Mathieu RICARD
Voilà un livre essentiel, indispensable, qui devrait être prescrit par tous les médecins du monde en place et lieu des petites pilules, sensées nous fournir les couleurs du bonheur mais qui au final ne font que griser un peu plus le moral de nos âmes déjà tant secouées par le stress, la crise, les souffrances et les illusions de la vie et j’en passe. Ce livre est devenu mon livre de chevet depuis des mois et j’y trouve toujours une phrase qui me nourrit, me console et me permets de prendre du recul sur mes états d’âme.
Nous aspirons tous au bonheur, mais comment le trouver, le retenir et même le définir ? Ayant abandonné une brillante carrière scientifique pour devenir l’ambassadeur le plus populaire et le plus reconnu du bouddhisme dans le monde, Matthieu Ricard nous apporte dans ce livre une réponse apaisante, optimiste et accessible à tous, une réponse profonde mais aussi difficile. Cesser de chercher à tout prix le bonheur à l’extérieur de nous, apprendre à regarder en nous-même et un peu moins nous-même, cultiver une vision plus altruiste du monde…
En voici quelques extraits à méditer…
« Maladroitement, nous cherchons le bonheur en dehors de nous-même alors qu’il est essentiellement un état intérieur. S’il trouvait sa source au-dehors, il serait à jamais hors d’atteinte. Nos désirs sont sans limite et notre contrôle du monde, restreint, temporaire et le plus souvent illusoire…L’erreur la plus courante consiste à confondre plaisir et bonheur. Le plaisir n’est que l’ombre du bonheur : sa nature est instable et la sensation qu’il inspire peut vite devenir neutre ou désagréable. De même sa répétition conduit souvent à son affadissement, voire au dégout. Le plaisir s’épuise à mesure qu’on en jouit comme une chandelle qui se consume, il est presque toujours lié à une action et entraîne naturellement la lassitude par le simple fait de sa répétition…Et pourtant nous préférons le plus souvent le plaisir et ses séquelles de satiété à la gratification d’un bien–être durable.
Cette distinction entre plaisir et bonheur n’implique pas qu’il faille s’abstenir de rechercher des sensations agréables : la vue d’un magnifique paysage, un goût délicieux, le parfum d’une fleur, la douceur d’une caresse ou d’un son mélodieux, pourvu qu’ils ne nous aliènent pas… Si le plaisir entrave la liberté intérieure, il fait obstacle au bonheur, vécu avec une parfaite liberté intérieure, il l’orne sans l’obscurcir… ».
« La liberté anarchique qui a pour seul but l’accomplissement immédiat des désirs apportera t-elle le bonheur ? Si nous lâchons dans notre esprit la meute du désir, de la jalousie, de l’orgueil, ou du ressentiment, elle aura tôt fait de s’approprier les lieux et de nous imposer un univers carcéral en expansion continue… »
« La liberté intérieure, c’est d’abord l’affranchissement de la dictature du « moi » et du « mien », de « l’être »asservi et de « l’avoir » envahissant, de cet égo qui entre en conflit avec ce qui lui déplait et tente désespérément de s’approprier ce qu’il convoite. »
Prendre de la distance vis-à-vis de l’agitation du monde pour regarder en soi l’essentiel, se contenter de l’indispensable et le distinguer du superflu, s’émanciper de la contrainte des émotions négatives (envie, colère, jalousie), s’entraîner à cultiver la compassion, la tolérance, la patience, la sérénité, utiliser toutes les circonstances de la vie, favorables ou adverses comme catalyseur de transformation personnelle devrait nous conduire sur le chemin du bonheur : un état intérieur durable et non pas ces miettes de joie éphémères et si peu nourrissantes.
Certes, se familiariser avec cette nouvelle manière d’être et surtout de penser demande de l’entraînement, de la volonté, du savoir-faire, c’est ce que nous propose Matthieu Ricard dans cet ouvrage, c’est ce que les plus grands sages tibétains ont expérimenté depuis des siècles, c’est ce qu’ils lui ont transmis et qu’il met à notre portée : devenir Soi, se sentir libre en Soi, libre des autres.
Oui, ça doit être ça le Bonheur.
Vu sur : http://christinem.canalblog.com/archives/2010/09/23/19141474.html
Le Consistoire Soka pour le culte du bouddhisme de Nichiren en France est heureux de publier ce document qui présente notre mouvement religieux implanté dans notre pays depuis 1961.
La voie suivie par les pratiquants des enseignements du moine bouddhiste Nichiren Daishonin, depuis le XIIIe siècle, est riche, ensemencée par le témoignage et l’action qu’ils manifestent en faveur de la paix, de la culture et de l’éducation.
La contribution de notre mouvement bouddhiste, saluée et appréciée en France et partout dans le monde, est facteur de progrès et de stabilité, l’humanisme dont il est porteur favorisant les idéaux mêmes de la République française au cœur des évolutions de la société.
Nous prions pour que les lignes qui suivent vous conduisent à mieux nous connaître, dans le partage et le respect des valeurs communes fondées sur le caractère sacré de la vie, la bienveillance qui n’exclut personne et la coexistence pacifique.
Nous appelons de nos vœux l’établissement et l’affermissement d’une société humaine toujours plus juste et solidaire, d’une citoyenneté mondiale respectueuse des cultures et des identités, véritable richesse.
Puisse cette présentation générale offrir à ses lecteurs une occasion de mesurer la sagesse et l’altruisme de l’enseignement du bouddhisme tel que porté par des milliers de français, hommes et femmes, dans la paix et l’harmonie au sein de la société française.
Les Français ont découvert le bouddhisme dans sa multiplicité et sa richesse. Les conceptions les plus diverses, ou les plus contradictoires, fleurissent en effet. Notre pays n’a jamais été ignorant des philosophies orientales de par son ouverture sur le monde et aussi grâce aux activités de l’École française d’Extrême-Orient, du Collège de France ou de l’École des langues orientales, d’éminents bouddhologues français ont depuis plus d’un siècle enrichi nos connaissances en la matière.
Le mot bouddha signifie « l’éveillé », et désigne une personne qui manifeste dans son être la sagesse et la bienveillance qu’il est possible d’acquérir en prenant conscience que la vie et l’univers entier sont régis par une Loi éternelle et universelle. Toute personne, par sa recherche intérieure et sa pratique religieuse, peut accomplir la même transformation de l’esprit et de la vie menée à bien par le Bouddha. À nos yeux, l’essence du bouddhisme n’est autre que la découverte de cette source d’espoir fondamentale inhérente à l’homme.
Le bouddhisme élucide une conception de la vie ainsi que sa mise en pratique – à savoir, le moyen d’accéder à une compréhension de la Loi éternelle et universelle qui anime toutes formes de vies, et l’univers entier, et à surmonter toutes les souffrances dues à l’ignorance de cette loi pour parvenir au bonheur.
L’enseignement bouddhique est appelé en sanscrit « Dharma ». Le Dharma désigne précisément cette vérité ultime de la vie qui rend possible la transformation au niveau de l’esprit et de la vie évoquée ci-dessus. Le terme a plusieurs significations : il décrit à la fois la doctrine permettant à l’être humain d’acquérir cette vérité ; le moyen de mettre en pratique ce principe ; ou encore, le Canon, les enseignements normatifs.
L’enseignement du bouddhisme n’est pas figé. Il dépend du temps et de la réceptivité de ceux à qui il s’adresse, et de leur capacité à accepter cet enseignement. Le « temps » en l’occurrence représente le moment où le désir ardent des gens de sortir des souffrances coïncide avec la volonté bienveillante du Bouddha d’enseigner aux hommes une voie leur permettant de se libérer véritablement des souffrances. Le contenu de l’enseignement varie en fonction de la nature de leurs souffrances, ainsi que de leur capacité spirituelle à accepter cet enseignement.
Notre croyance, fondée sur le Sûtra du Lotus, reconnaît le développement de divers enseignements bouddhiques antérieurs, et respecte leur existence.
Nous souhaitons toutefois insister sur ce point doctrinal important qu’il ne faut en aucun cas perdre de vue : chacun de ces divers enseignements constitue un parcours, un processus ayant pour but de guider les êtres humains vers l’état de vie, vers l’éveil du Bouddha lui-même. C’est un point à ne jamais oublier, une mise en garde valable pour nous-mêmes comme pour tous les croyants bouddhistes : car dès que nous oublions cela, ces divers enseignements fragmentaires de la Loi s’écartent de l’esprit et de l’illumination du Bouddha.
Nichiren Daishonin fut le bouddhiste qui prit le plus profondément conscience de cette nature essentielle du bouddhisme ainsi que de cet avertissement.
Recherchant passionnément une voie permettant à tous les êtres humains d’élever leur état de vie au même niveau que le Bouddha, Nichiren fut une personne qui entreprit lui-même ce processus de transformation de sa vie, en tant qu’être humain. Et il le poursuivit jusqu’au bout, offrant ainsi à la postérité un modèle pour les êtres humains qui aspirent au bouddhisme.
Tout comme Nichiren Daishonin, nous croyons que c’est précisément en percevant cette nature essentielle du bouddhisme, et en l’enseignant, qu’on en assure la diversité et la richesse.
La diffusion du bouddhisme, et l’action de l’enseigner à d’autres, repose traditionnellement sur une relation humaine appelée « relation de maître et disciple ».
Les deux caractères chinois composant le mot « maître », ou « enseignant », impliquent une notion d’antériorité. Autrement dit, le maître est une personne qui, parce qu’il a précédé le disciple sur le chemin de la vie, possède un enseignement et une expérience à transmettre.
Parce que le bouddhisme est une loi de transformation spirituelle, un principe de transformation de la vie, il faut assurer une transmission fidèle de l’enseignement du point de vue littéral, certes, mais également transmettre cette Loi par son comportement en tant qu’être humain, globalement, d’une personne à une autre. Le maître enseigne, alors que le disciple reçoit cet enseignement, et le transmet. Le disciple tend, lui aussi, vers les mêmes résultats rendus possibles par l’enseignement dont son maître a donné l’exemple.
Le fonctionnement de cette relation de maître et disciple sert précisément de relais qui permet à la Loi bouddhique de progresser éternellement (on appelle cela « faire tourner la Roue de la Loi »).
Cela ne signifie pas pour autant qu’une discrimination quelconque sépare le maître du disciple, ni que le premier soit supérieur au second. L’objectif du maître est que son disciple se développe plus que lui-même, et le but du disciple est de construire, avec le maître, des bases essentielles pour la réalisation de leur idéal commun – à savoir le bonheur de tous les êtres humains et la paix mondiale. Le but est de succéder au maître en étant fidèle à son esprit afin d’amplifier l’œuvre commune du maître et du disciple.
À ce sujet, Nichiren Daishonin a écrit : « On dit que si un maître a un bon disciple, tous deux atteindront la bouddhéité, mais que si un maître forme un mauvais disciple, tous deux tomberont en enfer. Si le maître et le disciple n’ont pas le même esprit, ils ne pourront rien accomplir. »
Présent en France depuis 1961, le mouvement Soka du bouddhisme de Nichirens’est déployé sur tout le territoire national, en métropole et dans les DOM-TOM, regroupant actuellement près de 17 000 pratiquants.
Indépendamment des espaces privés consacrés à la pratique religieuse, aménagés au sein des domiciles des pratiquants, en France, les principaux lieux publics de rencontres et d’étude sont les suivants :
Le mouvement Soka est présent dans plus de 192 pays et territoires. En France, l’organisation et le fonctionnement du culte du bouddhisme de Nichiren sont établis en conformité avec la Constitution Soka pour le culte du bouddhisme de Nichiren.
Ce texte de nature ecclésiologique au sens du droit des cultes en France – véritable charte interne d’organisation et de fonctionnement du culte – précise notamment le rôle du Consistoire national, ainsi que celui des ministres du culte.
L’ACSBN
Conformément au régime légal des cultes fondé sur la loi du 9 décembre 1905 relative à la séparation des Églises et de l’État, les activités cultuelles dumouvement Soka sont
exercées, d’un point de vue matériel, par une structure associative à caractère national, à savoir l’ « Association Cultuelle Soka dubouddhisme de Nichiren » dite ACSBN. Cette association cultuelle nationale dont le siège social est fixé 4,
rue Raymond Gachelin, à Sceaux (Hauts-de-Seine) a adopté pour objet statutaire le texte ci-joint, tel que déclaré aux services préfectoraux :
« Conformément à l’article 20 de la loi du 9 décembre 1905, l’association a pour objet exclusif de pourvoir aux frais, à l’entretien et à l’exercice public du culte bouddhique basé sur l’enseignement révélé par le Bouddha Nichiren Daishonin, moine du XIIIe siècle (1222-1282) et en conformité avec la Constitution Soka pour le culte du bouddhisme de Nichiren. Dans ce cadre, elle assure l’exercice public du culte de ses membres et des pratiquants et sympathisants. Elle subvient aux frais et à l’entretien du culte, en particulier des temples et lieux de pratique cultuelle Soka du bouddhisme de Nichiren, du logement et la prise en charge, le cas échéant, des ministres du culte ainsi que des cérémonies liées à l’exercice du culte. »
Le caractère exclusivement cultuel, au sens de la loi française dite de « séparation des Eglises et de l’Etat » du 9 décembre 1905, a été reconnu à cette association ACSBN par le Préfet des Hauts-de-Seine (Nanterre), par décision du 9 novembre 2007 dans le cadre de donations consenties en tant qu’association cultuelle.
L’ACSF et l’ACEP
Par ailleurs, les activités non exclusivement cultuelles du mouvement Soka dubouddhisme de Nichiren, à l’instar d’autres
groupements religieux en France et dans le monde, sont organisées par des structures associatives indépendantes les unes des autres :
› Organigramme de la structure associative du mouvement bouddhiste Soka
Le culte du bouddhisme de Nichiren, pratiqué dans le monde et en France par le mouvement Soka, a donné naissance à une société religieuse à visage humain qui respecte le cadre civil et politique des Nations et des Etats. Les pratiquants de ce culte forment de la sorte une communauté unie par des liens de croyance religieuse et des valeurs universelles qui puise sa force dans les enseignements du bouddhisme de Nichiren.
Cette communauté est profondément attachée au bien commun et à l’humanisme universel, mais aussi à la paix des nations et des peuples.
De plus, selon la Constitution Soka du culte du bouddhisme de Nichiren:
« Conformément aux enseignements du bouddhisme de Nichiren, les pratiquants reconnaissent le droit des gouvernements à promulguer des lois pour réglementer les mœurs, protéger les biens et les libertés des citoyens » (article 14 de la Constitution Soka).
Ainsi, dans la vie quotidienne, ce bouddhisme se traduit par un comportement tolérant, paisible et humaniste. Actes et paroles sont donc déterminants, non seulement sur le plan individuel, mais aussi pour ceux qui les observent.
Dans ce sens, la vie du fondateur de notre école, Nichiren Daishonin, est un modèle de comportement pour nous et cela sur plusieurs points.
Tout au long de sa vie, Nichiren chercha à faire reconnaître la vérité et la justice. Pour ce faire, il utilisa les médias de son époque, c’est-à-dire les écrits, le dialogue et les débats religieux.
Érudit, il fut un homme vivant en accord avec les enseignements bouddhiques fondamentaux. Il agissait sur la base de l’étude, des enseignements, de la pratique et, comme ses écrits le montrent, en s’appuyant sur la raison et sur la logique de la vie quotidienne.
Le seul débat religieux qu’on lui accorda fut celui qui se tint sur l’île de Sado, où des centaines de moines du Nembutsu et d’autres écoles se rassemblèrent afin d’invalider sa doctrine. Nichiren Daishonin remporta avec aisance cette controverse, mais il ne put jamais avoir de débat avec Ryôkan, qui était considéré comme le sage de l’époque.
Nichiren Daishonin fut également un modèle de combattant pour les droits des êtres humains face à l’oppression. Son courage force l’admiration. Il croyait fermement à la force des idées et de la sincérité, face à la force brutale du pouvoir et aux manœuvres visant à le calomnier et à le faire condamner.
Jusqu’à la fin de sa vie, il poursuivit son œuvre, surmontant les persécutions physiques, morales, les exils et la précarité de l’existence à laquelle il avait été condamné. Il vécut dans le peuple et pour le bonheur du peuple. Sa vie n’a rien de commun avec celles des patriarches qui vivent dans le luxe.
La longue suite de ses lettres et de ses écrits montre son souci permanent de sauver ceux qui souffrent. Il leur explique la Loi bouddhique, en quoi elle peut les aider à résoudre leurs problèmes. Sa bienveillance est manifeste. Il fait sienne la souffrance des personnes qui lui écrivent.
Nichiren Daishonin exhorta aussi bien les moines que les croyants laïques à se forger une foi solide, capable de résister aux persécutions et de surmonter les difficultés de la vie. Mais tout particulièrement à ses disciples laïques, il enseigna que cette foi forte devait servir à créer de bonnes relations avec autrui, respectant leur travail et soulignant ainsi l’importance d’actions riches d’humanisme et de sagesse. C’est ici même que se trouve le véritable propos de Nichiren Daishonin, et, c’est la raison pour laquelle nous appelons lebouddhisme qu’il a enseigné « une religion humaniste ».
Les actions persévérantes de Nichiren tout au long de sa vie ne furent rien d’autre qu’une série de combats pour établir en ce monde, dominé par les conflits et l’avidité, une religion humaniste en accord avec les principes enseignés dans le Sûtra du Lotus.
Il révéla clairement le moyen fondamental permettant aux gens d’opérer une « Révolution humaine », de surmonter les aspects négatifs de leur destin et de placer leur vie sur l’orbite du bonheur.
Mais, dans un pays comme le Japon au XIIIe siècle, et dans le contexte social d’une époque incapable d’accepter de telles positions philosophiques, le dynamisme créé par son combat finit par s’épuiser. Voilà pourquoi, de son temps comme au cours des sept siècles qui suivirent, le véritable dessein de Nichiren Daishonin ne fut pas correctement compris. Dans le monde religieux japonais, il régressa pour se plier à des formes préexistantes de bouddhisme asiatique, centrées autour des temples et des ordres monastiques.
On pourrait dire que l’apparition et le rayonnement du mouvement Soka ont permis la purification de la quintessence du bouddhisme de Nichiren en tant que « religion humaniste ». L’action du mouvement Soka l’a fait revivre au présent et l’a rendu universel, au-delà des différences d’origine ethnique, de culture, ou de civilisation.
Les pratiquants croient dans les enseignements de Nichiren, et, quelles que soient les différences de sexe, de religion, ou de nationalité, prient pour leur propre bonheur et pour celui des autres, souhaitent la paix, agissent pour créer des valeurs dans tous les domaines de la vie, et déploient leurs activités partout dans le monde.
› Télécharger le document intégral (pdf)
http://consistoire.soka-bouddhisme.fr/presentation/le-bouddhisme-de-nichiren-en-france
Valeurs humaines est un magazine mensuel spécialisé dans le bouddhisme de Nichiren, qui participe à la compréhension et à la transmission des idéaux et des valeurs véhiculés par ce bouddhisme dans la société française, selon les orientations du Consistoire Soka, représentant du bouddhisme de Nichiren (1222-1282) en France.
En présentant régulièrement des dossiers, des commentaires de textes bouddhiques et des témoignages, Valeurs humaines informe sur la façon dont l’enseignement de Nichiren est enseigné et vécu, de nos jours, en France.
C'est aussi un journal ouvert sur la société, les religions et les cultures. Son contenu se veut source d'inspiration pour ses lecteurs.
Discours et entretiens de Daisaku Ikeda est un mensuel qui, comme son nom l’indique, publie en français les discours, essais, éditoriaux, commentaires sur les écrits de Nichiren Daishonin et échanges récents de Daisaku Ikeda, président de la SGI.
Une fois par an, la proposition pour la paix adressée par ce dernier à l’ONU le 26 janvier, jour anniversaire de la fondation de la SGI, y est publiée.
La SGI est un mouvement international œuvrant pour l'étude et la pratique du bouddhisme de Nichiren, dans 192 pays et territoires, auprès de 12 millions de pratiquants.
Cap sur la Paix est un journal hebdomadaire du mouvement Soka en France, réalisé par les pratiquants de la jeunesse. Cap publie chaque semaine des épisodes de La Nouvelle Révolution humaine, roman relatant l'histoire de notre mouvement depuis 1960.
Ce journal se fait aussi régulièrement l’écho des activités culturelles et bouddhiques se déroulant au sein de ce mouvement. De par ses articles, Cap sur la paix s'efforce chaque semaine de soutenir les pratiquants du bouddhisme de Nichiren dans leur pratique et leur étude quotidienne, dans un style simple et compréhensible par tous.
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