines une danse à caractère symptômatologique, thérapeutique et extatique. L’exposé sur l’origine toponymique du latin tarentule donné au type particulier d’araignée retenu fréquent surtout sur le territoire autour de ville de la Magna Greca ionique - Tarentum – Tarente qui correspond aujourd’hui aux Pouilles centre-méridionales, est difficile à confirmer sur le plan statistique dans l’antiquité, mais l’étroite proximité entre les termes " Tarentum " et tarentule semble le confirmer. Le " tarentulisme " et le " tarentisme ", comme phénomène mythique et magico-culturel de cure ou de vénération de la morsure (" pizzico ") d’un animal, trouve aussi de fortes analogies dans d’autres régions de la méditerranée.

Une analyse en profondeur des répertoires des danses traditionnelles permet de dire que le lieu commun qui voit la danse ethnique italienne (et en particulier méridionale) comme une danse érotique et de séduction exécutée en couple, s’évanouit d’un coup ou est fortement remis en cause.
La tarentelle porte en elle une caractéristique diffuse dérivant d’une interprétation d’origine touristique : la danse en couple – précise De Simone (Chants et traditions populaires en Campanie, Lato Side, 1979) - ne doit absolument pas être associée à la danse conventionnelle d’amour entre un homme et une femme. De telles danses appartiennent au folklore de mauvaise qualité et n’expriment pas le sens culturel d’une danse traditionnelle. Réduire la danse populaire en couple – forme beaucoup plus diffuse dans toute l’Italie – à un simple jeu de conquête, d’amour, dispute, jalousie, vengeance, et autres aspects de la littérature rose prive la danse des autres dimensions et de la complexité sémantique dont elle vit. Ceci n’enlève rien au fait que l’aspect érotique est une des fonctions de la danse en général mais vu dans un horizon anthropologique plus vaste.
Dans toutes les formes en couple de la tarentelle méridionale, à coté des thèmes érotiques d’initiation-persuasion-possession-fertilité (en particulier dans le cas de la danse exécutée en couple mixte) il existe des formes par lesquelles la ritualité hiératique détachée d’exécution (on pense à la tarentelle entre deux femmes) donne à la danse d’autres connotations symboliques que l’on peut lire en clés d’interprétation différentes.

Les premières sources qui parlent de Tarentelle remontent, selon les connaissances actuelles, au XVII è siècle et sont des sources musicales liées à la cure de la morsure de la tarentelle ; bien plus antique sont les transactions médicales sur le phénomène épidémique et thérapeutique. Mais pour remonter aux citations de la danse reconnue avec le nom de tarentelle (et que l’on peut rapprocher des formes semblables aux actuelles), il faut se projeter plus en avant au XVIII è siècle.
Pour une série de causes, aucune autre expression culturelle ne peut être adoptée comme meilleure et plus profond emblème de tout le sud…
[extrait de Gala G.M., La tarentelle des bergers, Florence, Ed. Taranta, 1999]

 

LA NOUVELLE MODE DE LA TARENTELLE
La fuite vers l’ethnique comme rite de purification de masse

Dans les dernières années on assiste dans le sud de la part des jeunes des villes (Naples, Bari, Foggia, Brindisi, Benevento etc.) à une redécouverte enthousiaste de la valeur des danses traditionnelles, mais en l’absence d’experts, d’études scientifiques spécifiques et de documents visuels, les processus de récupération tendent à prendre soit le chemin spectaculaire du folklore qui dénature et qui sort du contexte l’événement danse soit celui du " folk revival " de la jeunesse des villes qui vide la danse de ses propres fonctions et y ajoute de nouvelles formes et finalités qui se rapprochent des rassemblements contemporains des concerts rock ou discothèques. Et voici une bibliographie essentielle pour étudier le tarentelle sous entendue aussi bien comme danse thérapeutique que , plus communément, comme danse ludique, rituelle et religieuse. La fascination de la tarentelle (pizzica, tammuriata, tarentelle calabraise, etc.) se répand en tache d’huile et devient une emblème sociale et idéologique d’alternative culturelle à la globalisation. En été et pendant les jours de fêtes traditionnelles, on assiste à de véritables pèlerinages laïques de jeunes qui, des villes du sud et de nombreuses régions du nord, se rendent au sud pour s’immerger dans de véritables tarentelles de masse comme dans une sorte de danse mania médiévale. De cette façon, pour de nombreux jeunes, plein d’enthousiasme et d’envie de connaître les danses et traditions méridionales, et qui ont pour modèles leurs contemporains, les nouvelles danses se propagent avec la fausse prise de conscience d’être les vraies " formes antiques ".
L’aspect plus contradictoire du phénomène est celui de justifier les réinventions de nouvelles danses en créant autour d’elles une aura empreinte de " classicisme " (dyonysisme, ménadisme, rites de possession, culte de la terre-mère etc.) En réalité, les danses des campagnes disparaissent et ces nouvelles formes d’invasion culturelle donnent le coup de grâce à la tradition choréique rurale et s’y substituent.

Nous proposons ci-dessous une biographie essentielle sur l’argument :

 
   


VOICI QUELQUES RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUES SUR LA TARANTELLE (ET LE TARANTISME)

AA. VV., La danza tradizionale in Italia, Roma, Cooperativa Biblionova, Roma, Tipografia il Bagatto, 1981.
AA. VV. (a cura di M. Santoro e S. Torsello), Il ritmo meridiano.La pizzica e le identità danzanti del Salento, Lecce, Aramirè Edizioni, 2001.
ALESSANDRO Lillo, Viaggio in Italia. La danza tradizionale del popolo di ieri vista dall'uomo di oggi, Castrovillari, Coscile, 2000.
BRAGAGLIA Anton Giulio, Danze popolari italiane, ENAL, Roma 1950.
CARPITELLA Diego, Ritmi e melodie di danze popolari in Italia, Roma, Accademia Nazionale di Santa Cecilia, 1956, pp. 23.
CARPITELLA Diego, L'esorcismo coreutico-musicale del tarantismo, in DE MARTINO Ernesto, La terra del rimorso, Milano, il Saggiatore, 1961, pp. 335-372.
CASTAGNA Ettore (a cura di), Danza tradizionale in Calabria, Catanzaro, Coop. Satriani, 1988.
CASTAGNA Ettore, U sonu. La danza nella calabria Greca, Roma. Squilibri, 2006.
CHIRIATTI Luigi, Morso d'amore. Viaggio nel tarantismo, Lecce, Caponi, 1995.
COFINI Marcello, Un incontro di culture: la tarantella per pianoforte, Firenze, Edizioni Taranta-Polistampa, 1995.
COFINI Marcello, Tarantella in musica o sia ex tarantula vulgarium musica et choreae, Edizioni Setticlavio, Salerno, 2001.
COSTA A. e COSTA B. La tarantella. Storia, aneddoti e curiosità del ballo popolare più famoso del mondoespressione tipica del folklore napoletano, Roma, Newton e Compton, 1999.
DE GIORGI Pierpaolo, L'estetica della tarantella. Pizzica, mito e ritmo, Galatina, Congedo, 2004.
DE MARTINO Ernesto, La terra del rimorso, Milano, Torino, Il Saggiatore, 1961.
DE RAHO, Il tarantolismo nella superstizione e nella scienza, Lecce 1908. Ristampa: Roma, Sensibili alle foglie, 1994.
DE SIMONE Roberto, Canti e tradizioni popolari in Campania, Roma, Lato Side, 1979.
DE SIMONE Roberto, La Tarantella napoletana nelle due anime del Guarracino, Napoli, Edizioni Benincasa, 1992.
DI LECCE Giorgio, La danza della piccola taranta. Cronaca da Galatina: 1908-1993. A memoria d'uomo, Roma, Sensibili alle foglie, 1994.
GALA Giuseppe Michele, La tarantella dei pastori. Appunti sulla festa, il ballo e la musica tradizionale in Lucania, Ed. Taranta, Firenze, 1999.
GALA Giuseppe Michele, La pizzica ce l’ho nel sangue. Riflessioni a margine sul ballo tradizionale e sulla nuova “pizzicomania” del Salento, in Il ritmo meridiano. La pizzica e le identità danzanti del Salento (a cura di V. Santoro e S. Torsello), Lecce, Ed Aramirè, 2002, pp.109-153.
GALA Giuseppe Michele, Suoni che pulsano. Tarantelle e pastorali fra resistenza e mutazioni culturali alla festa della Madonna del Pollino, in AA. VV., Musica e tradizione nella festa della Madonna del Pollino, pp. 21-40, San Severino Lucano (PZ), Pro Loco del Pollino, 2004.
GALA Giuseppe Michele, Il dissidio nel corteggiamentoe il sodalizio nella sfida: per una rilettura antropologica del complesso sistema dell'etnocoreutica italiana, in Pietro Fumarola, Eugenio Imbriani (a cura di), Danze di corteggiamento e di sfida nel mondo globalizzato, Nardò, Besa, 2006, pp. 63-110.
GALA Giuseppe Michele, Appunti sulla tarantella in Calabria, in "Il Folklore d'Italia", rivista scientifica della Federazione Italiana Tradizioni Popolari, n. 1, 2006, pp. 5-14.
GALA Giuseppe Michele, Sonu, saltu, cantu, coloribus. Balli tradizionali in Puglia fra storia e società, in "Il Folklore d'Italia", rivista scientifica della Federazione Italiana Tradizioni Popolari, n. 2, 2007, pp. 10-43.
GORGONI Patrizia, ROLLIN Gianni, Tammurriata. Canto di popolo, Altrastampa Edizioni, Napoli 1997.
MELCHIONI Elide, Zingari, San Rocco, pizzica scherma, Presicce (LE), Levante Arti Graf., 1999.
MINA Gabriele, Il morso della differenza. Antologia del dibattito sul tarantismo fra il XIV e il XVI secolo, Nardò, Besa Ed., 2000.
MINA Gabriele, TORSELLO Sergio, La tela infinita. Bibliografia degli studi sul tarantismo mediterraneo 1945-2004, Nardò, Besa Ed., 2004.
NASELLI Carmelina, L’etimologia di “tarantella”, in “Archivio Storico Pugliese”, anno IV (1951), fasc. III-IV, pp. 3-12, Ed. Alfredo Cressati, Bari 1951.

O.N.D. (Opera Nazionale Dopolavoro), Danze popolari italiane, Roma 1935 (ristampa Taranta 1990).
PENNA Renato, La tarantella napoletana, Napoli, Rivista di Etnografia, 1963, pp. 115.
ROSSI Annabella, Lettere da una tarantata, Bari, De Donato, 1970; ristampa: Lecce, Argo, 1994.
ROSSI Annabella, DE SIMONE Roberto, Carnevale si chiamava Vincenzo, Roma, De Luca Editore, 1977.
ROSSI Annabella, E il mondo si fece giallo, Milano, Jaca Book, 1991.
SACHS Curt, Storia della danza, Milano, Il Saggiatore, 1966, (1a ed. 1933).
SCHNEIDER M., La danza de espadas y la tarantela. Ensayo musicolólogico etnográfico y arqueológico sobre los ritos medicinales, Barcellona 1948; ristampa (a cura di P. P. De Giorgi), Lecce, Argo, 1999.
SIGERIST H. E., Breve storia del tarantismo, (a cura di Di Mitri Gino L.), Nardò, Besa Ed., 1999.
TURCHINI Angelo, Il morso, il morbo, la morte. La tarantola fra cultura medica e terapia popolare, Milano, Angeli, 1987.

Périodiques, discographie et documents.

Culture Musicali (Rivista della Società italiana di etnomusicologia), nn. 7-8, Unicopli, Milano 1985.
Choreola (Rivista di danza popolare italiana), Taranta, Firenze 1991-1999.
Ethnica, collana discografica di danza popolare italiana (a cura di G. M. Gala), Taranta, Firenze 1991-2001.
Albatros, collana discografica di musica popolare (a cura di R. Leydi), Milano, Sciascia Ed. 1973-1991.
Suoni, collana discografica di musica popolare (a cura di D. Carpitella), Roma, Fonit Cetra 1981-1985.
Dizionario Enciclopedico della Musica e dei musicisti. Il lessico, Torino, UTET, 1983, voce "Tarantella", pp. 491-496.

COMPACT DISC MUSICAUX DE LA COLLECTION "ETHNICA"
(avec musiques originales traditionnelles et livret annexe de pages 20-36)

La zampogna lucana, (a cura di G. M. Gala) collana "Ethnica", TA001, Firenze, Taranta 1990.
Organetto e tarantelle, (a cura di G. M. Gala) collana "Ethnica TA002, Firenze, Taranta, 1991.
L'arpa di Viggiano, (a cura di G. M. Gala) collana "Ethnica TA003, Firenze, Taranta, 1991.
Feste e tamburi, (a cura di G. M. Gala) collana "Ethnica TA014, Firenze, Taranta, 1999.
Tarantelle e maschere, (a cura di G. M. Gala) TA018, collana "Ethnica", Taranta, Firenze 1999.
Suoni di canto. Canti e balli tradizionali in Irpinia, (a cura di G. M. Gala e T. Miniati) collana "Ethnica", TA019, Taranta, Firenze 1999.
La tarantella del Gargano, (a cura di G. M. Gala) collana "Ethnica", TA021, Taranta, Firenze 2000.-
Tomma Tommë, (a cura di Massimiliano Morabito), collana "Ethnica", TA024, Taranta, Firenze 2004.

 
Vu l’étendue du sujet nous pensons qu’ internet n’est pas le lieu approprié pour les approfondissements sur les arguments ethno-choréiques et que, seuls la seule recherche sur le terrain, le livre et un bon documentaire vidéo peuvent être proposés. Nous avons donc pensé - en insistant sur une méthodologie rigoureuse d’approche à la danse - offrir des points de départ pour un approfondissement sur les danses, au moins au niveau bibliographique. Nos archives possèdent la plus grande collection de films vidéo, livres, documents et photographies existants sur la tarentelle (voir la page ADE),il est possible de prendre vision de ce matériel uniquement au siège et sur rendez-vous. De nombreux étudiants et universitaires s’adressent à notre Association pour thèses et études monographiques. Malheureusement, étant une Association basée sur le bénévolat, il faut un peu de patience et attendre que nos chercheurs soient disponibles. Par courriel, on nous pose de nombreuses questions sur les danses traditionnelles mais nous n’avons pas toujours le temps de répondre à tous, nous prions donc ceux qui ont un intérêt superficiel sur l’argument de consulter les textes conseillés.
Nous sommes disponibles pour effectuer des recherches ethnographiques et préparer des publications scientifiques sur commission.

Manuels généraux de culture populaire

LEYDI Roberto, Canti popolari italiani, Milano, Mondadori, 1976
LEYDI Roberto, L’altra musica, Giunti Ricordi, 1991.
PIANTA Bruno, Cultura popolare, Milano, Garzanti, 1982.
TOSCHI Paolo, Le origini del teatro italiano, Torino, Boringheri, 1979.

© Copyright Associazione Taranta, 1999-2009

© TARANTA 1999-2007

Il est absolument défendu de reproduire sur d’autres pages web ou autres supports les textes présentés ici sans citer leurs sources

   
   
     
 
   

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fax: +39 055-295178 - Mob. +39 347-5000000

 

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Salientes - pizzica a dispiettu

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