Vous trouverez dans ces pages tout pour mettre votre personnalité et votre beauté en valeur tout en préservant votre SANTE.
Donc pas de produits chimiques, que du NATUREL et du BIO,
respectueux de Dame nature !!!
C'est par là...suivez moi !!!
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L’utilisation des cosmétiques remonte à plus de 10 000 ans lorque les hommes
préhistoriques se peignaient le corps à partir de matières végétales, minérales et animales afin de se différencier des autres individus ou, au contraire, marquer une
appartenance.
A partir du début du XXIe siècle, la cosmétologie change radicalement de visage, grâce à l’industrialisation et aux
nouvelles technologies. Aujourd’hui, nos salles de bain regorgent de produits toujours plus élaborés, plus efficaces mais… pas toujours dénués de toxicité. Les français restent les plus gros
consommateurs de cosmétiques avec, en 2005, 205 euros par habitant, soit environ 27 produits achetés pour les soins d’une seule personne ! Alors, l’utilisation des produits cosmétiques
nuit-elle à notre santé et sur l’environnement ? Y a t-il d’autres alternatives pour être "propres" et "beaux" sans risques ?
La réglementation caractérise les cosmétiques par une définition précisée par l'article L5131-1 du Code de la Santé Publique :
On entend par produit cosmétique toute substance ou préparation destinée à être mise en
contact avec les diverses parties superficielles du corps humain, notamment l'épiderme, les systèmes pileux et capillaire, les ongles, les lèvres et les organes génitaux externes ou avec les
dents et les muqueuses buccales en vue, exclusivement ou principalement, de les nettoyer, de les parfumer, d'en modifier l'aspect, de les protéger, de les maintenir en bon état ou de corriger les
odeurs corporelles.
En bref, la cosmétique est un ensemble de procédés et de traitements permettant l’hygiène
corporelle et l’embellissement.
Liste officielle des produits cosmétiques
Un cosmétique peut contenir de 20 à 50 ingrédients ! Mais attention, si le nombre de
composants n’influence pas la qualité d’un produit, il peut augmenter les risques d’allergie. Alors peu importe la texture souhaitée par les fabricants (crème, gel, sérum, émulsion…), tous les
produits cosmétiques sont obtenus à partir des mêmes substances, dont seules les quantités varient.
Environ 1 % de principes actifs, parfois issus du végétal, permettent de garantir
l’efficacité d’un produit (exemple argile, zinc, vitamines). Malgré l’infime quantité, l’étiquette valorise souvent ces composants pour accrocher le consommateur.
Entre 80 et 90 % d’excipients sont essentiellement composés d’eau (70 %) et d’un
corps gras (15 %) d’origine végétale, synthétique ou minérale. Ils définissent la qualité, l’efficacité, la texture et l’aspect du produit. Ils permettent de véhiculer les principes actifs
vers là où ils sont censés agir : l’épiderme.
Les différents corps gras
Corps gras minéraux | Corps gras synthétiques | Corps gras végétaux | |
O
R I G I N E |
Les huiles et cires minérales sont des composés synthétiques dérivés de l’industrie pétrochimique. | Les silicones (polymère formé d'oxygène et de silicium) peuvent être de structures et de textures variées, allant du plus fluide (huiles) au plus rigide en passant par des états visqueux, résineux, pâteux, cireux, etc. | Le règne végétal offre des matières grasses provenant de fruits, noix, fèves, graines, noyaux, céréales, etc. |
F
O N C T I O N |
Excipient très bon marché avec des propriétés hydratantes très efficaces. Se sont les corps gras les plus utilisés dans les cosmétiques conventionnels. |
Leurs propriétés gainantes les rendent indispensables dans les produits capillaires (démêlage, brillance, douceur, fixation…). Ils sont utilisés aussi dans les crèmes pour ses propriétés de fluidité et de douceur. |
Hydratants et nutritifs, ils ajoutent à leur action émolliente (qui adoucit et assouplit la peau) l’apport de la richesse de leur composition en acides gras essentiels, vitamines, antioxydants, polyphénols et autres stérols. |
R
I S Q U E S / P R O P R I E T E S |
Dérivés du pétrole, ils sont très nocifs pour l’environnement. Ingérés, ils deviennent toxiques. L’Office fédéral de la santé publique suisse a mis en garde les femmes allaitantes qui utilisent les crèmes sue leur buste (contact buccal du bébé). Ils sont également susceptibles de boucher les pores de la peau et de favoriser l’apparition des boutons et points noirs ou d’affections pathologiques lorsque les applications sont fréquentes et prolongées. D’autre part, des études menées par l’OMS (Organisation mondiale pour la santé) ont démontrées leurs effets néfastes sur les organes (foie, cœur…). |
Excepté quelques rares cas d’allergies, les silicones ne présentent pas de risque pour la santé humaine. Par contre, peu biodégradables ils sont nocifs pour l’environnement. |
Naturel, ce corps gras peut suffire à lui-même en tant que cosmétique parce que ses propriétés sont multiples. Par contre, quelques risques de réactions allergènes pour les personnes allergiques à certains corps gras (soja, arachide, etc.).. |
A
P P E L L A T I O N I N C I |
Les plus fréquents : - Cera microcristallina - Ceresin - Hydrogenated polyisobutene - Isododecane - Isohexadecane - Ozokerite - Paraffin - Paraffinum liquidum - Petrolatum - Synthetic wax |
Les silicones sont très nombreuses mais ont toutes une racine commune dans leur dénomination officielle : tous les composés dont une partie du nom se termine par -icone (Exemple : Dimethicon) ou par -siloxane (Exemple : Cyclopentasiloxan). |
Les principales sources : - Arachis hypogaea oil : Huile d’arachide - Triticum vulgare germ oil, Hydrogenated wheat germ oil : Huile de germe de blé - Glycine Soja Oil, Hydrolyzed soy : Huile de soja - Sesamum indicum seed oil : Huile de sésame |
Des additifs sont ajoutés pour rendre les ingrédients stables, pour conserver, pour
harmoniser, pour parfumer, pour colorer, pour mousser…. Se sont les conservateurs, les colorants, les parfums, les agents fixateurs, les antioxydants, les agents de consistance. Les additifs
n’ont pas bonne presse depuis quelques années. En effet, certaines études ont démontré que certains d’entre eux seraient nocifs pour la santé et/ou l’environnement : phtalates, parabens,
phénoxyéthanol, etc.
Les phtalates
Les phtalates sont des molécules chimiques qui servent d’agents fixateurs ou vecteurs dans
les produits cosmétiques. Le DEHP et DBP sont les plus dangereux et sont classés toxiques pour l’être humain. En concentration élevée, des études menées en laboratoire ont enregistré une baisse
de la fertilité, atrophie testiculaire, réduction du poids du fœtus, mortalité fœtale et des malformations sur l’appareil génital mâle…
En Europe, l’industrie cosmétique, très réglementée en ce qui concerne l’utilisation des
phtalates, ne peut utiliser que le diethylphtalate (DEP). Celui-ci est utilisé pour dénaturer l’alcool contenu dans les parfums pour le rendre impropre à la consommation. Selon les scientifiques
et l’Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé), ce phtalate ne présenterait pas de danger pour l’homme étant donné l’infime quantité
utilisée.
Les émulsifiants (appelés parfois émulsionnants)
En cosmétique, on est souvent en présence d’une base huileuse et d’une base aqueuse et,
comme ces deux éléments ne peuvent se mélanger correctement, les fabricants ont recours à des émulsifiants pour homogénéiser le tout. Ainsi, on obtient une émulsion.
- Le PEG (polyéthylène glycol) et le PPG (polypropylene glycol) sont issus du traitement
chimique d’un gaz très toxique. En plus d’être néfastes pour l’environnement, ils sont soupçonnés de contenir des substances irritantes et potentiellement cancérigènes. En outre, ils
augmenteraient les éruptions de boutons et de points noirs.
- Les alkylphénols et éthoxylates d’alkylphenol : le plus controversé est le nonylphénol,
à l’activité hormonale reconnue. Il pourrait également altérer le sperme et provoquer des atteintes à l’ADN.
Les conservateurs
Les cosmétiques, composés pour la plupart d’un mélange d’eau et de corps gras, constituent
un milieu propice au développement des micro-organismes (quelques jours suffisent). Les conservateurs protègent les consommateurs en endiguant la prolifération des champignons (levures et
moisissures) et des bactéries pathogènes, dangereuses pour la santé humaine.
Mais ils ne sont non sans danger pour l’homme : ils peuvent provoquer des allergies
ou des irritations et être plus ou moins toxiques, selon les doses.
Certains cosmétiques comme les poudres, les fards à paupières, les huiles hydratantes ou
les sérums n’ont pas besoin de conservateur puisqu’ils ne contiennent pas d’eau .
Depuis quelques années une guerre médiatique est déclarée aux conservateurs, pourtant
destinés à protéger les cosmétiques. Deux sont particulièrement dans le collimateur des journalistes : les parabens, suspectés d’être cancérogènes et le phénoxyéthanol, décrié pour son
appartenance à la famille des éthers de glycol.
Les autres conservateurs (cinquante-six sont autorisés par la réglementation sur les
cosmétiques), mais ils ne semblent pas retenir autant l’attention.
Liste non exhaustive des conservateurs utilisés dans les cosmétiques
Les parabens
II y a encore trois ans, les parabens étaient utilisés dans 80 % des produits cosmétiques.
Synthétiques, leurs avantages ne sont plus à prouver : grande efficacité comme conservateurs, pratiques, peu allergènes et sans danger.
Mais il existe plusieurs sortes de parabens, différents par leur structure chimique qui
influe sur leur efficacité mais aussi sur leur effets indésirables. Plus la chaîne d’alkyle est longue, plus l’efficacité est grande mais plus le produit est néfaste pour l’homme. Parmi
les parabens les plus utilisés dans les cosmétiques, on trouve le méthylparaben et l’éthylparaben (à chaînes courtes), le propylparaben, le butylparaben et l’isobutylparaben (à chaînes
longues).
Utilisés seuls ou en mélange, pour augmenter leur pouvoir d’action, ils peuvent
devenir dangereux, notamment pour les femmes enceintes ou les nourrissons, parce qu’ils sont considérés comme des perturbateurs endocriniens qui affectent le système hormonal, dont le
développement s’accroît lors de la période embryonnaire ou chez le jeune enfant.
Selon des études menées en 2005 par l’Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des
produits de santé), "des effets toxiques du propylparaben et du butylparaben sur la
reproduction avaient été mis en évidence chez le jeune rat, selon des études réalisées à des doses susceptibles d'être compatibles avec les expositions humaines et suggérant un risque potentiel
pour la fertilité masculine".
Une autre étude émanant d’un groupe de chercheurs japonais dénoncerait le méthylparaben
(le paraben le plus sûr !) comme accélérateur du vieillissement de la peau… A ce jour, il n’y pas eu d’autres études pour confirmer ces recherches.
Le phénoxyéthanol
Présent à l’état naturel dans le thé vert et la chicorée, par exemple, ce conservateur
fait, lui aussi, partie de la famille des éthers de glycol (en savoir plus sur les éthers de glycol). Il sert souvent de solvant pour d’autres conservateurs, en particulier les
parabens.
Cette substance est un allergène reconnu très puissant. Il est autorisé par la législation
pour une concentration maximale de 1 %, en tant que conservateur.
Il est également appelé phénoxytol.
Le formaldéhyde
Ce conservateur est un gaz à température ambiante, mais il est utilisé en solution
aqueuse. Classé cancérigène et très allergisant, sa concentration ne doit pas dépasser 0,2 %. Il est connu sous diverses autres appellations : formol, formalin, formic aldehyde, paraform,
methanal, methyl aldehyde, methylene oxide, oxymethylene, oxomethane…
Alcool
|
Certaines huiles essentielles
|
Lipoaminoacides ou enzymes
|
|
Fonction | Antiseptique qualifié "d’origine naturelle" | Propriétés antibactériennes | Propriétés antibactériennes |
Inconvénient |
- Toxique pour l’organisme - Assèchement de l’épiderme |
Allergisant pour certaines personnes | Aucune donnée scientifique ne garantit leur efficacité |
Jusqu’à présent, pensant prendre soin d’elles, certaines consommatrices de cosmétiques
s’appliquaient pas moins de 80 composants chimiques sur la peau, et ce, quotidiennement. Heureusement, les consommateurs sont de plus en plus conscients de la toxicité de certains cosmétiques
conventionnels et, progressivement, reconsidèrent leurs achats en favorisant les produits aux compositions plus naturelles.
Le marché de produits cosmétiques bio est alors devenu un marché important ce qui a permis
aux fabricants les moins scrupuleux d’utiliser des étiquettes peu explicites mais suggestives : "produit naturel", "produit végétal", "produit doux"…
Alors quelles différences entre un produit naturel et un produit
biologique ?
La plupart des cosmétiques conventionnels sont fabriqués à partir d’ingrédients
synthétiques ou, parfois, d’origine animale. Outre les éventuels effets néfastes pour l’être humain, les différents procédés utilisés pour la fabrication des cosmétiques issus de la pétrochimie
nuisent gravement à l’environnement.
A contrario, les cosmétiques biologiques sont issus de produits plus
naturels.
La certification biologique - que se soit pour un produit alimentaire ou un cosmétique -
doit répondre à certaines exigences : un cahier des charges, des adhérents à ce cahier des charges (producteurs, formulateurs, fabricants et distributeurs) et un organisme certificateur qui
sera certifié lui-même par un organisme compétent, agréé par le Ministère de l’Agriculture, et indépendant de toute structure commerciale.
L’emballage d’un produit biologique devra être estampillé de la mention "certifié par"
suivi du logo du certificateur, puis un label.
Ecocert
Ecocert est un organisme de contrôle et de certification (pour 80
% des produits biologiques) agréé par l'Institut National de l'Origine et de la Qualité et accrédité par le COFRAC (Comité Français d'Accréditation)) qui exige indépendance, compétence et
impartialité.
Ecocert s’appuie sur un référentiel technique déposé en 2003 auprès du Ministère de
l’industrie. Écocert peut certifier le respect de toutes chartes de cosmétiques biologiques, mais on retrouve principalement sa marque sur les produits labellisés Cosmébio et Cosméco.
Qualité France est un référentiel proche de Ecocert.
Le référentiel Ecocert repose sur des principes de base :
Cosmébio
Le label français Cosmébio désigne un cosmétique écologique et biologique, contrôlé par une association de fabricants de
produits cosmétiques, en association avec Écocert.
En plus des exigences générales du référentiel Écocert, la charte Cosmébio impose que le produit cosmétique fini soit composé de :
- 95 %* d'ingrédients naturels ou d'origine naturelle dont 10 % minimum issus de l'agriculture
biologique.
- 5 % d'ingrédients issus de la synthèse sont autorisés
- 95 % minimum des ingrédients végétaux doivent être certifiés bio.
Cosmébio "ECO"
Label Cosmébio "ECO" pour les produits écologiques : moins
exigeant, certifie que 95 %*des ingrédients du produit sont naturels ou d’origine naturelle et qu’au moins 50 % des végétaux de la
composition sont issus de l’agriculture biologique et qu’un minimum de 5 % des ingrédients du produit fini sont biologiques.
*L’eau, ingrédient principal des cosmétiques (entre 50 à 80 %) est comprise dans l’ensemble des
ingrédients mais n’est pas certifiable (produit naturel par définition) ce qui signifie qu’un cométique ne contient que 20 à 50 % de produits
certifiables
La charte BDIH
Née en1996, en Allemagne, la charte BDIH est la première en Europe à avoir labellisé les
"produits naturels".
Elle garantit :
- Sans produits issus de la pétrochimie.
- Sans colorants ou parfums de synthèse.
- Sans bases lavantes ou émulsifiants éthoxiliés.
- Sans irradiation.
- Sans OGM.
- Pas d’utilisation de matières premières d'origine animale, sauf issus de l'animal vivant
(ex: lanoline).
- Pas d’utilisation de blanc de baleine ou collagène animal.
- Aucun test sur les animaux.
Agriculture biologique
Le logo pour l’agriculture biologique en France ou le logo européen pour l’agriculture
biologique, propriété du Ministère de l’Agriculture, permettent aux consommateurs d’identifier les produits alimentaires composés d’au moins 95 % d’ingrédients issus de l’agriculture biologique
(mettant en œuvre des pratiques agronomiques et d’élevage respectueuses de l’environnement, de l’équilibre naturel et du bien-être animal. Pour les cosmétiques, ce logo est réservé aux huiles
essentielles et aux huiles végétales.
Pas toujours simple de lire la liste des ingrédients d’un produit cosmétique, à moins d’être muni d’une loupe,
pas toujours pratique mais finalement indispensable.
Par contre, certains fabricants n’hésitent pas à utiliser des allégations très
fantaisistes et très visibles sur les étiquettes de leur produit.
En s’appuyant sur des tests fiables, quelques associations de consommateurs
(60 millions de consommateurs ou Que choisir) apportent quelques éléments de réponses en termes d’efficacité des produits
cosmétiques.
Actuellement, c’est la Directive Cosmétiques (76/768/CEE) qui réglemente la fabrication et la mise sur le marché des produits cosmétiques.
Elle permet d’assurer la sécurité du consommateur sous des conditions d’utilisation normales ou prévisibles. Adoptée par l’Union européenne en 1976, elle a été soumise à de nombreux amendements la rendant peu explicite et incohérente. C’est pour pallier à inconvénients que la directive va être remplacée par un nouveau règlement européen (REACH). Les grands principes de l’ancienne seront maintenus : définition d’un cosmétique, principe que celui-ci ne doit pas nuire à la santé humaine, objectif de l’interdiction totale des expérimentations animales, obligation pour l’industrie de respecter les bonnes pratiques de fabrication, accès des autorités sanitaires aux informations les concernant, les annexes précisant les ingrédients interdits ou soumis à des restrictions d’utilisation…
restent ainsi présents mais parfois complétés d’exigences nouvelles ou
précisés.
Elle permettra de renforcer la sécurité des produits de cosmétiques, notamment sur
l’utilisation des nanomatériaux, protéger le consommateurs des allégations trompeuses (c'est-à-dire une parfaite transparence dans
l’étiquetage) et des règles strictes dans l’utilisation des substances cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction.
MACHETEAU, Sophie ; GUET, Vanina (2007)
" 90 recettes de beauté bio à faire soi-même : 100 %
glamour, 100 % gourmandes, 100 %
naturelles" .- Paris : Vigot .- ill. ; 21 cm .- 143 p.
Recettes pour confectionner ses cosmétiques à la
maison en utilisant des produits naturels.
HAMPIKIAN, Sylvie (2008)
"Créez vos cosmétiques bio".-
Mens : Terre Vivante.- ill. ; 21 cm .- 192 p.
Guide d'initiation pour créer ses cosmétiques
maison à base de produits naturels : huiles végétales, yaourt, miel...
http://www.arehn.asso.fr/dossiers/cosmetiques/cosmetiques.html#02c
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