A lire absolument:
http://www.infomicheldogna.net/page6.html
LA SAGESSE EST DANS LE CADDIE
L’on parle beaucoup ces temps-ci de chute du pouvoir d’achat en France. Loin de moi d’en disconvenir, et je souhaite vivement une solution politique musclée à ce
problème face aux dérives de la grande distribution, d’autant que ce sont toujours les plus pauvres qui sont les plus atteints. Mais ce qui m’étonne, c’est ce que je vois mettre malgré tout dans
les caddies, je veux dire une majorité de produits industriels tout prêts, nuisibles à la santé pour la plupart, que nos grands-parents ignoraient, et qu’ils auraient considérés comme des
produits de grand luxe. Mais qui a envie de remettre en question petits gâteaux, pâtisseries, yaourts et laitages aux multiples saveurs, chocolats, viandes, charcuteries, pizzas, apéritifs, coca
et grenadines, bref toutes choses censées tenir le moral mais qui vous transforment en drogués de la bouffe et vous abonnent rapidement à la sécurité
sociale.
Rien de tout cela n’est nécessaire à la vie et à la bonne santé, mais il est plus difficile de faire changer d’habitude alimentaire que de religion.
La dépendance est le contraire de l’adaptation, et la survie des espèces a toujours été liée à leur faculté d’adaptation. Je vais être direct : dans la configuration mondiale actuelle, ceux
qui ne s’adapteront pas à un retour aux normes alimentaires de sagesse ancestrale s’élimineront d’eux-mêmes à court terme. Au Brésil, les patrons sont tenus légalement de fournir aux
ouvriers pour leur famille, associés à leur paye, un sac de riz et un sac de haricots rouges, car dans tous les pays du monde, la base de l’alimentation humaine a toujours été le binôme
« céréales – légumineuses ». Pour le reste chacun se débrouille avec les fruits qui ne manquent pas là-bas, et ces gens pauvres se portent bien mieux que la plupart des
français.
Rappelez-vous que les légumineuses (lentilles, pois chiches, haricots en grain, petits pois, mais
non le soja qui est toxique) sont la viande du pauvre et du sage ! Les disettes sont des épreuves qui selon leurs choix améliorent la santé des uns…et à mènent au cimetière les
autres.
L’ARNAQUE DU PRE-CANCER
La médecine avait inventé la PRE-ménopause, la ménopause n’étant probablement pas suffisamment rentable, elle a maintenant institué le PRE-cancer, ce qui est
financièrement très intéressant dans la mesure où les gens qui ne sont pas encore malades sont censés être beaucoup plus nombreux que les malades eux-mêmes. Si je m’insurge, c’est en
raison du nombre de femmes même jeunes qui me contactent pour me demander conseil parce qu’un cancérologue insiste et les presse pour leur effectuer une mammosectomie (de précaution), car
disent-ils, elles présentent un terrain précancéreux. Or ce fameux terrain consiste la plupart du temps en un banal kyste mammaire en outre souvent du aux produits laitiers, mais ne
présentant aucun caractère dangereux à l’analyse, et en particulier aucune velléité d’adhérences. Ces femmes qui paraissent en pleine forme se trouvent alors très déstabilisées moralement autant
par l’insécurité de leur avenir que par la perspective de cette mutilation dégradante de leur féminité. Or, les tests complémentaires ont chaque fois prouvé qu’elles n’avaient aucun
cancer.
Alors, chères dames, un bon conseil, de même qu’on ne se fie jamais à un seul devis pour des travaux, ne vous fiez
jamais à un seul avis médical. Les cancérologues paient cher des assurances pour les « bavures » au cas où des clients se rebiffent. Sachez que la soi-disant PREVENTION n’est
qu’un service de rabattage, et que chaque faux cancéreux rapporte comme les vrais 150 000 euros minimum aux labos de la chimio. Qui paye ? Nous tous, contribuables à souhait ; et
ce sinistre busines de la mutilation et de l’empoisonnement légalisés est une véritable hémorragie financière de la nation via la Sécu qui y collabore gaiement. Par ailleurs, il faut garder à
l’esprit qu’au-delà de ces chirurgiens indélicats qui coupent d’abord et discutent ensuite, il existe des approches diagnostiques et curatives non invasives et que des milliers de
personnes guérissent du cancer par des moyens dont on ne parle pas à la télé. Encore faut-il oser changer d’église…et payer !
SOLEIL ET CANCER DE LA PEAU
A la télévision, divers petits reportages médicaux nous mettent régulièrement en garde contre les risques de l’exposition solaire sur la peau. Un petit bouton suspect
à la rentrée des vacances qui ne part pas et qui gratte, une tâche marron qui bourgeonne un peu, et l’on vous conseille d’aller tirer les choses au clair chez un dermato qui va vous scruter
ça au microscope et vous dire si petit « crabe » il y a ou non.
En fait, c’est à la base qu’il faut reprendre le problème. Nous avions appris à
l’école que les stérols de la peau ont deux fonctions majeures : fabriquer de la vitamine D et recycler les toxines au niveau cutané, en présence des rayons UV du
soleil.
Encore faudrait-il savoir ce que l’on entend par toxines : s’agit-t-il de déchets métaboliques ou de produits chimiques
provenant de la grande production alimentaire industrielle ?
Or, il est improbable que nos vaillants petits stérols soient programmés pour le second cas,
et perturbés, ils risquent même de se mettre en RTT.
Et que fait une poubelle laissée au soleil ? Elle fermente. Et comment s’effectue une
fermentation ? Grâce à des micro-organismes qui comme nous s’organisent en colonie sur un site qui leur convient. L’organisme, évidemment envoie des forces de l’ordre pour maitriser
ce développement sauvage, et tout rentre dans l’ordre… sauf si les troupes n’ont pas la pêche! Alors, l’anarchie s’installe. La promiscuité crée l’hypoxie des tissus environnants qui
peuvent opter pour un programme de survie primitive, embryonnaire, ce qui s’appelle… ?
Conclusion : Une alimentation légère à tendance végétarienne et hypotoxique est le meilleur atout pour aborder des bains de soleil en toute
sérénité, la peau n’étant pas surchargée en toxines. En cas d’alerte, quel que soit le traitement prescrit, toujours y associer une sérieuse détoxification de l’organisme, une relance musclée des
défenses immunitaires, une hyper oxygénation cellulaire, un arrêt strict de tout produit laitier.
NANOTECHNOLOGIES, OUI MAIS….
Dans l’histoire de la science, le principe de précaution a souvent été abordé avec beaucoup de désinvolture, générant au long court des maladies dégénératives ou des
catastrophes sanitaires que l’on connait, et pour lesquelles les services officiels refusent ensuite d’admettre un rapport de cause à effet. Avec les nanotechnologies, un grand danger se profile
encore à l’horizon.
Les nanotechnologies, c’est une véritable révolution qui risque de nous apporter le meilleur et le pire. Le champ d’applications en
est gigantesque, et en voici quelques exemples :
- En mécanique : nouveaux matériaux en nanotubes de carbone 100 fois plus
rigides que l’acier et 6 fois plus légers.
- En électronique : extrême miniaturisation des mémoires, intelligence
artificielle…
- En médecine : nanomédicaments, nanochirurgie, identification de gènes…
- En télésurveillance : nanométrie intégrée tous azimuts.
- En biopuces : pour animaux et humains (contrôle total…).
Il s’agit en fait d’éléments réduits en poudre au niveau du nanomètre, soit un millionième de millimètre, ou encore un millième de
micron, c’est-à-dire à l’échelle des virus. A ce stade, les études réalisées jusqu’alors in vitro et in vivo ont montré que les nanoparticules sont capables de se diffuser dans
l’organisme par voie transcutanée et transplacentaire, au travers de la muqueuse intestinale, des alvéoles pulmonaires, et de la barrière hémato-encéphalique. Or, en raison de la grande
réactivité de surface des produits nanonisés, leurs propriétés physiques et chimiques sont totalement à revoir, donc plus ou moins en zone inconnue.
Lorsqu’on
sait qu’actuellement, plus de 500 produits à nanoparticules, en particulier en cosmétique ont déjà été lâchés dans le commerce sans préambule, cela fait froid dans le
dos.
Qu’arrive-t-il lorsque notre organisme se trouve envahi de toutes sortes de nanoparticules disséminées un peu partout ? Ca, c’est
la surprise ! Alors mesdames, attention aux étiquettes, si toutefois elles sont transparentes !
LE LAIT, « C’EST PUS C’QUE C’ETAIT » !
Beaucoup connaissent mes positions farouches dans mes écrits, contre les produits laitiers, surtout venant de la vache, et ce depuis près de vingt ans. De fait, plus de
10% des gens (y compris de bébés) sont maintenant allergiques aux produits laitiers, et c’est tant mieux pour eux, car ceci est l’expression de la vigilance de leur organisme. Je m’étais contenté
jusqu’ici de rappeler que tout passe dans le lait – aussi bien les fleurs de printemps que la chimie des pesticides et les antibiotiques – et que d’autre part, le lait pasteurisé n’est plus
du lait, mais une chaîne de macromolécules polymérisées par une chauffe brutale à 180°, qui va semer la pagaille dans les voies lymphatiques.
La nouveauté,
c’est le lait des super-vaches, génétiquement modifiées pour devenir de véritables usines à lait. Leur pis est tellement gros qu’on a du (génétiquement) allonger leurs pattes. Cette race
OGM américaine s’appelle les Holstein. Caractéristique : elles fournissent trop de lait pour que le broutage en pré
leur suffise ; si elles ne reçoivent pas une supplémentation en farines (à base de soja et de maïs OGM ?), elles maigrissent et s’épuisent car leur cota de lactation est programmé
invariable. En outre, alors que les vaches de nos pères vivaient de 25 à 30 ans, les super- vaches sont bonnes pour la casse au bout de 8 ans.
Mais
cette impitoyable exploitation animale se paye à la table du diable. En effet, le lait (OGM) des super-vaches est 10 fois plus riche en prolactine et donc en facteurs de croissance que du
lait « honnête » ; d’où risque de cancer des seins, des ovaires et de la prostate multiplié par 10, sans compter les propriétés décalcifiantes de ce lait – contrairement à ce
qu’affirme la propagande médicale. Il est facile de comprendre pourquoi les femmes qui se nourrissent aux yaourts n’arrivent pas à maigrir, et pourquoi les produits laitiers sont rédhibitoires
dans toutes les formes de cancer.
Conclusion : laissez cette super-vacherie aux super-veaux !
Pour en savoir plus : lire « Lait, mensonges et propagande » de Thierry Souccar
DES VACCINS ANTI-GRIPPE QUI RENDENT GOGOL
Ceci est une information alarmante dont on ne parle qu’en coulisse, envoyée par le Docteur Groussac. Il s’agit des nouveaux vaccins anti-grippe, vous savez, ceux dont « bénéficient »
gratuitement les gens du troisième âge. J’ai moi-même reçu l’offre généreuse à domicile des services officiels qui se soucient de ma santé. Merci, trois fois merci.
Pourtant, j’ai pour principe que tout ce qui est gratuit est louche. D’autant plus que, pas de chance, s’ouvrait le 11 novembre à Stockholm la cérémonie des Prix Nobel qui
a vu le prix de Médecine attribué à deux chercheurs américains, Andrew Fire et Craig
C. Mello, pour leur découverte de mécanismes biologiques contrôlant les flux d'informations génétiques. Leurs travaux originaux portent sur l'étude des
ARN-interférence double-brin chez le Nématode Caenorhabditis Elegans. (Remettez-vous !)
Bref, le Prix Nobel de Médecine et Physiologie 2006, sur l'ARN-interférence, explique comment une régulation des gènes cellulaires, est exercée par des ARN
double-brin, ceux-ci ayant donc la capacité de bloquer certains gènes sur la chaîne d'ADN. Or, le vaccin anti-grippe est constitué de fragments d'ARN
double-brin pouvant bloquer certains gènes. Celui-ci appliqué sur des personnes âgées, dont les gènes cellulaires ralentissent leur production, risque donc de bloquer des gènes déjà
déficients, ainsi que le prix Nobel l’a exposé. Il en résulte alors un fonctionnement anormal des premières cellules concernées : les neurones! Voila une belle explication de la floraison
grandissante des Alzheimer actuelle. Cette affaire est aussi grave que celle du vaccin hépatite B.
Mais ce n’est pas tout ! Il est envisagé de pratiquer ce vaccin chez les nourrissons qui en outre n’ont jamais de grippe. M’est avis qu’on aurait besoin de beaucoup
de débiles mentaux pour la France de demain….
Précisions sur les vaccins anti-grippe :
Sur 11 vaccins, 7 comportent des doubles ARN : Fluarix, Immugrip, Mutagrip, Prévigrip, Vaxigrip (1+2);
CANCER : Hamer, chercheur grillé en Europe….
…plagié en Amérique !
Beaucoup d’entre vous ont probablement entendu parler du Dr. Ryke Geerd HAMER, qui
comme Mirko Beljanski a eu le tort de faire des découvertes mettant en danger la pérennité du « Big business » de
la mafia de la cancérologie. Interdit d’exercer en 1986 par le Conseil de l’Ordre allemand pour son refus d’abjurer ses découvertes (tel Galilée), on lui fit faire un stage en psychiatrie (pour
lui remettre les idées dans le bon ordre), en dépit de son respectable statut de cancérologue en gynécologie à l’université de Munich et détenteur de divers brevets en
chirurgie.
Ses travaux ayant été par la suite appliqués par divers groupes thérapeutiques, il fut condamné en sept. 2004 par la France pour exercice illégal de
la médecine et complicité de non-assistance à personnes en danger, en raison de trois morts du cancer ayant été préalablement « massacrés selon le protocole » par la
médecine officielle, sans chercher à connaître ses autres résultats obtenus par ailleurs. Alors qu’il vivait en Espagne, il fut « cueilli » par mandat international (mesure
réservée au grand banditisme), et fut placé en détention pendant 18 mois en France, jusqu’en fév. 2006.
Alors que Le
Canard enchaîné se délectait encore en janvier dernier à rouler Hamer dans la boue, la « Heal Breast Cancer Fondation » américaine (Fondation pour la guérison du cancer du sein) s’est attribuée la paternité du principe des « Foyers
Hamer » détectés par scanner cérébral, et énoncé par Hamer dès 1981. La « découverte » qui n’est en fait qu’un « copié-collé » exact des travaux de notre chercheur
martyrisé, fait l’objet d’un grand enthousiasme outre Atlantique, alors que le nom de Hamer y est totalement ignoré. Le 22
fév. dernier s’est tenu à Beverly Hills le « Heal Breast Cancer Awards and Gala » au profit de la fondation en présence de célébrités.
Attendez-vous à ce qu’un prix Nobel soit décerné aux membres de cette fondation, et… que l’Europe s’intéresse soudainement aux découvertes de Hamer
« désHAMERisées ».
LA CULTURE SOCIALE DE LA VIOLENCE
Le 8 février, dans un collège lyonnais, un adolescent se faisait grièvement tabasser par 20 « camarades » de classe selon les règles d’un nouveau jeu :
« la boulette ».La victime désignée reçoit un SMS la veille la prévenant que le lendemain ce sera son « anniversaire ». Bilan pour cette fois : traumatisme crânien et
plusieurs côtes enfoncées par écrasement, mais encore vivant… Tout le monde est d’accord : la banalisation des crimes et des guerres par les médias quotidiens, les films violents, les jeux
vidéo violents, les games-boy violents, etc., y sont pour beaucoup dans ce genre d’affaire. Mais il y a d’autres facteurs solidement installés, plus insidieux, dont on ne parle pas, et qui
ont des conséquences gravissimes sur le comportement des jeunes.
D’abord, j’accuse l’alimentation et les boissons industrielles légalement bourrées de poisons chimiques pour le goût, la conservation et lafidélisation, auxquelles beaucoup de jeunes sont abonnés. Rappelons ici cette expérimentation de conversion au bio de la cantine d’un collège
suédois - point chaud de violences récurrentes, où le calme est revenu en quelques semaines. Je cite aussi volontiers les vaches actuelles dont on coupe les cornes pour qu’elles ne
s’éventrent pas ; leur foie est cirrhosé et leur système nerveux est endommagé par l’ensilage et les granulés qu’on leur donne ; les vaches qui mangent de l’herbe et du foin sont
paisibles. Curieuse corrélation, n’est-ce pas ?
Ensuite, j’accuse les drogues musicales en vogue (hard rock,
metal music, etc) qui atteignent le système nerveux, le psychisme, le sens moral, en plongeant ses adeptes dans une dépendance hystérique, sorte de transe qui se substitue négativement aux formes
nobles de spiritualité. En outre, les expériences de Findehorn et de Masaru
Emoto ont montré que ces musiques faisaient mourir les plantes.
Alors, « Peace
and Love » c’est possible, mais surtout grâce au bio, mieux, au végétarisme, et à la vraie musique, celle qui « adoucit les mœurs »……..Ca va être dur !